Une « Sauniérothèque »* ou la Bibliothèque du Mystère…
Dans le droit fil de notre Encyclopédie « L’ABC de RLC », depuis 20 ans sur le WEB grâce à ses nombreux auteurs-chercheurs amis, les éditions Arqa fournissent gratuitement une somme très importante de documents inédits, de scoops, de photographies exceptionnelles et de recherches éminentes qui sont par la suite, depuis deux décennies, reprises par la communauté des chercheurs passionnés par cette affaire afin d’enrichir la connaissance du plus grand mystère du XXIe siècle. En ce début d’année 2020, grâce à l’apport de nouvelles découvertes que nous allons prochainement publier sur notre site, nous avons décidé de fonder cette année une nouvelle collection de livres basée exclusivement sur des faits documentés et incontournables qui donneront aux lecteurs passionnés un nouveau souffle et une nouvelle compréhension du « mystère des deux Rennes ». Sous forme de teasing, cette page Web sera prochainement enrichie très régulièrement avec des extraits de livres à paraître bientôt chez Arqa – et que nos lecteurs pourront découvrir bientôt, ici-même, en avant-première…
Thierry E. GARNIER – Directeur des éditions ARQA
* Néologisme créé par nous il y a vingt ans dans notre première étude bibliographique de l’affaire de Rennes publiée en 1999, dans la revue « Arcadia ».
SOMMAIRE // FLASH de THOT • « L’HEBDO »
* * *
• [VENTE FLASH] >>> Complétez vos collections… !
• NOUVEAUTÉ // No LIMIT on EARTH – Le POST-IT de l’EXTRÊME # 1 – Nouvelle rubrique des « Chroniques de Mars » // à retrouver sur le site d’Arqa…
• TEASING // RENNES-LE-CHÂTEAU # 1 – » La Bibliothèque du Mystère » …
• FdTHOT « L’HEBDO » // Attention >>> Pour être bien sûr de recevoir notre Newsletter, inscrivez bien notre adresse mail dans votre carnet d’adresses mails selon l’envoi reçu… !
• ABONNEZ-VOUS à la Newsletter d’Arqa et sur notre chaîne Youtube //
Des documents inédits à paraître prochainement aux éditions Arqa # 3
I – Marie Madeleine ou Emma Calvé… ?
« Jésus, remède des blessures, seul espoir des pénitents
par les larmes de Madeleine tu as effacé nos pêchés… »
Un de nos correspondants, féru du mystère de Rennes-le-Château…, nous envoie cette semaine pour nos archives personnelles quelques photos anciennes d’Emma Calvé ainsi que cette très curieuse analogie photographique que nous livrons à la perspicacité et à l’analyse de nos lecteurs…
Le statutaire Mona se serait-il inspiré d’une photo comme celle-ci pour créer son bas relief de l’église de Rennes-le-Château ? Il faut reconnaître que les visages et l’ondulé de la chevelure sont assez frappants !
* * *
On sait, en effet, que l’abbé Saunière après avoir fait réaliser la réfection de l’église dédiée à Marie-Madeleine s’est attaqué ensuite à l’intérieur de l’édifice et a décidé du remplacement de l’autel au mois de juillet 1887.
C’est l’entrepreneur toulousain F. D. Monna qui s’occupera du travail. Se pourrait-il alors que le statuaire décide à l’époque de s’inspirer d’une photographie d’Emma Calvé pour faire son bas-relief… ? Même si la réponse est négative pour certains, ou peu convaincante – en apparence – il n’en demeure pas moins qu’au plan des intersignes la ressemblance entre les deux femmes est tellement étrange que nous nous devons de verser cette bien curieuse pièce au dossier déjà bien volumineux des correspondances troublantes qui enchâssent l’Affaire de RLC.
Qu’il soit historique ou symbolique, le mystère reste entier et chacun se fera donc son opinion sur ce que nous tentons d’évoquer aujourd’hui…
(…)
à suivre…
Une nouvelle collection chez Arqa // Enquêtes, investigations, scoops, documents inédits…
II – Marie Madeleine à Vézelay
La basilique de Vézelay possède des reliques attribuées à Marie Madeleine. Selon le récit des moines de l’abbaye bourguignonne, fondée par Girard de Roussillon au IXe siècle, un certain Baidilon aurait été envoyé à Saint-Maximin en Provence pour récupérer les reliques de Marie Madeleine. Excédés par ce tapage, en 1279 les moines de Saint-Maximin voulurent prouver qu’il ne s’agissait que d’une fausse rumeur. Ils firent des fouilles dans leur église et découvrirent un squelette, qu’ils attribuèrent naturellement à Marie Madeleine.
Quant au lieu de retraite de la Pécheresse, cela ne pouvait être que cette grotte (une baume, en provençal) s’ouvrant dans la falaise aride du Saint-Pilon, à peu de distance de là. Dès lors, le pèlerinage à Saint-Maximin et à la Sainte-Baume supplanta largement celui de Vézelay. Il devint même un temps, en importance, le troisième au monde, après celui de Jérusalem sur le tombeau du Christ, et celui de Rome sur le tombeau de saint Pierre.
For privacy reasons YouTube needs your permission to be loaded. For more details, please see our Politique de confidentialité.I Accept
Une autre tradition chrétienne dit que Marie Madeleine aurait suivi la Vierge Marie et saint Jean à Éphèse, ville grecque d’Asie Mineure, où elle se serait éteinte. Son culte aurait alors commencé à se confondre avec celui de la déesse Artémis, dont le temple à Éphèse constituait l’une des sept merveilles du monde antique. La mythologie gréco-romaine connaît deux Artémis différentes. Il y a la déesse de la chasse et de la lune, qui régnait sur l’Arcadie, équivalent de la déesse romaine Diane, ou de la déesse celtique Artios. Et puis il y a la déesse de la fécondité, honorée à Éphèse et introduite en Gaule par les navigateurs grecs. Les deux sont souvent confondues. Cette Artémis-là est représentée avec un pectoral garni d’une douzaine de seins, qui seraient en fait des œufs d’autruche. Or les pèlerinages à la Sainte-Baume s’associaient souvent à des rites de fécondité. Les pèlerins rapportaient des « œufs de la Sainte-Baume » ou « coucounets », petits reliquaires fabriqués avec des coquilles d’œufs. Et une petite caverne voisine se nomme la Grotte aux Œufs. La légende dit que lorsque Marie Madeleine y pénétra, elle y écrasa des œufs de vipère.
(…)
à suivre… // Extrait du livre à paraître chez Arqa – Tome 3.
Une nouvelle collection chez Arqa // Enquêtes, investigations, scoops, documents inédits…