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Mais quelle mouche l’a donc piquée… ?

Désormais, il faudra parler des « 3 diables de Rennes-le-Château » lorsque l’on parlera d’ « Asmodée », le diable cornu, gardien du seuil, à l’entrée de l’église de Rennes…

* * *

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Sans aucun doute, sa majesté « le roi des mouches », Belzébuth en personne, a envoyé l’une de ses plus fidèles Muscomorpha (de l’Ordre secret des Brachycères), pour piquer à la tempe dernièrement, en avril 2017, une ingénue mahométane et néanmoins audoise, un peu simplette d’esprit, ayant eu comme seule idée délirante, tout en criant « – Allahu Akbar », de s’introduire subrepticement dans l’édifice sacré jouxtant le domaine de l’abbé Bérenger Saunière, pour détruire – non pas avec une ceinture d’explosifs – (c’eût été pour le coup un feu d’artifice propre à réveiller les morts du cimetière avoisinant…), mais détruire à coup de hache, la tête d’Asmodée, entité maléfique symbole de toutes les dérives perverses dévolues à ceux qui s’approchent de trop près du soleil noir de Rennes-le-Château… ; détruire aussi avec violence cette pauvre Marie-Madeleine qui en perdra la tête – elle aussi – et qui n’en demandait pas tant pour faire à nouveau le buzz – après l’incroyable affaire du « Da Vinci Code » de 2003 (1)…

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Sortons les mouchoirs, car la messe est dite.

Il y aura donc trois diables à Rennes-le-Château… !

I – Le premier diable

Le « premier diable » de Rennes, je veux dire par là « l’originel » ou le « primitif », fut réalisé par les établissements Giscard, à Toulouse, et fut installé par Saunière au moment de la décoration de l’église, c’est-à-dire durant la décennie 1887-1897 (2). Sans entrer dans trop d’informations symboliques que nous avons déjà largement données en détails, en 2008, dans « L’ABC de RLC – L’Encyclopédie de Rennes-le-Château », nous pouvons quand même dire que le diable supportant un bénitier est une sculpture métaphorique chrétienne, dont on connaît certains exemples ailleurs qu’à Rennes, notamment en Bretagne…

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De la sorte, à Dinan, le bénitier de l’église Saint-Malo est posé sur l’échine d’un diable cornu, grimaçant, qui ploie sous la lourde charge, et l’assure de son bras droit rejeté en arrière. Il est accroupi, le genou gauche en terre, et s’y appuie de son bras gauche. Le tout sculpté dans une pierre monolithique. À Campénéac, en forêt de Brocéliande, le diable soutient la chaire de l’église. Sculpté en bois, il déploie partiellement ses ailes de chauve-souris, le genou droit en terre, la main droite appuyée dessus, doigts écartés. Son bras gauche s’appuie du coude sur son genou gauche, la main venant se poser contre la tête cornue. Ces deux représentations du diable offrent de nombreuses ressemblances avec l’Asmodée de Rennes-le-Château. Il est un autre exemple beaucoup plus proche de Rennes-le-Château, c’est celui de la collégiale de Montréal, près de Carcassonne, dont le bénitier de pierre est formé d’une vasque soutenue par un diable grimaçant, aux grandes oreilles, semblant émerger d’un puits en appuyant ses mains noueuses et griffues sur la margelle (3).

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Par ailleurs sur le nom d’Asmodée, comme je l’ai déjà fait remarqué à plusieurs reprises, notamment en conférence à Rennes-le-Château, en septembre 2006, au Jardin de Marie, le nom « d’Asmodée », donné à ce diable de Rennes, le fut seulement à son origine, en 1967, par Gérard de Sède, et ce de façon empirique et totalement déconnecté de toute réalité archivistique. Il est le premier auteur à avoir baptisé le diable de Rennes ainsi. Il s’agit ici d’une vision onirique pure, ce qui n’enlève rien d’ailleurs à sa charge symbolique. Ajoutons par digression, au passage, puisque nous évoquons Gérard de Sède, qu’il m’apparaît important de signaler un détail qui semble échapper à beaucoup à l’heure actuelle, (puisqu’aucune manifestation prévue en ce sens n’a eu lieu cette année) ; c’est que pour notre part nous célébrerons plus volontiers le cinquantenaire de la sortie de « L’Or de Rennes », en 1967, que le centenaire de la mort de Saunière…, décédé en 1917 – et ce pour des raisons bien compréhensibles à tous – Tout au moins je l’espère.

II – Le deuxième diable

En ce qui concerne le « premier diable de Rennes », il faut bien reconnaître qu’il possédait un pouvoir d’évocation bien supérieur à son remplaçant, avec ses yeux en bille de loto, que l’on a pu voir à l’entrée de l’église, à partir du milieu des années 1990 jusqu’au semestre dernier et qui apparaît, somme toute, assez médiocre en comparaison…

Rappelons les faits.

En 1995, un iconoclaste fou, tout aussi branque que notre djihadiste audoise a, un dimanche, en fin de matinée, décapité à coup de masse l’« Asmodée » rennais, puis sectionné son bras droit… La terre cuite polychrome façonnée de main de maître par Giscard et ses employés cent ans auparavant n’a pas résisté à la sauvagerie du maboul psychopathe. Il faut également savoir, à propos de ce fait divers, que les débris de la tête et du bras furent aussi emportés par le dément – ce qui ajouta à la destruction irréversible du diable primitif de Rennes, le délit de vol… – ce même jour, la tombe de Saunière fut, elle aussi, vandalisée sans doute par ce même déséquilibré.

Travaillant sur le mystère depuis plus de trente ans j’ai eu l’occasion, il y a quelques années maintenant, de recueillir ces mêmes faits assez rocambolesques que nous décrivons, de la bouche même d’un ami cher, témoin de l’histoire, très fin connaisseur du mystère de Rennes et qui avait bien connu Marie Dénarnaud en son temps… Il se trouve que cette personne, native de la région, toujours de ce monde grâce à Dieu – il peut toujours en témoigner – était bien-là, présent, au moment du délit, puisqu’il était dans le presbytère de Saunière, attenant, en train de faire une « gache » comme on dit chez nous, et carreler une partie du sol… Entendant le fracas dans l’église, notre ami courut aussitôt voir ce qu’il advenait et fut le premier sur les lieux du drame… Il eut à peine le temps d’entrapercevoir le fugitif (c’était un homme, cette fois-ci), partir en courant du village de Rennes. A quelques secondes près, connaissant le caractère bien trempé de mon ami, je peux vous dire qu’il échappa à une sacrée correction…

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A partir de cette date de 1995, donc, il fallut bien retrouver une « tête de diable » à « recoller » sur la statue décapitée. Les travaux de rénovation furent entrepris sous la houlette de la mairie d’alors (fort compétente) et une statue restaurée d’après photographies fut érigée en lieu et place bien vite. Si ladite restauration fut assez propre, il faut le reconnaître, il n’en demeure pas moins que le caractère dramatique du « premier diable » ne fut pas plastiquement au rendez-vous… Une enquête sur le « Catalogue Giscard » de Toulouse, aurait sans doute permis au restaurateur habile de prendre connaissance des modèles déjà effectués par le statuaire, soit via son catalogue (si possible), soit dans des églises répertoriées possédant un diable similaire (en qualité, mais pas en taille). La tâche évidemment n’était pas mince mais méritait que l’on s’y attardât. C’est sans doute ce défaut qui fit la différence esthétique entre les deux premiers diables de Rennes.
Aujourd’hui, grâce à Franck Daffos (4), propriétaire de l’ouvrage, et à Jean-Pierre Garcia, tout chercheur peut maintenant consulter en ligne le « Catalogue Giscard », gratuitement, ce qui permettra à tout investigateur de se reporter aux figures numéros 10 et 22 de ce même catalogue et avoir certaines connaissances en la matière, concernant une certaine statue de Saint Michel et un diable fort évocateur à celui de Rennes ; puisque l’on sait que Giscard recyclait en permanence ses statues au gré des commandes reçues… Actuellement, on peut considérer que seules trois églises en France, (que je ne citerai pas ici), possédant des diables plus ou moins ressemblants, permettraient de s’approcher un tant soit peu de l’original primitif – « l’Asmodée » de Giscard, de Rennes – et des statues-moulages qui furent réalisés par ses établissements à l’époque. Il va de soi qu’une telle démarche faciliterait grandement la restauration à venir. Une de ces statues de diable que j’ai pu consulter récemment, réalisée toujours par Giscard, présente une face incroyablement similaire à celle que l’on connaît à Rennes, même si elle n’est pas exactement à la même échelle que la statue à l’entrée de l’église… (5) – Mais aujourd’hui, avec une imprimante 3D, le problème serait rapidement résolu.

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Il suffirait d’encoder les cotes 3D de ce diable inconnu réalisé en son temps par Giscard au XIXe siècle, de corriger les défauts, (notamment au niveau de l’ouverture de la bouche), de les mémoriser convenablement sur un logiciel de CAO, puis d’optimiser de façon homothétique à environ + 20 % les éléments sources – les plans étant dès lors transmis à l’imprimante 3D. La matière ensuite travaillée peut facilement entrer en fusion selon un procédé de stéréolithographie (STL) et serait fondue peu à peu pour obtenir la forme de la tête de diable souhaitée. (La matière peut enfin être solidifiée sous l’action de la chaleur ou de la lumière/laser). L’imprimante 3D intervient couche par couche pour obtenir la forme 3D souhaitée. A partir du modèle obtenu, il est possible ensuite de le peaufiner et de réaliser un moulage à creux-perdu pour ensuite finaliser les détails dans une terre rendue polychrome, similaire à celle employée jadis par Giscard lui-même. L’intérêt flagrant de ce processus serait de repartir, non pas ex nihilo, mais bien d’un moulage Giscard vieux de plus d’un siècle, se qui confèrerait au « troisième diable » de Rennes un gage d’authenticité et une filiation historique certaine avec les moulages traditionnels de la manufacture Giscard…

Au plan symbolique, il me semble important, pour conclure cet aperçu, d’aborder un instant la perception qui fut celle des habitants de Rennes, en 1995, des chercheurs, et aussi du clergé peu habitué à voir un diable dans une église, il faut bien le reconnaître… Et le cas échéant de la confronter au plan sociologique, à la réaction des médias et des sites Internet spécialisés qui ont relaté les mêmes faits, en 2017 – et ce pour exactement la même mutilation – à mon avis l’analyse historique vaudrait le détour.

Signalons simplement, pour l’heure, qu’à l’époque, en 1995, le curé de Quillan s’emporta violemment et prit fait et cause pour… le « terroriste » mutilateur, à qui il accorda grâce et sans doute « bénédiction » pour avoir ainsi décapité le diable de Rennes ! Robert Berland – c’est le nom de l’ecclésiastique emporté qui desservait alors la paroisse de Rennes-le-Château – pour lui, comme pour ses confrères de l’Aude, nous dit-il : « c’était une horreur… ! » que cette statue démoniaque à Rennes… « Même si ce diable était inoffensif, écrasé qu’il était par un bénitier rempli d’eau bénite », enchaîne-t-il… Ce témoignage d’époque du curé est quand même symptomatique de « quelque chose », d’un « malaise » à savoir discerner, dirons-nous, dans la mesure où il reprend trait pour trait ce que dira lui-même Mgr Arsène Billard, le 6 juin 1897, lors de l’inauguration de l’église rénovée du petit village – (comme s’il n’avait pas été mis au courant par Bérenger Saunière de tels aménagements…). Mais ceci est une autre histoire – au cœur du mystère lui-même…

Nous aurons l’occasion d’y revenir.

III – Le troisième diable

Le troisième diable est donc pour l’heure un « diable sans tête »…, en tout cas pour l’instant. Rappelons quand même les faits pour nos lecteurs et comment ils furent relatés dans la presse locale en avril dernier :

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« Les habitants de Rennes-le-Château dans l’Aude se souviendront longtemps de ce dimanche 23 avril 2017. Certes se tenait ce jour-là le premier tour de l’élection présidentielle. Mais c’est surtout l’attaque, « terroriste » selon le maire de la commune Alexandre Painco, subie par la statue du diable rouge de l’église du village ce dimanche, qui a marqué cette journée. Ainsi, au matin de cette élection, une jeune femme vêtue d’une longue cape blanche et d’un masque vénitien a fracassé la statue du diable rouge qui soutient le célèbre bénitier de l’église. À coup de hache, elle l’a délesté de sa tête et de ses bras, avant de s’en prendre au bas-relief de l’autel : Marie-Madeleine aura elle aussi perdu la tête dans cette affaire. Pour la fautive, son geste venait répondre « aux bombardements de l’Occident en Syrie ». Elle a posé un coran au pied du diable Asmodée. Outre les dégâts matériels, le préjudice est aussi moral.  » Les croyants comme les non-croyants sont attachés à leur diable, tout comme à leur église », explique Gilles Séménou, le curé de la paroisse. À l’église, les visiteurs ne comprennent pas ce geste. Pire, « c’est une profanation » selon cette touriste venue tout spécialement de l’Île de France. Mais à la mairie, pas question de lambiner. « Nous avons déjà contacté l’architecte des Monuments de France, et nous échangeons avec les services du Château de Versailles et du musée du Louvre. » Alexandre Painco compte bien réparer la statue du diable et l’autel, pour accueillir les « milliers de touristes de l’été ». Une enveloppe d’une dizaine de milliers d’euros sera nécessaire selon les premières estimations, la municipalité lance un appel aux dons. La jeune femme a été immédiatement interpellée sans complication par la gendarmerie (6). »

Il y aura donc un troisième diable à Rennes-le-Château… Mais qu’en sera-t-il de la figuration exacte de ce « troisième diable » comme il faut le nommer désormais… ? En effet, la restauration qui sera effectuée tiendra-t-elle compte au premier chef de l’aspect dramatique du « premier diable » – celui du Giscard primitif ? Ou tiendra-t-elle compte de la seconde statue – le « second diable » – certes rénové, mais sans doute le plus célèbre et le plus reproduit en photographies dans le monde ? La question mérite d’être posée, et nous serons bien sûr très attentifs quant à la réalisation de cette troisième statue…

IV – (1917-2017) – Bérenger Saunière et le Roi des Mouches

« Rennes-le-Château – C’est la butte au Diable ! »

Jean Parvulesco

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Nous pourrions nous arrêter-là dans notre analyse mystagogique ; les réactions que nous avons citées du curé Berland, en 1995, et du curé Séménou, en 2017, nous paraissent en effet, à 22 ans de distance, bien symptomatique d’une faillite du monde moderne, comme dirait René Guénon, parlant des symboles traditionnels. (A noter donc qu’il s’est passé exactement 22 années entre les deux attaques identiques, et qu’elles ont toutes deux eu lieu un dimanche, dans les deux cas). Nous pourrions aussi évoquer, pour en définir une symbolique adaptée, les propos exacts de l’islamiste audoise, son attentat répondant nous dit-elle : « aux bombardements de l’Occident en Syrie… » – tout en déposant un Coran aux pieds d’Asmodée. Il faudrait parler bien sûr ici, mais le temps nous manque, des analyses faites par Jean Robin sur les coulisses invisibles de Rennes et les relations méphitiques que le village entretint dans la nuit des Temps avec Seth, « le dieu maudit » – nous le signalons simplement au passage pour nos lecteurs les plus avisés.

JP-2.jpg Cette collusion fut faite avec beaucoup d’acuité par vraiment très peu d’auteurs, depuis cinquante ans, on peut citer cependant outre Jean Parvulesco et Jean Robin, Franck Marie, et bien sûr Géraud de Barail, dans son livre « L’Ile rouge » publié chez Arqa, en 2009, œuvre littéraire hors-norme qui, sous couvert d’un « roman initiatique », donne des clefs essentiels sur le Mystère de Rennes-le-Château et permet enfin de consulter des archives inédites.

Nous invitons, tous ceux qui le peuvent, à méditer sur ces intersignes ô combien évocateurs, pour qui sait les lire – l’année 2017 étant donc marquée à la fois par le centenaire de la mort de l’abbé Saunière (1852-1917) et par la décapitation du diable de Rennes, en avril 2017… Un symbole signé bel et bien au fer rouge, ou plus exactement à la hache par une allumée islamiste venue à Rennes-le-Château pour tout détruire selon sa foi. Il apparaît aussi quand même curieux, qu’à ce jour – et même assez parlant finalement – qu’aucun texte n’ait été réalisé portant sur une analyse symbolique de ce fait divers marquant, survenu dans la cité audoise. Quand, en cette année, Saunière sort symboliquement de sa boite pour que l’on se « souvienne » de lui (les commémorations vont bon train en 2017), le diable de son église est décapité… Diable qu’il avait lui-même commandité. C’est donc bien un abbé Saunière en ces temps de décadence qui avance masqué et qui n’est sans aucun doute pas aussi « catholique » que ce que l’on voudrait bien nous faire accroire… Mais, bon, surtout ne détruisons pas le mythe et continuons béatement à entretenir la légende « d’un curé aux milliards » – qui aurait dû être excommunié par sa hiérarchie romaine faute d’avoir été condamné par ses supérieurs audois – continuons à « célébrer les célébrations », à signer sans comprendre des livres d’or à la gloire du prélat-simoniaque-pilleur-de-tombes… – ça continue à faire marcher le tourisme ésotérique, ça décervelle les cerveaux disponibles, et ça fait croire que l’on a une bonne raison, durant ses vacances, d’honorer la mémoire d’un usurpateur. Tout cela dans les jardins du « bon abbé » Saunière…

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Dans une époque pervertie où l’inversion des valeurs fait son office et où les suiveurs déconnectés ne sont pas en capacité de comprendre : – ni les symboles qui leur apparaissent au grand jour – ni le sillon dénaturé dans lequel ils se meuvent, après tout, cela a du sens, d’une certaine manière. Que n’en eût pas dit – et écrit – mon ami Jean Parvulesco (1929-2010), avec qui j’ai eu maintes fois l’occasion de travailler sur l’infrahistoire de Rennes-le-Château et justement sur cet aspect symbolique des choses (7)…

In fine, de toutes les dingueries que nous avons vues, et pour certaines relatées, depuis un quart de siècle à Rennes-le-Château, nous pourrions pour faire coup double facilement décerner en cette année de commémoration mirifique le très fameux prix « Bérenger Saunière » à cette djihadiste de haut vol, venue rappeler, si besoin était, qu’à Rennes-le-Château il se passe quand même de « drôles de choses »…

Mais faut-il encore vraiment s’en étonner ?

Thierry E. GARNIER © Les Chroniques de Mars, numéro 24 – Solstice d’été – Juin 2017


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1 – Je veux bien sûr parler ici du bas-relief réalisé par les établissements Monna de Toulouse, bas-relief qui ornait la partie inférieure de l’autel de la petite église audoise.

2 – Voir « L’ABC de RLC – L’Encyclopédie de Rennes-le-Château », pages 480 et suivantes.

3 – Voir « L’ABC de RLC – L’Encyclopédie de Rennes-le-Château », page 526.

4 – Franck Daffos est l’auteur des « Chroniques de Rennes-le-Château » publiées chez Arqa, 5 Tomes sont déjà parus. Le dernier en date « Le Trésor qui rend fou », publié en 2016, fit sensation lors de sa sortie.

5 – Dans l’embasement de cette sculpture figure un cartouche jaune et rouge (voir photos), marqué du sigle de la manufacture de Giscard, ce qui ne peut que conforter l’expertise d’attribution assurée au statuaire toulousain, si besoin était.

6 – « La Dépêche » – 27 avril 2017.

7 – Voir notre livre « Le Prieuré de Sion », co-écrit avec Christian Doumergue, où la métaphysique du trésor de Rennes-le-Château, notamment dans son aspect symbolique caché est traitée en profondeur.

Remerciements à Franck Faffos pour les photos transmises de la statue du diable de Giscard, résidant dans une petite église d’Occitanie et à Christiane Bénazet pour les photos transmises pour cet article, en avril 2017, de l’église de Rennes-le-Château et de ses dégradations ; © Les Chroniques de Mars, numéro 24 – Solstice d’été.


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