« Le Symbole dévoilé », c’est le nouveau roman initiatique d’Adonis Lejumeau. Cet écrivain s’était déjà distingué, en 2006, en publiant « L’incroyable découverte du Graal en Forez », où il mettait en scène la découverte du saint sang de Jésus dans une église forézienne ! Car il y a Graal et Graal, et la couronne d’épines, dont un fragment est en effet conservé à Saint-Etienne, possède autant de valeur symbolique que le calice sacré, les deux ayant été imprégnés du sang réal… Voici la suite annoncée de l’histoire, qui reste certes un roman, mais se déroulant en des lieux magiques bien réels, et où l’on croisera des personnages ou des communautés mystérieux : les Templiers, la Société Angélique, le Messie, et même Bérenger Saunière en balade en pays lyonnais… Adonis Lejumeau présentera son livre « Le Symbole dévoilé » (éditions de Phénicie) en avant-première ce week-end du 8 mai, à la Fête de la Forge de Saint-Martin-la-Plaine, près de Rive-de-Gier (Loire). Ayant rédigé la préface de cet ouvrage, je suis très heureux de pouvoir présenter aux lecteurs du Blog et en avant première un extrait choisi de celle-ci… « Le Graal ! Un nom sonore comme le tonnerre, qui éclate brusquement, puis se prolonge en un grondement sourd, dont les échos roulent longuement d’une montagne à l’autre… Le Graal, calice dont Joseph d’Arimathie se servit pour recueillir le saint sang coulant des blessures du Christ crucifié, selon les romans arthuriens. Il l’emporta en Gaule et institua une lignée sacrée chargée d’en assurer la garde. Le Graal, ineffable but de la queste de Perceval et des chevaliers de la Table Ronde, objet de tant de convoitises au fil des siècles. Mais quelle est donc la vraie nature du Graal ? Dans ce glorieux calice c’est le sang du Christ-roi qui vibre, qui palpite, qui rayonne, qui vit pour l’éternité. Sang royal, sang réal, Saint-Graal, la déclinaison coule d’elle-même. Ainsi l’essentiel n’est-il pas le flacon, mais l’ivresse du sang, intacte et préservée. Ce principe posé, tout ce qui a été imprégné par le sang du Christ, lors de la Passion, revêt une importance aussi capitale que le Graal lui-même : les clous, le marteau qui les a enfoncés, la tenaille qui les a retirés, la lance du centurion Longinus qui perça le flanc de Jésus pour le toucher au cœur. Et bien sûr la couronne d’épines. Tels sont les arcanes secrets qu’Alain Le François, le héros mis en scène par Adonis Lejumeau dans son précédent roman, (…). L’ombre passe, mais la lumière est éternelle… >[Patrick Berlier – « Le Druide du Pilat »]