(…) M. Marlin-Miecret écrit encore pas ailleurs sur son blog, à propos de mon livre : « Un sujet qui frise le fantasme » : la phrase m’a tout d’abord défrisé, justement, mais après tout, qu’est-ce qu’un fantasme, sinon une rêverie, un mirage, en un mot un reflet ! Tous les psys vous diront qu’il est très sain et naturel d’avoir des fantasmes, alors prendre le temps et la peine de les friser, cela relève d’une maîtrise absolue de son ego, d’un contrôle aigu du subconscient qui n’est pas donné au commun des mortels. Si certains ont l’âge de leurs artères, moi j’ai l’âge de mes fantasmes, et je n’en suis pas peu fier ! « L’auteur, alors sous le pseudonyme d’Antoine Bruzeau, ayant participé dans les années 1990 aux travaux conjecturaux d’un certain Benoist Rivière sur le sujet. Il s’agissait en fait d’André Douzet… » : le fait d’avoir jadis écrit sous un pseudonyme, pour collaborer avec André Douzet, rendrait-il mes publications d’aujourd’hui moins fiables ? Mais, non, rassurez-vous. Venant de la part de M. Philippe Marlin, la remarque informulée est un compliment : tout le monde sait que Philippe Marlin est le pseudonyme usité par M. Philippe Miecret pour s’adonner à ses passions. Passions qui l’amenèrent précisément à collaborer lui aussi avec André Douzet et son association « Société Périllos », dont il fut en d’autres temps le… vice-président et le trésorier ! Il ne parlait pas alors de « travaux conjecturaux », et songeait au contraire à rééditer la fameuse brochure « Lumières nouvelles sur Rennes-le-Château » qui avait fait connaître André Douzet dans le landernau castelrennais, et dans laquelle j’avais signé divers textes sous le nom d’Antoine Bruzeau.
M. Marlin-Miecret revient en effet sur cette révélation, qu’il s’était déjà fait un plaisir de divulguer jadis dans sa défunte revue « Murmures d’Irem ». Je ne m’en suis jamais caché, cette collaboration a été empreinte d’honnêteté intellectuelle de ma part, et je me suis toujours défendu de cautionner ce que M. Marlin nomme de façon méprisante « la Douzetologie ». Je m’en étais ouvert envers lui, dans un courrier que je lui adressai le 13 juillet 2004. M. Philippe Marlin me répondit, le 28 du même mois : « la lecture [de « Lumières nouvelles… »] montre bien la superposition de deux recherches, l’une rigoureuse, l’autre fantaisiste ». Dont acte… Dans ce même courrier M. Marlin-Miecret m’encourageait à entamer une collaboration avec les éditions Arqa, précisant : « avec Thierry Garnier vous êtes entre d’excellentes mains ».
C’est un conseil que j’ai suivi, merci Monsieur Marlin-Miecret.
PS 1 / M. Miecret Philippe, pour l’état civil, alias « Marlin » utilise également de nombreux autres pseudonymes exotiques, par goût des « reflets » sans doute, (pour ne pas dire autre chose – chacun jugera) ; tels le « Marlin bleu », (voir sa page Facebook, qui vaut le détour, où les liens signalés sur cette même page laissent rêveurs) ; mais également : « Marlinius » sur Twitter ou « Phil » ou mieux encore, qualifié par ses laudateurs de… « Grand Maître de l’œil du Sphinx qui détient tous les pouvoirs et connaît tous les secrets… » (sans commentaires…). A découvrir également sur le site, 123people, cette fois à la page Philippe Miecret, on découvre les « amis de Philippe Miecret », aucune photo cette fois-ci de l’inénarrable « bibliothécaire », mais une photo de Lhuillier, l’ancien maire de RLC… et une photo d’André Douzet, en personne ! (Comme quoi, le monde est vraiment tout petit et plein de surprises paradoxales).
PS 2 // Franck Daffos, ami et préfacier de mon livre, ayant lui aussi été pris à partie par M. « Miecret » – « Marlin » – « Marlin-bleu » – « Marlinius » – « bibliothécaire » – « Grand-Maître-de-l’OdS »… dans ce même article, vous pourrez retrouver dès demain sur le blog des éditions Arqa sa réponse détaillée, qui ne manquera certes pas de sel et permettra surtout d’édifier bon nombre d’internautes et de nouveaux chercheurs castelrennais sur ledit « bibliothécaire » – pour les autres…
PS 3 // Certaines pages du Web, « embarrassantes » pour son propriétaire, ayant parfois tendance à disparaître comme par enchantement, sans doute la magie du web, nous avons de notre côté conservé les éléments que nous mettons en avant dans nos propos, selon copie-collés, captures d’écrans, etc., dans nos archives, et fait constater, la totalité des informations que nous allons maintenant présenter avec les liens ad hoc, bien entendu.