Description
LES CHRONIQUES de RENNES-LE-CHÂTEAU – Tome III
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Lire un extrait de la nouvelle préface de Franck Daffos
avec la fiche de lecture de Laurent Buchholtzer – alias « Octonovo »
Franck Daffos – L’Affaire des Carnets – Réponse à M. Octonovo (texte intégral) – À la manière d’un Gérard de Sède répondant à M. Descadeillas, Franck Daffos nous présente dans ce livre, loin des acrimonies et des règlements de compte, une réflexion fouillée et argumentée dans la meilleure tradition castelrennaise – une analyse aiguë et sans concession. Une réponse adaptée aussi, signant en lettres de feu, quelques aperçus instructifs pour servir à l’édification des chercheurs sourcilleux en mal de pistes à explorer. Cette objection littéraire à M. Octonovo s’inscrit donc avec humour et talent, avant toute chose dans l’exigence et la clarification nécessaire dévolue à toute enquête rigoureuse. Depuis des années, Franck Daffos en fin limier de l’affaire de Rennes, conduit ses recherches sur des domaines peu explorés, il présente ici une remarquable contre-expertise sur les carnets de l’abbé Saunière, rare source éminente conservée à la fois aux Archives départementales de l’Aude et dans le fonds Corbu-Captier, source qui ne demandait qu’à se dévoiler, de la meilleure manière qui soit. Cette superbe étude publiée partiellement sur le site Internet //rennes-le-chateau-archive.com se trouve ici augmentée dans cette version intégrale, enrichie de nombreuses notes substantielles, d’un chapitre totalement inédit et tout à fait saisissant, intitulé « Les vérités du chanoine Huguet », d’une préface de Thierry E Garnier, et des réponses circonstanciées en annexes de Jean-Luc Chaumeil, Christian Doumergue et Gino Sandri, à M. Octonovo. – (160 pages), avec de nombreux documents inédits, textes & images, couverture quadrichromie – ISBN 2-7551-0035-4.
Sommaire / En guise de lever de Rideau – Acte I – Les plagiats – Acte II – Les erreurs – Acte III – Les mensonges – Acte IV – La comptabilité truquée – Final grandiose – Annexes / Réponses de Jean-Luc Chaumeil, Christian Doumergue et Gino Sandri à M. Octonovo.
VOIR AUSSI L’ARTICLE de FRANCK DAFFOS
sur LES CHRONIQUES de MARS
(extrait)
« Il n’est pas dans mon but de dresser ici un inventaire exhaustif des plagiats commis par M. Octonovo, mais juste de démontrer comment il peut être facile de s’arroger une (petite) réputation de chercheur à peu de frais. À ce sujet, l’image qui me vient immédiatement à l’esprit est celle de quelqu’un qui, sur l’un de nos marchés de plein vent, se servirait à sa convenance sur chaque étal et partirait sans payer … Quelques exemples donc : “ En effet, bien que les apocryphes de RLC lui prêtent généreusement près d’un millénaire d’existence, le Prieuré de Sion, association régie, tout comme les amicales de pêcheurs à la ligne ou de joueurs de pétanque par la loi de 1901 (…)” Gérard de Sède – RLC, Le dossier les impostures – Robert Laffont 1988 – page 128. “ Ainsi le Prieuré de Sion, le fameux loup qui s’est invité dans l’affaire de RLC, loin d’être une société secrète séculaire, s’avère être une association de loi 1901 comme n’importe quelle amicale de pêcheurs à la ligne.” Octonovo – RLC, Une affaire paradoxale, ODS, 2008 – page 52. « Sommé de justifier l’emploi de sommes énormes dont l’Evêché a établi l’existence, le curé gonfle ses dépenses d’investissement de façon parfaitement extravagante. » Gérard de Sède, Le vrai dossier de l’énigme de Rennes, réponse à M. Descadeillas, page 20, les éditions de l’octogone, 1975. « En revanche, concernant les sommes allouées au domaine, l’abbé triche en les augmentant manifestement. » Octonovo Le chercheur Christian Doumergue semble bien avoir été une importante source d’inspiration occulte pour M. Octonovo… Mais nous verrons dans un acte suivant : « Les mensonges … » – qu’il ne fut pas le seul. Pour preuves : « Dans les premiers relevés de travaux de l’abbé Saunière, la tour Magdala apparaît sous le nom de « tour du midi ». Par la suite la tour est baptisée « tour de l’horloge. » Christian Doumergue – L’Affaire de RLC (Tome 2), Arqa éditions, mars 2006, page 128. Analyse présentée par ce chercheur pour la première fois, avec les documents inédits du fonds Corbu-Captier en illustration de son travail de recherche – (voir documents en annexes). 2 ans plus tard : « La tour Magdala devait au début s’appeler « tour de l’horloge » ou « tour du midi », preuve que la dénomination de ces réalisations put connaître des changements. » Octonovo. En 2006, Christian Doumergue présentait à la page 65 de « L’Affaire de RLC (Tome 1) », une photographie signalant la « pièce secrète » aménagée par l’abbé Saunière dans l’église de RLC. En 2008, EXACTEMENT LA MEME PHOTO figure dans le livre de M. Octonovo, « Une affaire paradoxale » page 148, sans signaler le moins du monde, pourquoi se gêner, que deux ans auparavant, ce même document, à l’identique, avait déjà été publié une première fois et surtout commenté avec un appareil critique fort abondant, réalisé à partir de documents totalement inédits et provenant du fonds Corbu-Captier, par le chercheur Christian Doumergue… Si l’historique de cette photo peut prêter à discussion : elle serait de M. Octonovo lui-même, et aurait transitée par l’architecte belge Paul J. Saussez (à qui nous devons de remarquables travaux sur la crypte des seigneurs de l’église de Rennes-le-Château), la moindre des bienséances aurait été de signaler cette antériorité de publication, d’autant plus que M. Octonovo s’appuie sans conteste sur les explications de M. Doumergue (…).
VOIR aussi le dernier livre de FRANCK DAFFOS
« L’OR de RENNES » QUAND POUSSIN et TENIERS DONNENT LA CLEF de RENNES-LE-CHATEAU. Du codex Bezae à la vraie langue celtique, de la tombe de Madame de Blanchefort au petit parchemin, les Bergers d’Arcadie et la tentation de saint Antoine.
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