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PHILIPPE de LYON – MONOGRAPHIE – 180 PHOTOS COULEURS – Thierry E. Garnier

45,00

 

 

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Description

 

TOUTES LES VIDÉOS SUR LE LIVRE CONSACRÉ à M. PHILIPPE DE LYON

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• VIDÉO MONOGRAPHIE #1 | TEASER

• VIDÉO MONOGRAPHIE #2 | DOCUMENTS INÉDITS

• VIDÉO MONOGRAPHIE #3 | « SOUVENIRS de l’ARBRESLE »

• VIDÉO MONOGRAPHIE #4 | AUDIOBOOK

PHILIPPE de LYON | MONOGRAPHIE – 180 PHOTOS | (1905-2025) – 120 ans

LIVRE d’ART – 274 pages en Quadrichromie – Couverture rigide – Prix de lancement 45 €

En EXCLUSIVITÉ sur le site d’ARQA – ÉDITION LUXE *** – Première édition – Tirage limité

Le théosophe chrétien, le chercheur, le curieux impénitent, ou tout simplement le mystique amoureux des œuvres de Monsieur Philippe, découvrira dans cette belle Monographie consacrée au thaumaturge lyonnais un nombre important de documents de toutes sortes, des photographies inédites du Maître d’abord, mais aussi des documents d’archives, des plans de lieux, des infographies, etc., permettant de faire revivre des souvenirs sépia venus d’un autre temps et que l’on pensaient définitivement oubliés, des souvenirs concernant Nizier Anthelme Philippe (1849-1905) que ses amis nommaient « l’ami de Dieu »…

Après avoir publié le « Manuscrit Galland », un document inédit consacré aux guérisons miraculeuses opérées par le Maître Philippe au 35 rue Tête d’Or ou en région lyonnaise, et recueillant aussi les Paroles du Maître en France et en Russie ; puis publié le témoignage de François Trojani « Regards sur le Maître Philippe de Lyon », ainsi que les « Carnets de l’Arbresle » (Nos 1 à 6), consacrés entre autres au thaumaturge lyonnais, les éditions Arqa, pour les 120 ans du décès de Philippe de Lyon (1905-2025), font entrer ce nouveau livre, grand format (24 x 17,5 – 274 pages, 180 photos) et entièrement en couleurs, de plain pied dans la collection des « Beaux Livres » de leur Catalogue.

NOMBREUX DOCUMENTS INÉDITS | PHOTOGRAPHIES & ARCHIVES INÉDITES

Un livre de Thierry E. GARNIER aux éditions ARQA, avec des textes de : Myriam Djerdali,

François Trojani, Gil Alonso-Mier, Patrick Berlier, Éric Fougerais, Renée-Paul Guillot.

– (EXTRAIT 1) –

À l’origine, entre Saône et Rhône, Monsieur Philippe réside dans le quartier historique de Perrache, (anciennement compris dans un quadrilatère approximatif comprenant l’Hôpital de la Charité, la rue de la Charité, la rue Sainte-Hélène, la rue de Plat et poussant jusqu’à la rue Saint-Dominique), il y fait régulièrement des soins aux malades et débute sa mission de thaumaturge. Par la suite, il habitera rue d’Algérie, là même où habita également Cagliostro. Le fait est exact mais il s’agit cependant de nuancer l’affirmation de certains historiens empressés car l’appellation des noms de rue et la topographie ancienne ont passablement évolué – à un siècle de distance – entre la seconde moitié du XVIIIe siècle et la fin du XIXe siècle. En effet la rue d’Algérie prendra cette appellation seulement à partir de 1850 du fait de travaux de rénovation des ruelles locales, insalubres et trop étroites. Pour se rendre sur place à l’époque de Cagliostro, en 1784, et pour aller visiter ensemble, cher lecteur, les deux hommes résidant dans quasiment le même lieu historique à cent ans d’intervalle, nous prendrons, marchant sur les traces de Cagliostro, à partir du quartier Saint-Jean, la rue du Bœuf, puis la rue Tramassac pour déboucher sur la rue Saint-Jean et la Place du Change. Nous traverserons de nuit la Saône, (…)

Thierry E. Garnier

– (EXTRAIT 2) –

Aux environs de l’année 1870, on retrouvera Monsieur Philippe au 7 rue de Créqui – (avec une entrée 4 boulevard du Nord). Puis, rue Duquesne, (proche de la Tête-d’Or), et au 5 rue Masséna. De façon concomitante Monsieur Philippe installe Place Colbert son premier laboratoire. Il habite ensuite rue du Griffon – symbole hermétique s’il en est et emblème de l’imprimeur lyonnais Sébastien Gryphe (1492-1556) – enfin, dans le même temps, il fait ses soins et séances d’enseignement au 117 rue Vendôme (proche de la Tête-d’Or). Il nous faut citer encore une habitation du Maître au boulevard des Brotteaux, (proche de la Tête-d’Or également). Bien sûr, le lieu magique et privilégié – quel symbole fort que cette « TÊTE D’OR »…, (et de quel or s’agit-il ?) – où opéreront sans interruption les séances de soins de Monsieur Philippe, durant des années, se trouve au 35 rue Tête-d’Or – (voir nos sources iconographiques). Comme nous le présupposons, il est impossible aujourd’hui de démêler sensément, au fil des chronologies successives que nous pouvons remonter dans nos recherches, les dates exactes (et les durées) où ces lieux furent habités par Monsieur Philippe, mais nous voyons ici que c’est surtout les (…)

Thierry E. Garnier

– (EXTRAIT 3) –

Pour qui essaie de suivre à la trace Monsieur Philippe dans ses voyages et ses pérégrinations, de 1863 à sa mort, la gare ferroviaire de Perrache, (qui fut construite en 1855 et inaugurée en 1857), demeure un haut-lieu de rendez-vous et de bifurcations pour le thaumaturge, vers Paris d’abord, puis à partir de 1866 vers l’Arbresle. Le Maître Philippe fera dès lors des allers-retours incessants entre son lieu de vie, son port d’attache privilégié, son clos chéri où réside sa famille et ses amis de passage en constantes arrivées au clos Landar, à l’Arbresle ; Lyon, la vieille ville, le cœur historique, là où l’on doit sonder les âmes et sauver les cœurs et les corps ; et Paris, la ville lumière où l’attendent avec impatience les amis et les frères d’âmes. Nous savons que Monsieur Philippe aura au moins trois laboratoires connus (peut-être plus), deux à Lyon : place Colbert, et au 6 rue du Bœuf, et un au Clos Landar où il parachevait certaines de ses expérimentations d’importance avec son fidèle ami, disciple et gendre, le docteur Emmanuel Lalande. Certains auteurs parlent également d’un autre laboratoire sis au 13 Montée Saint-Sébastien, dans le quartier de la Croix-Rousse, tout près du « Gros caillou ». Une servante dévouée, née à Marseille, Berthe Mathonet (1858-1911), secondait en toute chose le Maître Philippe et Emmanuel Lalande dans leurs recherches spagyriques. De 1879, jusqu’au décès du Maître, ce sont de nombreux médicaments qui sont brevetés et déposés légalement par Philippe et (…)

Thierry E. Garnier

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