PREMIER MOUVEMENT
Au milieu des années 80, je m’étais amusé à regarder l’annuaire téléphonique de Marseille pour confirmer un constat que j’avais fait au fil du temps. Et, oui, la plupart des Bonnaud, Bonneau, Bonot, etc. se prénomme bien Jean. Me rappelant alors une blague, j’ai trouvé non sans surprise un Vincent Tim (!). Dans la foulée, deux Jean Vié. Étonnant, non ? M. Wherlen n’est donc pas né de parents inconscients qui auraient pu le prénommer Paul. Ouf ! Ça nous rassure car ce genre d’abus doit très certainement influer sur la vie des affublés.
DEUXIÈME MOUVEMENT
Vers la fin des années 70, je me suis trouvé quelques années en relation avec Jacques Duchâtel, de Pessac, en Dordogne. Un brave homme (si j’ai bien compris, il est toujours vivant à la date de ce billet) qui s’occupait de l’Association de Recherches Française d’Astrométéorologie et de son bulletin Astrométéo. Il poursuivait ainsi, lit-on, des observations entamées par un certain Albert Nodon et continuées un temps par un autre quidam dénommé Henri Mémery, observations censées permettre des prévisions météorologiques d’après les émissions de taches solaires. Et expérimentait aussi en électroculture. Quel rapport ?
TROISIÈME MOUVEMENT
Michel et Barbara Hoguais sont de vieux et fidèles amis qui essaient sans succès depuis des années de vendre leur magnifique maison à colombages dans la verte et riante campagne normande tout en « cultivant » leurs ruches. Cadre de la Lufthansa à la retraite; c’est lui qui passa des mois à me chercher un diffuseur lors de ma tentative, en très grande partie avortée, de devenir jadis éditeur. Et qui finit par le trouver, avec une enseigne à nous faire « rêver » : Les Argonautes. Ils feront faillite 6 mois plus tard. Et c’est lui, Michel, qui mit Roland Wherlen, qu’il connaît depuis longtemps aussi, en relation avec moi voici quelques mois.
QUATRIÈME MOUVEMENT
Les hasards étant une denrée assez rare, en cette même fin des années 70, Jacques Duchâtel et Roland Wherlen, m’apprit ce dernier, habitaient en face l’un de l’autre à Pessac. Leurs intérêts étaient-ils alors communs ? Les recherches de l’un eurent-ils une influence sur la direction de l’autre ? Je n’en sais rien. Ce que je sais, c’est que l’électroculture, ça marche : il y a suffisamment de résultats quantifiables. Tout autant qu’Obélix était tombé dans le chaudron de potion magique, Wherlen, lui, tomba dans celui de l’électronique et grandit à force de brevets d’inventions.
CINQUIÈME MOUVEMENT
Le Dr Béatrice Milbert, spécialiste dit-on renommée de l’électro-hypersensibilité (mais jugée sulfureuse par certains), aurait déclaré à l’Assemblée Nationale, tel un avertissement solennel : « Nous nous attendons à un problème majeur de Santé Publique dû à notre environnement électromagnétique qui est des millions, voire des milliards de fois plus important que ce que l’on trouve dans la nature… ». Cette affirmation est aussi le constat que fait notre auteur au travers d’une sorte de best-seller qui en est à sa quatrième édition très augmentée et remaniée.
FINAL
Le livre de Roland Wherlen n’est pas d’un aspect vraiment sexy, mais le texte plutôt passionnant et facile à comprendre, même en ce qui concerne les recettes applicables pour se prémunir d’ondes diverses et variées. Serait-ce un ouvrage scientifique majeur ? Répond-il réellement à l’attente de gens littéralement fatigués parce qu’accablés par cette pollution majeure qu’est l’électromagnétisme ? Cet électromagnétisme dont on ne dit quasi rien. Dont la dangerosité est d’évidence occultée. Pour tout savoir, lisez ce qu’écrit le spécialiste incontestable de la question.
Michel MOUTET
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