Rennes-le-Château est à l’honneur ce mois-ci aux éditions Arqa. Après les tomes 1 et 2 publiés en 2015, deux rééditions très attendues ce mois-ci sur le site des éditions, avec deux nouveaux livres de Franck Daffos, les tomes 3 et 4 des « Chroniques de Rennes-le-Château ».
Tout d’abord « L’Affaire des carnets – Réponse à Octonovo », présenté avec une nouvelle préface de Franck Daffos (un extrait est à découvrir ci-dessous). Ce livre qui fut un véritable bestseller lors de sa sortie – il y a huit ans déjà – et qui permit alors de remettre « l’église » au centre du petit village audois…, Laurent Buchholtzer alias… « Octonovo » qui avait alors réalisé – pour lui-même – la fiche de lecture de ce magnifique livre s’en souvient encore…
Et puis, autre tome en réédition, « L’Or de Rennes… », ouvrage coécrit avec Didier Hericart de Thury, publié en juillet 2011, livre qui eut l’honneur, en son temps, de faire le journal de 20 heures de TF1, en cet été 2011.
Ces deux livres de combat, fort appréciés des connaisseurs, méritaient grandement une nouvelle édition qui confirme, si besoin était, l’immense travail d’études et de recherches mené depuis deux décennies par ce chercheur hors pair qu’est Franck Daffos. Deux livres à retrouver sur le site des éditions et des extraits sur notre WebZine dès aujourd’hui… !
ANNEXES – La » fiche de lecture » du livre par Laurent Buchholtzer alias… « Octonovo »
Lors de sa sortie, le livre de Franck Daffos « L’Affaire des carnets – Réponse à Octonovo » défraya immédiatement la chronique castelrennaise au point tel que l’auteur indélicat mis en cause dans cet ouvrage : Laurent Buchholtzer – alias « Octonovo » – se crut obligé de réaliser par la suite, sur son site Internet, une… « fiche de lecture » du livre de Franck Daffos. Quand on connaît le travail remarquable et les recherches plus que pertinentes de Franck Daffos sur tous les sujets touchant l’affaire de Rennes-le-Château, recherches inédites et totalement inattaquables sur le fond, cette « fiche de lecture » partielle, partiale, hors de propos et d’analyses de Buchholtzer, relue avec un certain décalage temporel ne manque pas de sel, pour ne pas dire plus…
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La fiche de lecture de Laurent Buchholtzer
TITRE L’affaire des carnets, réponse à M. Octonovo
AUTEUR Franck Daffos
ÉDITEUR Arqa éditions
Année 2008 – En vente
GENRE Curieux
CONSEIL Pas de conseil
INTÉRÊT Pas d’intérêt
MON AVIS Une curiosité. Note 0
Mon avis //
Cette curiosité est la reprise d’un travail que M. Daffos me consacre sur Internet en réponse à mon livre, Rennes-le-château, une affaire paradoxale. Sur la forme l’ouvrage est ambitieux. Selon l’auteur et ses associés je serais : absurde, abusif, affirmatif, ambigu, ambitieux, arrogant, artificiel, bête, bref, carencé, chien, condescendant, comédien, coucou, critique, debunker, débutant, dégoûtant, déliquescent, désinformateur, diffamant, dilettante, discrédité, distrait, doctoral, « échotier de bas étages », édifiant, égotique, éhonté, faible, falsificateur, faussaire, fou, galérien, « Grandeur Monsieur je sais tout » (sa), grave, grossier, grotesque, hypocrite, idiot, ignorant, imbécile, impuni, incompétent, inculte, inquisiteur, insuffisant, insupportable, irrecevable, ironique, lapidaire, malheureux, malhonnête, malpoli, malséant, manquant d’objectivité, marionnette, mâtin, menteur, méprisant, obsédé, œillères (avec des), oublieux, paradoxal, pas sérieux, péremptoire, persifleur, peu assuré, piètre chercheur, plagiaire, polémiste, prédateur, pressé, Rastignac, rêveur, rocambolesque, romancier, sans gène, sans humour, singulier, sot, stupéfiant, stupide, suffisant, superficiel, toc, vitupérateur et voleur. Malheureusement, sur le fond c’est très décevant. Bref : une curiosité.
Les Chroniques de Rennes-le-Château – Tome III
L’Affaire des Carnets – Réponse à Octonovo
Préface à la seconde édition
Ainsi donc, après la réédition du « Secret dérobé » et du « Puzzle reconstitué » fin 2014, mon éclairé éditeur et ami, Thierry Emmanuel Garnier, s’attelle à une nouvelle édition de « L’affaire des carnets, Réponse à Octonovo » datant de 2008, qui n’était à la base sur un forum d’Internet qu’une réponse argumentée à la suffisance d’un de ces trop nombreux auteurs sans personnalité ni courage qui se sont par intérêt et facilité rangés sous l’étendard miteux d’un hétéroclite cénacle de pseudos intellectuels auto-proclamés clamant que toute cette énigme de Rennes-le-Château n’était qu’une escroquerie montée dans les années 1960 par un certain Pierre Plantard et ses sbires.
Il n’empêche que j’avais été le premier à l’époque à expliciter dans ce livre le système de financement de l’abbé Saunière articulé en deux temps, avant et après 1899, et à révéler son ingénieuse utilisation d’« annuaires ecclésiastiques » pour, dès le début des années 1900, monter un trafic de messes à l’échelon national …
Huit longues années se sont écoulées depuis 2008, et on continue encore et toujours à disséquer la vie et les écrits de ce pauvre curé qui ne fut absolument pour rien dans cette affaire, et qui n’a jamais vraiment compris tout ce qui lui était arrivé de par la volonté dans l’ombre d’autres ecclésiastiques qui eux savaient parfaitement ce qu’ils faisaient ! En vrai miroir aux alouettes, Saunière est assurément la plus belle voie sans issue de toute cette énigme, démontrant définitivement que dans notre cher Razès quand le sage montre la lune, les sots ne savent regarder que son doigt !
Pas de changements donc depuis tout ce temps: l’immense majorité des soi-disant « chercheurs » continue à tourner en rond dans une extraordinaire farandole sans fin où les tours de manège gratuits ramènent invariablement les mêmes sujets, écœurant de lassitude tous les vrais aficionados de cette énigme.
Mais soyons justes, il nous faut quand même noter certaines évolutions : ainsi dans mon livre de 2008 objet de cette réédition, j’avais également été le premier à publier les véritables références du chemin de croix de l’église de Saunière provenant de chez le statuaire Giscard à Toulouse, ainsi que plusieurs autres exemplaires similaires de ce même chemin de croix que nous avions découverts ailleurs en France avec Didier Héricart de Thury. Ceux d’alors qui du haut de leur superbe raillèrent ces découvertes n’ont pas hésité depuis à se rabaisser pour se les approprier sans aucune gène ni remord, et (…)