Des heures noires de l’inquisition médiévale
à Facebook et autres réseaux sociaux
L’affaire « Cambridge Analityca » a mis en évidence le fait que près de 90 millions de données personnelles et confidentielles d’utilisateurs du plus grand réseau social au monde ont été vendues pour le simple profit d’un seul homme et de son entreprise. On sait par ailleurs que Google va encore beaucoup plus loin que Facebook, le moteur de recherches bien connu exploitant lui-aussi quotidiennement des milliards de données collectées en masse lors de chacune de nos connexions Web.
Le village mondial commentant chaque jour, via Tweeter, sous forme d’anathèmes et autres procès en sorcellerie, cet univers communicationnel devenu fou. Mais faut-il s’en étonner lorsque l’on voit qu’au pays de Donald, la diplomatie du président des Etats-Unis d’Amérique s’effectue sous forme de tweets ? Dans ce petit essai, l’auteur retrace avec une ironie mordante cette dérive mortifère qui nous mène inexorablement vers un « monde nouveau »…
VIENT de PARAÎTRE sur le site des éditions ARQA