Arrière petit-fils du baron Georges de Condé (1), il descend en ligne directe de Baudoin 1er de Jérusalem (Baudoin de Boulogne, frère de Godefroy de Bouillon). On doit noter que ses multiples facettes s’inscrivent déjà, entre spiritus familiaris et spiritus mentis, dans sa généalogie puisqu’il est aussi l’héritier, côté paternel, de Simon Caboche, l’écorcheur révolutionnaire qui prit la Bastille en 1413…
Blues, jazz et rock n’roll, parce qu’il travailla, tout jeune sur une base militaire américaine, il s’ouvrit à d’autres horizons en suivant les cours des Arts et Métiers où, parmi ses enseignants, il y eut… Jacques Bergier.
Ingénieur technico-commercial d’une importante société française de matériel électronique de mesure, il se retrouva, à Toulon, proche du Pr. René Hardy et de sa famille. Et enquêta sur le suicide controversé de celui-ci, recueillant de nombreux témoignages dont, au premier chef, celui du Pr. Robert Tocquet…
Quant au Dr Hubert Larcher, il préféra venir le rencontrer chez lui pour débattre du sujet en toute discrétion.
Vice-Président de la Société Varoise des Phénomènes Spatiaux et responsable de la commission parapsychologie, il démissionna au printemps 1974 pour monter le Comité d’Études Varois Ouranos. Entamant là une analyse du phénomène OVNI inspirée de Jung, qui s’affinera quelques années plus tard au sein d’un groupe réduit à 7 membres – qui se retrouveront 8 grâce à la participation extérieure de Pierre Viéroudy [Ces OVNI qui annoncent le surhomme, 1977] qui traiteront le plus grand cas de « contacté » français, signant leurs articles du nom d’Hepta dans La Revue des Soucoupes Volantes (2).
Ce fut ensuite Sisteron et l’aventure commerciale du Grand Bazar de la ville. Dans le même temps, la création du Club HÉRMÉS, qui entretenait les meilleurs rapports avec l’IMS