Le 24 mars 1803, un avocat-poète de passage à Nice, Domenico Rossetti, découvre une grotte voisine du Mont-Chauve. Quelques mois plus tard, à Turin, il publie un long poème, La Grotta di Monte-Calvo, sur le frontispice duquel figure une pyramide dont il n’est nullement question dans le texte. Au XXème siècle, la pyramide sera attribuée aux Celtes, aux Romains, aux Templiers…
L’auteur, sur les pas de Rossetti à Turin, est amené à s’intéresser à une loge maçonnique dont certains des membres sont qualifiés de dangereux par le régime français en place, tandis que d’autres se révèlent être directement liés au poème.
Deux cents ans après la mort de Rossetti, le mystère plane toujours sur les contreforts du Mont-Chauve.
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