Il se peut après tout que les Mayas soient dans l’erreur et il est permis de croire que 2012 sera une année de plus, comme les autres. Il est possible de penser que septembre de cette année là sera encore et plus que jamais le prolongement d’un bel été et décembre le préambule d’un désormais tardif hiver. Lorsque nous écrivîmes certaines choses ayant trait à cela dans notre ouvrage …en 1995, nous ne savions rien de ces signes, rien, sauf ce que dictait la voix. A présent que les éditions Arqa ont osé publier « l’île rouge » (et il fallait oser), la matière est fixée et reste à être vue, lue et comprise. Ce n’est pas chose accomplie sinon en quelques rares endroits. Un peu troublant que tant de sagaces esprits n’aient pas encore su briser l’os de Soleil. En fin d’ouvrage, en « ultima verba » se trouve pourtant la clé de cœur de l’entrée fermée dans le palais de ce roi d’effrayeur. Etonnant que notre petit univers dans lequel tant se disent chercheurs produisent au final si peu de trouveurs de Lumière. Non ce n’est pas facile et oui il s’agit vraiment d’hermétisme et de sceaux mais ce n’est pas introuvable pour tel qui connait et doit chercher comme tel qui voudrait parler mais doit se taire… >[Géraud de Barail].
Textes & photos © Arqa ed. // Sur le Web ou en version papier tous les articles présentés ici sont soumis aux règles et usages légaux concernant le droit de reproduction de la propriété intellectuelle et sont soumis pour duplication à l’accord préalable du site des éditions Arqa, pour les textes, comme pour les documents iconographiques présentés.