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L’apparition formelle des trois Manifestes de la Rose-Croix, en 1614, 1615 et 1616, marque trois dates mémorielles dans l’Histoire de l’Hermétisme occidental. Passé quatre siècles, elles marquent aussi un anniversaire en forme de pierre blanche posée sur la ligne du temps, en signe sacramentel. Un signe des temps mais aussi un sceau de cire rouge orné d’une rose pourpre, en relief, pour signifier à chacun, au passant, au questeur, à quel point les écrits de l’Ancien Ordre mystique sont fondamentaux pour toute quête initiatique authentique.

Les éditions Arqa se devaient de saluer à leur manière ce moment si important, en cette date anniversaire, pour commémorer les quatre-cents ans de la Fama, de la Confessio et des Noces, et pour ainsi faire œuvre utile en présentant de nombreux documents inédits sur ces « Frères invisibles ».

Gil Alonso-Mier – Rafal T. Prinke – François Trojani – Thierry Emmanuel Garnier – Cédric Mannu – Patrick Berlier – Frédéric Garnier – Benoît Fichefet

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Le Soleil est-il l’astre royal bienfaiteur autour duquel tournoient inexorablement les ellipses des sept planètes dominantes aux farouches dieux tutélaires ? Le Soleil et la Lune sont perçus depuis l’Aube comme les gémeaux alternatifs du Grand Ciel des Anciens. Ils représentent à eux deux les polarités opposées, mâles et femelles, Yang et Yin, lumineuses et obscures dans les ténèbres de la psyché des hommes, clairvoyantes le jour, ondulantes et réfléchissantes la nuit, au sein du Grand Tout alchimique, comme l’évoque avec art Michael Maier dans son Atalante fugitive.

Jusqu’au XVIIe siècle la Tradition du Vivant, l’Hermétisme, la Raison pure et l’Inquisition s’affrontent toujours inexorablement dans des luttes intestines qui n’ont d’égales que les querelles de religions. Pour les hommes de foi, scrutateurs de la voûte étoilée, au-delà des phénomènes astronomiques connus il y a aussi parfois des phénomènes inconnus, même si les plus grandes civilisations réussirent à maîtriser parfaitement, sur du très long terme, des calendriers cosmiques remarquablement précis. Pour l’homme de la plèbe, pour les esclaves sans nom, pour les paysans sans terres, les fantasmagories vues dans le ciel, la disparition momentanée des astres comme les éclipses de Soleil ou de Lune, sont toutes porteuses de peurs intangibles pouvant engendrer le malheur des êtres et l’effroi des peuples. Il y a aussi les comètes funestes, traçant dans le ciel de la nuit étoilée des chevelures argentées occasionnant sur notre planète, disent les augures, des tremblements de terre, des raz-de-marée, des éruptions volcaniques… De l’an mille au XVe siècle on accuse volontiers les comètes d’apporter la peste noire et les pires épidémies.

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Il y a bien a contrario « l’Étoile de Bethléem » qui révéla aux hommes la naissance du Galiléen et conduisit les Mages-Rois dans la contrée lointaine de Judée… Mais qu’était-elle véritablement cette « Étoile de Bethléem » ? S’agissait-il en réalité d’un phénomène stellaire lumineux totalement inconnu, tel une supernova, s’agissait-il du passage d’une comète aux élans erratiques et aux brillances irradiantes, ou bien – comme l’écrira en 1614 Johannes Kepler (1571-1630) – plus simplement, d’une Grande Conjonction de Saturne et de Jupiter, alignés dans la Constellation des Poissons, à l’abord du solstice d’hiver, sept années avant la naissance officielle du Messie ? Si tel est le cas, selon l’astrologue allemand Walter Koch (1895-1970), l’initié occultiste rescapé du camp de concentration de Dachau conclura, avec une certaine précision, que la date approchée la plus vraisemblable de la naissance du Christ est le 14 septembre de l’an 7 avant notre ère, à Ephraath, au coucher du soleil.

À propos de la Supernova dont nous voulons apporter à notre lecteur quelques indices significatifs, signalons qu’en 1604 le point vernal était décalé d’environ 5° 41’ 39” par rapport à notre époque. Johannes Kepler qui s’était penché sur cet épineux problème des signes dans le ciel consacrant la naissance du Christ avait dans un premier temps émis l’hypothèse que nous venons d’évoquer relative à la conjonction Jupiter-Saturne de l’an – 7, le savant considéra cependant, par la suite, que le phénomène lumineux perçu par le monde entier lors de la naissance du Messie pouvait bien être en fait une « supernova » ou une « étoile nouvelle », telle que celle qu’il venait d’observer dix années auparavant dans le ciel de Prague, en 1604, l’année même de l’ouverture du fameux tombeau-crypte de Christian Rosenkreutz !

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Dessin daté de 1937, de l’astronome jésuite M. W. Burke-Gaffney représentant une partie de la constellation du Sagittaire et reprenant les travaux de Kepler avec la position dans le ciel de la Supernova de 1604, et des planètes Mars, Jupiter et Saturne.

* * *

Dans ces conditions prophétiques exceptionnelles, la supernova de 1604 annonçait-elle symboliquement le retour du Sauveur sous un nom d’emprunt, celui de « Christian Rosenkreutz » – le Fils-Dieu signé au cœur et au sang de la Rose et de la Croix ? Comme le dessinera avec talent le mystique chrétien Abraham von Franckenberg (1593-1652), ne crache-t-il pas cet Envoyé du Père de sa bouche une épée flamboyante, ne tient-il pas dans sa main droite une couronne de sept étoiles rayonnantes et dans sa main gauche le Livre de Vie, scellé des sept sceaux ? À l’ombre des ailes de Jehova, la Fama Fraternitatis était-elle enseignée, en toute clandestinité, bien avant la date initiale de 1614, par des Maîtres Secrets au point d’être garante de cet invisible miracle ?

Il en est ainsi des intersignes valeureux qui jalonnent l’insoupçonnable marche de l’Humanité claudicante, embourbée dans les méandres marécageux et oniriques de sa voie anthropique. Le chiffre quatorze, signe d’harmonie et d’équilibre, fait partie de ces intersignes. La lettre Noun נ, quatorzième lettre de l’alphabet hébraïque, représente le symbole du serpent (נחש – nahash) ou du poisson, elle évoque les mystères cachés des profondeurs et concerne la perpétuation des choses occultées, mais aussi l’élan vers la renaissance, la productivité de la terre, les moissons et le réensemencement. En 1314, l’obscurcissement visible de l’Ordre du Temple à fin de régénération prend toute son amplitude, les Blancs Manteaux à la croix de gueules disparaissent irrémédiablement dans l’ombre des coulisses de l’Histoire pour mieux se purifier ; en 1414, le concile de Constance (Bade-Wurtemberg) signe une fin définitive au Grand Schisme d’Occident ; en 1514, Albert Dürer, l’initié de Nuremberg, marque sa gravure-testament la Melencholia de cette même date et d’un carré magique où apparaît le nombre 1514 ainsi que la comète de l’hiver 1513-1514, aux accents funèbres. (En 1854, l’inégalé Gérard de Nerval, très grand parmi les plus grands, le veuf, l’inconsolé, rendra hommage à Dürer dans son poème El Desdichado : son luth constellé « porte le Soleil noir de sa Mélancolie », nous dit-il). En 1614, les Invisibles de la Fama Fraternitatis révèlent enfin au Monde, en pleine lumière, leur engagement philosophique…

À l’ombre de ses ailes…

Who vagrant transitory Comets see,
Wonders, because they are rare : but a new star
Whose motion with the firmament agrees,
Is miracle, for there no new things are.

John Donne

La supernova de 1604 – historiquement la dernière supernova s’étant révélée dans notre Galaxie – autrement appelée « SN 1604 » ou « Supernova de Kepler », même si ce dernier n’en fut pas à proprement parler le découvreur, est une étoile nouvelle dont l’explosion ignée est apparue au mois d’octobre 1604, dans la voie lactée, dans la constellation d’Ophiuchus.

L’apparition éblouissante et inattendue de cette supernova est perçue en priorité par deux scientifiques italiens et ce dès le 9 octobre 1604 ; le lendemain 10 octobre, un disciple de Kepler, Jan Brunowski, qui a vu lui aussi « l’étoile », prévient en hâte le savant qui s’arme de patience afin d’apercevoir le phénomène céleste, empêché qu’il est pour l’heure par une météo capricieuse. Johannes Kepler écrira trois mois plus tard, le 6 janvier 1605, au chancelier Herwart von Hohenburg (1553-1622) l’objet de son étude

(…).

* * *

Ce phénomène fort lumineux de très grande intensité, parfaitement décrit par Kepler comme nous pouvons le juger a posteriori, se référant au célèbre astronome danois Tycho Brahe, restera ensuite visible aux yeux de tous durant une année pleine jusqu’au mois d’octobre 1605, c’est dire l’incroyable importance de ce signe céleste. L’année suivante Kepler écrira dans son De Stella Nova, publié à Prague en 1606, que cette « étoile nouvelle » brillant dans le ciel comme un charbon ardent ne peut que préfigurer la venue d’un « Homme nouveau » qui enseignera une nouvelle religion et réconciliera tous les chrétiens de bonne volonté grâce à une essentielle « réforme », le mot n’est pas ici à prendre à la légère car nous le retrouverons bien sûr huit années plus tard, en toutes lettres, dans la Fama Fraternitatis à propos de Christian Rosenkreutz :

« Une personne a lutté longuement et de façon acharnée à réaliser cette réforme universelle et ce fut le Père pieux, spirituel et hautement illuminé, le Frère Christian Rosenkreutz, un allemand, le chef et fondateur de notre Fraternité. »

Quant à la « nouvelle étoile » de Kepler, la supernova de 1604, elle n’est pas, elle non plus, absente des trois textes fondateurs de la Rose-Croix puisqu’on la retrouve parfaitement nommée entre les lignes – en 1615 – au chapitre septième de la Confessio Fraternitatis :

« Personne ne doit douter, affirmons-nous, que Dieu a envoyé des messagers en dévoilant des indices célestes, tels que les nouvelles étoiles du Serpent et du Cygne pour annoncer la venue d’un grand conseil des Élus. Cela prouve que Dieu manifeste dans la Nature visible pour le petit nombre sachant discerner les signes et symboles de tout ce qui doit arriver. Dieu a donné à l’homme deux yeux, deux narines, deux oreilles, mais une seule langue, tandis que les trois premiers organes perçoivent la sagesse de la Nature dans l’esprit, la langue seule est capable de la traduire. De tous temps il y a eu des êtres illuminés qui ont vu, senti, entendu la volonté de Dieu, et il adviendra bientôt que ceux qui ont vu, senti, entendu élèveront la voix et révéleront la vérité ; mais auparavant le monde devra se débarrasser des intoxications de la fausse science et de la fausse théologie en ouvrant son cœur à la vertu et à l’entendement ; c’est alors qu’il pourra saluer le soleil levant du vrai, du beau, du bien. »

Il est à noter – comme le dit la Fama – et comme on pourra d’ailleurs le retrouver dans la partie supérieure, de part et d’autre de la planche dite du « Chariot de la Rose-Croix » de Theophilus Schweighardt, que « la venue de ce grand conseil des Élus » s’effectuera bien à partir de l’année 1604, puis dans la décennie suivante, avec l’édition de ce texte fondateur. Rappelons que les deux signes dans le ciel dont il est question ici, dans la planche de Schweighardt, concernent : à gauche de la planche, le Serpentaire (Ophiuchus), treizième signe du zodiaque, pour la supernova de 1604 ; et dans la partie droite de la planche, la constellation du Cygne, pour l’étoile γ du Cygne, située à 5 000 années-lumière de nous et qui se mit à briller soudainement, sans préavis, durant l’année 1600. C’est l’incroyable érudit Hollandais Willem Jaanszoon Blaeu (1571-1638), fidèle disciple de Tycho Brahe, sans doute l’un des plus grands cartographes de son temps, à la fois éditeur et imprimeur de son propre travail, il publia à la fois des cartes exceptionnelles de justesse, des atlas gravés d’une précision angélique et des globes terrestres d’une très grande exactitude pour l’époque ; qui remarque pour la première fois, le 18 août 1600, cette étoile variable extrêmement brillante, se mettre à scintiller inconsidérément dans cette partie du ciel et devenir dix fois plus brillante qu’à l’accoutumée ! Elle annonce de quatre années la supernova de Kepler. Faut-il y voir ici, comme nous le pensons fortement, le couple Dioscures Elie-Rosenkreutz, annoncé dans les Cieux en 1600-1604 – pour ceux qui veulent bien le discerner ?

Traditionnellement un « signe dans le ciel », comme une comète, est la plupart du temps perçue par les sociétés des hommes comme un signe de mauvais présage, mais ne perdons pas de vue – comme pour l’étoile de Bethléem (s’il s’agit bien d’une « étoile nouvelle ») – que pour ces années-ci : en 1572 (avec la célèbre observation de Tycho Brahe – dit l’homme au nez d’or) ; en 1600 (avec l’observation de Willem Jaanszoon Blaeu) et en 1604 (avec le compte-rendu de Kepler dans son De Stella Nova in Pede Serpentarii), nous sommes bien en présence de rarissimes supernovæ, c’est-à-dire de l’explosion d’une étoile, et non pas de l’apparition d’une comète ! Le fait est notable est la symbolique en est diamétralement opposée… Pour les comètes, il nous faut d’ailleurs nuancer cependant notre propos. La comète peut être parfois considérée – dans certains cas – comme un signe de victoire, par exemple en 1066, avec la comète de Halley annonçant la victoire de Guillaume le Conquérant et la mort d’Harold, le roi d’Angleterre ; comme étant bénéfique ou comme un symbole de « Justice » – c’est-à-dire qu’elle entre alors en relation symbolique avec les lois cosmiques de rétributions karmiques. En 1604, il n’en est pas de même pour une supernova de cette amplitude, annonciatrice, elle, de bouleversements majeurs et bienfaiteurs dans l’Histoire de l’Humanité.

Dès le 7 décembre de l’année 1603, l’attente est fiévreuse par tous les observateurs astronomes et astrologues qui scrutent, nuits blanches après nuits blanches, cette Grand Conjonction Jupiter-Saturne à peine entrée dans le huitième degré du Sagittaire le 7 décembre de l’année 1603, elle effectue enfin cette première incursion tellement attendue par tous depuis 805 années, dans le Triangle de Feu : Sagittaire, Bélier, Lion !

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Sachant que cette conjonction Jupiter-Saturne, avec Mars conjoint Jupiter à moins d’un degré, qui accentue encore le magnifique spectacle de la mécanique céleste en action et surtout la luminosité avérée au-delà de la voûte du Ciel, consacre comme nous venons de le retracer à travers les textes Rose-Croix évoqués – au plus haut chef – la venue d’un Initié majeur, entouré d’anges aux ailes déployées, annoncé en outre – quatre année plus tôt – par un précurseur… Le terme est employé à dessein.

Au plan de l’Astrologie traditionnelle on notera que, pour le thème choisi de la nuit du 10 octobre 1604 à Prague, la Grande Conjonction Mars-Jupiter-Saturne forme un aspect harmonieux avec le nœud sud, en Bélier, ainsi qu’avec le Soleil, proche du nœud nord, en Balance. Dans une vision de second degré, dans une astrologie à dix planètes, nous n’omettrons pas de signaler l’importance de Pluton conjoint à la Lune noire, à moins d’un degré du nœud sud, le tout en opposition à la fois à Mercure et au Soleil, thème qui mettra en évidence, on le voit, la redécouverte à venir durant ce XVIIe siècle des grands mystères cachés de l’Antiquité et du Moyen Âge, tous liés à la Magie, à l’Occultisme sous toute ses formes, et bien entendu à l’Alchimie égyptienne.

C’est donc dans ce théâtre d’ombres et de lumières célestes, tel un feu d’artifice cosmique scruté par tous les grands initiés de l’époque, au cœur même de cette triple conjonction, Mars-Jupiter-Saturne que se met à exploser de mille feux en ce 9 octobre 1604 la supernova des Rose-Croix… ! Et c’est en plein milieu de ce spectacle pyrotechnique surnaturel que s’opère miraculeusement l’ouverture programmée du tombeau de Christian Rosenkreutz !

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Devant un tel vertige sidéral, aussi inattendu que merveilleux, puisque la vision opérante du spectateur, en 1604, concernait une étoile du ciel distante de la Terre de 13 000 années-lumière et qui avait explosé en réalité voilà plus de 13 400 années…, Kepler s’écriera alors : « Ce nouveau prodige céleste a été associé par notre Dieu tout puissant lui-même aux trois planètes Saturne, Jupiter et Mars, alors en conjonction, par un dessein très précis en accord avec le Salut des Hommes… ».

Faut-il soulever le voile à nouveau ? C’est bien grâce à la réintégration terrestre de Christian Rosenkreutz, durant ce début de siècle béni, qu’un cercle choisi de fortes âmes éclairées aux grands Mystères put accompagner

(…)

Thierry E. GARNIERLes Chroniques de Mars, numéro 22 – novembre – décembre 2016.

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1614-1615-1616 – 2014-2015-2016

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