Entretien avec Georges COURTS // Suite à la sortie de ses deux nouveaux livres, l’auteur du Tome 1 et du Tome 2 du Grand Manuscrit d’Alger, a bien voulu répondre à nos questions ce mois-ci pour ce numéro spécial No 25 des Chroniques de Mars. Georges Courts, auteur érudit, un des très rares spécialistes du Martinézisme opératif en France, a bien voulu nous livrer ses impressions du moment sur son Tome 3 du Grand Manuscrit d’Alger et sur le nom moins fameux Manuscrit Baylot. Nous le remercions ici vivement de sa confiance envers les éditions Arqa et pour la qualité de ses réponses dans le cadre de cet entretien. L’Œuvre est achevée, mais la recherche continue.
Les Chroniques de Mars © – 29 septembre 2017.
TABLE DES MATIÈRES du « Manuscrit d’ALGER » – Tomes 1,2,3
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Il a fallu vingt et une années à Georges Courts pour donner à ses lecteurs assidus – entre les premiers folios du Grand Manuscrit d’Alger décryptés par l’auteur à partir des documents d’archives, (en 1996), et l’édition entièrement finalisée de ce troisième opus du Grand Manuscrit d’Alger, (publié en 2017) – une vérité tangible qui concerne assurément le Grand Œuvre de Martinès de Pasqually. Autant dire, comme l’indique parfaitement Rémi Boyer dans ses différentes préfaces, qu’il s’agit bien-là d’un « événement éditorial » incontournable. Ce « Grand Œuvre », comme nous le nommons ici, concerne avant tout la réunion exhaustive d’un corpus de textes absolument essentiels pour qui s’intéresse aux Ordres initiatiques, et principalement aux Chevaliers Maçons Élus Coën, mais se rapporte aussi à une praxis avérée, véhiculée au moins depuis le XVIIIe siècle, concernant à la fois une Spiritualité non équivoque et une Théurgie sacerdotale mettant en évidence une Initiation Supérieure. Si le premier tome du Grand Manuscrit d’Alger publié par Georges Courts, aux éditions Arqa en 2009, fit grand bruit, laissant au passage sur les bas-côtés les masques jaloux de quelques uns qui se crurent obligés de se ridiculiser ; le tome second (publié en 2013) assura à Georges Courts une reconnaissance naturelle et bienveillante de la part de tous ses lecteurs, dont de nombreux au-delà des mers, en terres sud-américaines notamment, et partout en Europe, du Nord au Sud, bien que l’édition résidât au premier chef en seule langue française. Avec ce troisième tome, si attendu, publié à nouveau quatre années plus tard, pour un cycle de huit années de publications, se parachève une œuvre littéraire et initiatique magistrale que Georges Courts aura portée au pinacle du Temple et de la Tradition pérenne. Enfin couronnée, cette haute architecture de lettres, de signes, de glyphes et de chiffres, soit en totalité trois tomes – grand format in-quarto – de plus de 1 200 pages de présentations complètes de documents d’archives, de transcriptions de manuscrits anciens, d’alphabets secrets et de carrés magiques, n’aura pour seul commandement que de simplement revenir à son point de départ, c’est-à-dire à la source, pour mieux revisiter encore, en profondeur, l’intransigeante plénitude de l’héritage confidentiel de Martinès de Pasqually…
Les Chroniques de Mars // Eh bien voilà, cher Georges Courts, pour le plus grand plaisir de vos lecteurs enfin achevé ce tome troisième et final du Grand Manuscrit d’Alger et, nonobstant, vous y mettez un point d’orgue en ajoutant à votre œuvre le Manuscrit Baylot, sur lequel nous allons revenir dans un instant… Il vous aura fallu plusieurs décennies de recherches avec constance et abnégation et douze années pleines de rédaction, avec un livre (tomes 1, 2 et 3) tous les quatre ans, pour achever définitivement votre mission entièrement consacrée à la recherche martinéziste… Tout d’abord, avant d’entrer de plain pied dans le vif du sujet, quel est votre sentiment sur ce travail accompli. Une grande satisfaction, je suppose… ?
Georges COURTS // Lorsque j’ai reçu dernièrement un paquet contenant quelques livres d’Arqa que j’avais commandés, je ne m’attendais pas à trouver en plus mes deux nouveaux livres fraîchement imprimés en guise d’étrennes. Je crois que le choc a été si violent devant la beauté des couvertures, la qualité des volumes comme si je découvrais un trésor… que de voir enfin achevé ce très long travail de 12 années d’édition qu’une intense émotion m’a envahi comme jamais : j’ai « craqué » de bonheur et de plaisir. Je crois que cela ne m’est jamais arrivé, surtout ces derniers temps de tribulations, d’avoir une aussi intense satisfaction, baignée de larmes de joie, à part il y a bien longtemps pour la naissance de mes filles. Ce fut en effet un très long accouchement que la réalisation de ces 3 tomes du Manuscrit d’Alger rédigés à partir de la transcription du manuscrit original – accouchement ponctué de toutes sortes d’événements liés à l’écriture. Je remercie ici tous ceux qui m’ont permis d’arriver enfin au bout de cet « événement éditorial »… C’est aussi pour moi un encouragement à poursuivre sur des documents inédits, encore à publier, et surtout de les rendre accessibles – par rapprochement – en réunissant ce qui est épars…
Les Chroniques de Mars // Georges Courts, votre travail émérite de la transcription du Manuscrit d’Alger vous a permis aussi de déterminer le nom du copiste, à savoir le Réaux-Croix De Grainville, c’est ce que nous trouvons entre autres dans le tome 1 (voir les SOMMAIRES des 3 TOMES) ; dans le tome 2 on entre dans l’opératif avec les instructions sur les « cercles » à proprement parler. Le tome 3 aborde de nombreux sujets et précise surtout les différents détails des opérations théurgiques. On constate dans votre travail les relations étroites existantes entre le système d’Agrippa et celui de Martinès, pourriez-vous nous en parler car cela questionne sur la filiation privilégiée et c’est un thème majeur dans le cadre de la bonne compréhension de ce système…
Georges COURTS // La découverte que le système d’Agrippa et celui de Martinès avaient de profondes similitudes n’a pas été le fruit du hasard, car l’énorme système et œuvres de Robert Ambelain occultaient le paysage et privilégiaient les pratiques gnostiques, la kabbale pratique et les données d’Abramelin le Mage. Son système d’Élus Cohen, déclarant une sorte de prêtrise « juive Cohen », des documents incomplets et des diagrammes faux m’ont conduit à l’éliminer de la pratique de Martinès correcte et de chercher ailleurs… Surtout qu’il déclarait avoir basé les Ordres du départ sur des influences ridicules de l’astral, des documents inventés, qu’il n’a jamais voulu changer quand le Manuscrit d’Alger est apparu. C’est la traduction du « De circulo » du latin en français, ce qui n’avait jamais été fait, qui fut pour moi le déclencheur pour trouver les analogies entre les symboles affichés et certains pantacles magiques évidents. Il reste encore à ce sujet de nombreuses interrogations à élucider…
Malgré toutes les tentatives d’explorer les filiations, donc les sources véritables de Martinès, cela reste vraiment une inconnue, car lui-même est assez laconique sur ses propres originaux : il a reçu cela des « Amis de la Vérité », il a des documents personnels qu’il emporte toujours avec lui. Il est avant tout Maçon avec une charte des Stuart en idiome anglais de son père qu’il fit traduire et il fréquente au départ les loges du Midi, particulièrement dans une ville du sud, Marseille, et Bordeaux… Il aurait fait comme militaire de nombreuses campagnes, ce qui suppose éventuellement des rencontres et des visites. Un capitaine Martinès loge à Grenoble et loue des lits, accompagnant des Espagnols.
Irrespectueusement, un lettré moderne, soi-disant spécialiste du martinisme voulant garder un monopole d’édition, l’a qualifié de « métèque juif, espagnol », – paix à son âme – et la même errance guide certains dont le regard ne va pas plus loin qu’un nez sans lunettes qui vénère des idoles et des gourous initiatiques, dont on doit légitimement contester l’autorité. Ce qui est sûr, c’est qu’avant d’être ce que l’on voudrait que Martinès soit, à savoir un « cabaliste juif », ce qui est parfaitement faux, il n’a rien ni de l’un, ni de l’autre : il est unique en son genre ; et il envoie ses émules à la messe en bon catholique avant les cérémonies, leur demande de dire des prières issus de livres catholiques comme le Petit Paroissien. Par contre, dans ces cérémonies sont manipulés les cercles d’opérations, truffés de noms d’esprits, tirés de la Bible ou reçus par des passes, remplis de symboles magiques qui n’ont rien d’hébraïques, branchés sur les énergies célestes du jour. En outre, il est flagrant que le livre des hiéroglyphes et des caractères ressort indubitablement de la Magie d’Agrippa, ce que personne n’avait jamais présenté auparavant avant que j’en fasse précisément la démonstration irréfutable.
Pour ne pas l’avoir compris, ceux qui ont voulu promouvoir un martinézisme, de salon et de parlottes stériles, un martinézisme que j’estime frelaté ont mené leurs groupes dans des errances qui n’ont rien à avoir avec la réintégration et la régénération, pour la recherche des valeurs fondamentales humaines, voulues par Martinès. Selon mes propres recherches, je ne suis pas tout à fait sûr non plus que Martinès ait donné toutes les clés de son système, en dehors des initiations et des catéchismes qui n’ont jamais été publiés et que de rares personnes ont pu avoir en mains, (comme mon cher ami Gilbert Tappa récemment décédé). Initiations et catéchismes bien loin des « bricolages de rituels » dans le style de Chevillon (et d’autres qui ont suivi…) – qui n’avaient pas les bons éléments en mains – et qui ont copiés la maçonnerie apocryphe pour plaire aux Maçons et les attirer dans des Ordres – selon les dires de Blitz – prônant en fait le martinisme de Papus ou de Teder ; puis leurs successeurs maçonniques, avec la cabale hébraïque, les Tarots…, etc., toutes choses qui n’ont rien à voir avec la Théosophie et les pratiques théurgiques de Martinès, soulignons-le au passage…
Disons que ce ne fut pas toujours inutile pour certains qui en firent leurs choux gras, bardés de diplômes et colliers ruisselant d’or, et pour d’autres qui y travaillèrent sérieusement, et même pour moi et quelques amis, sans jamais savoir qui était Martinès, outrageusement ignoré, ou Willermoz ou Saint Martin, comme beaucoup pensèrent et pensent encore que la magie est forcément « diabolique » et doit être évitée à tout prix.
Mais, cependant, si quelqu’un étudie vraiment : « ce qu’un Réaux+Croix doit savoir » (Cf. tome3 – Ms d’Alger), ce sont des années d’études qui attendent le futur pratiquant et cela peut être facilement décourageant… Je doute fort que Willermoz lui-même, reçu très rapidement R+, ou Louis Claude de Saint-Martin, aient étudié toutes ces notions-là… Seuls quelques groupes « terminaux » récents, avec Rémi Boyer, ont su faire la part des choses et envisager une praxis correcte, sans méprise et avec constance.
Les Chroniques de Mars // Le chapitre 4, du tome 3, est consacré aux opérations d’empêchement contre ceux qui travaillent dans le mal, pourriez-vous nous en parler un peu et également rappeler vos mises en garde qui émaillent vos trois tomes…
Georges COURTS // Je devrais dire que le problème du Bien et du Mal m’interpelle personnellement. Si le Mal n’existait pas, connaîtrions-nous le Bien ? Je pense que oui. Mais que faire contre le Mal et les méchants ? Quels sont vraiment nos critères de jugement ? Lorsque Papus mis au point ses rituels, il inventa une église gnostique – et si l’on examine les différentes querelles aboutissant à des duels, à des violences, à des voies de fait, des vociférations, des actes magiques, des anathèmes, (avec par exemple une chouette clouée sur une porte…), ou des exclusions en tout genre, il y a lieu de se demander où sont les gens de Bien et où sont les gens qui sont dans le Mal, chacun cherchant à avoir raison de l’autre.
Mais le rituel de S. I. de Papus déclare quelque chose du genre… :
« Que tu portes la lumière. Une horde de scélérats, les ennemis de la Lumière vont se déchaîner contre toi et te déchirer… ».
Si c’est cela un des résultats immédiats de l’initiation, il vaut mieux alors fuir immédiatement à toute allure. Cette opposition ou dichotomie flagrante entre le Bien et le Mal est une caractéristique nocive purement occidentale liée à la pensée dualiste aristotélicienne et que l’initié doit subir des conséquences fâcheuses du fait qu’il est initié reste un a-priori lamentable, voir une absurdité. Dans les vraies traditions tribales, les sages sont respectés, courtisés, écoutés et forment le Conseil des Anciens. Dans le Soufisme, un maître éclairé envoie son disciple à un autre maître plus secret pour qu’il apprenne encore davantage. Dans certaines voies martiales, il n’y a jamais de limites vers la perfection. En dehors de certains aspects religieux, ou de quêtes qui existaient autrefois, il n’y a guère de chemins pareils de nos jours dans les voies royales et s’ils existent, ils sont déclarés semés d’épreuves et de mauvais pavés…
Avant même l’édition du premier tome, le nombre de menaces et de pressions pour la non-édition de mon travail fut impressionnant. J’étais dans le Mal et j’œuvrai pour le Mal ; il fallait absolument garder « secret » tout cela…
Le Mal, satanisé, diabolisé est mis en opposition au Bien et cette notion relativement récente issu de l’Église qui inventa le Diable a fait des dégâts considérables, par une classification qui aurait pu être différente. Il n’en reste pas moins que le Mal tel que nous l’entendons existe et qu’il y a des êtres qui portent le Mal, détruisent nos valeurs, nos familles, nos projets. Lorsque je commençais mon périple initiatique, l’un de mes initiateurs déclara qu’il évitait soigneusement ces gens-là. Un autre, plus tard, me déclara qu’en Chevalier, nous combattions le Mal, en défendant la veuve et l’orphelin. Je trouvais cela étrange, car d’un autre côté, on m’enseigna aussi la tolérance et le pardon, voire la soumission. Il fallait tendre l’autre joue, si j’étais frappé, car la violence enchaîne la violence. Or, si le Mal n’est pas détruit, il perdure. Si le Mal n’est pas dénoncé, il continue ses dégâts. C’est sans doute pourquoi Martinès a instauré ce rituel où le Serpent est matérialisé pour être détruit et non le pervers ou le Méchant. Car nous-même, nous pourrions céder à nos pulsions mauvaises sans même nous en rendre compte, pensant faire le Bien. Si le Mal existe et nous attaque, il doit être empêché sans forcément détruire la personne qui porte le Mal.
L’expérience me prouve que les mises en garde ne sont pas inutiles, mais que, même après avoir été mis en garde, la plus grande vigilance s’impose. Chacun sait que la conduite automobile peut engendrer des accidents graves, pourtant chacun conduit et le lot d’accidents est effarant. Dans cette pratique des cercles d’opérations, il y a des esprits bons et des esprits moins bons. Les cercles d’avant-garde sont là pour éviter le passage de ces esprits malins, de façon à ce que nous puissions bénéficier uniquement des bons esprits.
Je pense aussi qu’il y a des règles à ne pas enfreindre qui visent au Bon, au Bien et au Beau. Il y a lieu de neutraliser, voire d’éliminer le Mal quand il existe, quand il est destructeur contre nous, nos proches, nos amis, nos relation, notre famille, notre nation. Cependant quand la lumière brille de trop, elle entraîne un surplus d’ombre. Sur le pavé mosaïque, le blanc jouxte le noir ! D’où mes mises en garde constantes dans mes 3 livres, surtout de modération et de prudence.
Les Chroniques de Mars // Martinès de Pasqually accordait une importance capitale à la correspondance entre l’homme et les 7 planètes traditionnelles, au principe hebdomadaire (jours et heures)… Sur cet aspect, je voudrais vous interroger sur les recommandations particulières qu’accordait Martinès à la planète Saturne… Quelle était-elle dans son système ?
Georges COURTS // Martinès est souvent avare d’explications, mais les donne quand on lui demande en variant parfois, au grand dam de Willermoz. Je pense aussi que de nombreux documents annexes ont disparus, dont par exemple les rapports après les opérations et certaines explications sur le pourquoi des choses. Le Manuscrit d’Alger en est la démonstration, c’est un condensé, dont il manque des chapitres. Ces opérations mettent en jeu les planètes, tant dans les dessins que le rôle des participants par leur déambulation. Dans l’ouvrage de Lenain : « La science cabalistique », il est dit qu’il y avait une science des anciens Mages, Égyptiens, Chaldéens, Arabes, car ils avaient découvert l’importance de l’influence des planètes sur notre terre et sur l’homme lui-même.
En Mésopotamie, il y avait des observatoires très importants où les mouvements du ciel étaient notés sur des plaquettes d’argile chaque jour pendant des centaines d’années. Les années étaient marquées par les évènements célestes, venus des planètes bien connues, de la Lune, du Soleil, de Vénus et en Égypte de Sirius pour les crues du Nil. Une théorie disait ainsi que les énergies, les éons faisaient mouvoir celles-ci, ou que l’homme pouvait prédir l’avenir, ou utiliser ces forces naturelles, par leurs qualités naturelles. D’où tout un système de Génies, qui présidaient à la sphère dont ils avaient la charge, les jours étaient rythmés par ces influences, sur la destinée bonne ou mauvaise de l’homme, d’où également des Génies des heures présidées par les changementrs astronomiques et astrologiques. Les planètes elles-mêmes étaient régies par des intelligences bonnes ou mauvaises, selon la croyance que ces intelligences régissent tout notre monde, macrocosme et microcosme. Il s’en est forcément suivi une classification et une projection sur ces planètes de différentes qualités. Cette classification n’est pas toujours la même. Chez Lenain se trouve Soleil, Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus, Saturne correspondant à nos jours. Cependant quand il parle d’exaltation des planètes, il range Saturne, Jupiter, Mars, Soleil, Vénus, Mercure et Lune. Les Anciens ont connus les distances et ont fait une classification en fonction de ces distances. Par la suite, chacune des planètes reçu aussi des qualités humaines transmissibles.
L’importance de Saturne fit que celui-ci incarna le Temps, Chronos, le passé étant derrière lui, il dévore ses enfants. Le temps régissant la plupart de nos activités, il paraît normal de lui consacrer…. beaucoup de temps et d’importance…
SUITE DE L’INTERVIEW
ENTRETIEN avec Georges COURTS // Le Grand Manuscrit d’Alger – Tome 3 # 1
ENTRETIEN avec Georges COURTS // Le Grand Manuscrit d’Alger – Tome 3 # 2
Rémi BOYER // Préface au Grand Manuscrit d’Alger Tome 3
Georges COURTS // TABLE DES MATIÈRES du « Manuscrit d’ALGER » – Tomes 1,2,3
Georges COURTS // Le Grand Manuscrit d’Alger Tome 3 – (extrait) # 1
Georges COURTS // Le Grand Manuscrit d’Alger Tome 3 – (extrait) # 2
ENTRETIEN avec Georges COURTS // Le Manuscrit Jean BAYLOT # 1
ENTRETIEN avec Georges COURTS // Le Manuscrit Jean BAYLOT # 2
Georges COURTS // Le Manuscrit Jean BAYLOT – (extrait) # 1
Georges COURTS // Le Manuscrit Jean BAYLOT – (extrait) # 2
Georges COURTS // TABLE DES MATIÈRES du « Manuscrit BAYLOT »
ARQA éditions // SOUSCRIPTION Tome 3 & Manuscrit Baylot
Patrick BERLIER // La Symbolique des deux saints Jean – Saint Jean Baptiste
Thierry E. GARNIER // 1717-2017 – « D’où viens-tu ? – D’une loge de saint Jean » # 2
Emmanuel RIVIÈRE // Êtes-vous complotiste ou Illuminati ?
Jean IOZIA // MARTINISME – La Symbolique du Temple
Édouard de RIBAUCOURT // La Symbolique de la lettre G
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