Un DOSSIER à découvrir ce mois-ci sur le SITE DES ÉDITIONS ARQA – Partie II
II – Franck DAFFOS – DOCUMENTS INÉDITS – (SCOOP – Rapport de Police ) –
Quand Michel Vallet menace de mort son entourage
« Rennes-le-Château – c’est un asile à ciel ouvert… »
Jean-Luc Robin
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« Le Trésor qui rend fou », le best seller de Franck Daffos publié chez Arqa vient de passer en ce début d’année le cap des 2000 exemplaires vendus, ce qui le place parmi les « Tops » des meilleures ventes de livres pour nos éditions. (Voir également sa vidéo sur Youtube, ARSÈNE LUPIN – GENTLEMAN CAMBRIOLÉ, pour 2400 vues). Michel Vallet alias « Pierre Jarnac » figure en très bonne place dans cet ouvrage – et pour tout dire à la place centrale de ce livre implacable où pour une fois toutes les vérités sont bonnes à dire… Un livre sérieux et documenté qui, mieux qu’un bon polar, permet de passer un très bon moment dans ce confinement qui s’éternise ! Pour fêter cet anniversaire nous avons décidé d’un commun accord avec l’auteur de mettre en ligne sur Internet ce que l’on nomme habituellement « les bonnes feuilles » de cet ouvrage de manière à mieux faire connaître des pans entiers d’une personnalité qui le nécessite… En effet, il est peu de dire que le chercheur Michel Vallet semble parfois souffrir, par à-coups, de dédoublement de la personnalité.
Parfois reconnu à juste raison comme un chercheur historique pour ce qui concerne l’affaire de Rennes-le-Château – dans nombre de cas de figure, on s’aperçoit aussi que le personnage est également capable du pire, c’est-à-dire de l’accaparement de biens d’autrui, sans leur consentement, autrement dit de « vols », au sens légal du terme (Article L. 121-1), quand il ne s’agit pas de menaces de mort, nous aurons à en reparler. Ce mois-ci, on retrouve en effet plusieurs documents dont nous sommes les légitimes propriétaires selon les copyrights en vigueur (Arqa éditions ©), volés sur notre site et mis sans vergogne sur la page Facebook de Michel Vallet ainsi que sur son site Internet – sans notre accord – hors contexte bien entendu, et avec le dénigrement imbécile qui va avec de la part de cet auteur inconséquent comme nous l’ont signalé très amicalement plusieurs internautes. On reconnait bien là le personnage ambivalent et ambigu que nous connaissons tous. Nous aurions pu évidemment glisser (comme nous le faisons d’habitude) et en rester là, si ce n’est que Michel Vallet est coutumier du fait. Il faut savoir y mettre un terme. En ce qui concerne également les documents publiés le 23 mars 2020 sur le Net par Michel Vallet, relatifs à notre auteur Didier Hericart de Thury, (voir L’Or de Rennes co-écrit avec Franck Daffos, chez Arqa), dont le légataire universel est Franck Daffos, (légitimé par acte notarié selon un document testamentaire dûment signé de la main de Didier Hericart de Thury, peu avant sa mort le 30 mai 2015), il semble inutile de dire, qu’en la matière, la famille de Didier Hericart de Thury (en tant qu’ayants-droit légaux sur la mémoire de Didier), ainsi que Franck Daffos (en tant qu’héritier du travail de chercheur de cet auteur) sont à consulter de façon évidente, en préalable, pour toute exploitation de toute sorte, commerciale ou autre, qui concerne de près ou de loin cet héritage. Dans tous les cas, las, deux auteurs des éditions Arqa, et pas des moindres, ont décidé ce mois-ci de faire valoir leurs droits de réponse sur notre site.
Thierry E. Garnier – Les Chroniques de Mars © « Affaires classées » – Mars 2020.
Dans le milieu de l’édition des ouvrages consacrés à Rennes-le-Château, Franck DAFFOS est considéré comme un poids lourd et sans aucun doute comme un des meilleurs spécialistes du Mystère. Tous ses ouvrages sont d’ailleurs des best-sellers ce qui éveille notamment la convoitise et la jalousie de beaucoup. De nombreuses amitiés mais aussi inimitiés largement entretenues par un caractère haut en couleur et une faconde au vocabulaire abrasif en font une des personnalités les plus marquantes de notre période moderne pour ce qui concerne l’affaire. Que l’on aime ou que l’on n’aime pas Franck Daffos, une chose est sûre les avis sont tranchés sur cette personnalité attachante aux foucades redoutables.
Franck DAFFOS a développé avec son ami Didier Hericart de THURY aux éditions Arqa, dans la collection « Les Chroniques de Rennes-le-Château », 6 TOMES déjà parus, une véritable recherche consacrée à ce mystère si impénétrable. Chacun des ouvrages publiés correspond à une analyse fouillée d’une thématique abordée et resitue à chaque fois « L’Affaire de Rennes » dans un contexte historique ancien ou dans une actualité récente – dont il est parfois l’acteur principal…
• L’AFFAIRE des CARNETS – Réponse à Octonovo – Nouvelle édition – Texte intégral
• L’OR de RENNES – Quand Poussin et Teniers…
• Le TRÉSOR qui rend FOU – Ma vérité sur le Pech d’En Couty
• ARSÈNE LUPIN – Gentleman cambriolé
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Quand c’est toujours le même qui remet un euro dans la machine
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Michel Vallet (Jarnac) est le prototype même du pompier pyromane, dans un premier temps il allume le feu sur Internet avec son fiel, dans un second temps il découvre « que l’eau ça mouille et que le feu ça brûle », pour enfin dans un troisième temps se victimiser partout où il le peut encore pour mieux considérer que la Terre entière lui en veut. Plutôt que des papis, des tontons, c’est avec cette image d’illustration choisie de façon collégiale en vue d’obtenir sur le Web « le Grand Prix du Polar 2020 »…, que débute cette nouvelle Chronique des « Affaires classées », et il nous faut bien reconnaître qu’elle colle parfaitement aux propos que nous allons développer prochainement…
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– Qu’en est-il ? Assez régulièrement, deux ou trois fois par an, mutatis mutandis, Michel Vallet rajoute un euro dans la machine en dézinguant les uns ou les autres, (Franck Daffos, Philippe Duquesnois, François Lange, …), les amis ou les auteurs des éditions Arqa, ou nous même, en nous traitant sur son propre site Internet de « vain éditeur » par exemple, en toute confraternité – pourquoi se gêner, les exemples sont nombreux. (Pour ma part, je n’ai jamais répondu publiquement à ses attaques diffamatoires). Dans le cadre du Dossier que nous présentons ce mois-ci, il semblerait qu’il ne soit pas tombé sur des ingrats avec les droits de réponse de François Lange et ceux de Franck Daffos que nous publierons au cours des prochaines semaines. Ajoutons, pour faire bonne mesure, que ce mois-ci alors que le personnage venait voler sur le site des éditions Arqa des documents nous appartenant, documents qu’il mettait en ligne sans notre autorisation sur sa page Facebook d’abord et sur son site Internet ensuite, pour s’en moquer de façon peu amène, en dénaturant totalement les propos publiés légendant les images (1), puis dans le même temps éditait sans autorisation des documents dont les droits d’exploitation ne lui appartenaient pas – sans accord des ayant-droits, on pouvait objectivement considérer que c’était finalement toujours le même, de façon compulsive, qui occasionnait la situation dont il allait en bout de ligne se retrouver la victime expiatoire – impactant au passage au titre des dégâts collatéraux son coéquipier de galère en la personne de MICHEL AZENS.
Mais après tout, comme le disait Pascal – (que nous avons beaucoup étudié ces dernières années ) (2) – ne faut-il pas considérer la vie comme un sacrifice ? – car les accidents de celle-ci font impression tactile dans notre esprit que dans la mesure où ils abrègent foncièrement ou accomplissent véritablement les modalités extrêmes de ce même sacrifice – « N’appelons mal que ce qui rend la victime de Dieu victime du diable », dira Blaise. Dans l’antiquité, il était de coutume de tuer le messager apporteur de nouvelles fortement dérangeantes pour la cour ou le peuple de la Cité. Aujourd’hui…, même si la censure opère toujours diligentée par des eunuques bas de plafond et des faibles d’esprit à la solde d’intérêts partisans, les temps et les mœurs ont changé et, à l’ère d’Internet, l’information cruciale circule toujours, qu’on le veuille ou non, pour faire œuvre de salubrité publique. Cette information là – la vraie – est de nos jours sur le Web considérée par tous comme un acte légitime d’information nécessaire. Il ne s’agit pas ici de taxe ou de mise à l’amende mais de redevance et de remerciements quand la danse des masques dévoile sans pudeur les démons intérieurs. Après avoir donné la plume à notre ami commandant de police et écrivain de polars à succès, François Lange, la semaine dernière, nous laissons ce jour le soin à Franck Daffos de s’exprimer. Digne des meilleurs lanceurs d’alerte, il se chargera, lui, d’ouvrir à sa manière avec les instruments contondants qui sont les siens sa part de l’ambivalent « Dossier Vallet vs Jarnac » en poursuivant naturellement.
Thierry E. Garnier – Les Chroniques de Mars © « Affaires classées » – Avril 2020.
UN DOSSIER BEAUCOUP PLUS FORT QU’UN POLAR !
QUAND LA RÉALITÉ REJOINT LA FICTION
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Jamais la phrase de Jean-Luc Robin comparant Rennes-le-Château à un asile d’aliénés n’a pris autant de sens que dans le récit narré dans le livre de Franck DAFFOS « Le Trésor qui rend FOU » où il est notamment question d’insultes et de menaces de mort répétées – de FAÇON ANONYME – par un homme paille à la solde de Michel Vallet. Dans le cadre du dossier présenté ici, il ne s’agit que de Droits de réponse, et la personne n’est pas attaquée, ce sont, seuls, ses agissements peu qualifiables qui sont mis en perspective de manière à comprendre les motivations profondes et les égarements claudicants qui sourdent parfois psychiquement dans les arrières-plans des coulisses de l’être. Bien sûr, évidemment, les tumultes chaotiques qui peuvent émerger à la surface des ondes, en toute visibilité communautaire, ne sont jamais de la responsabilité d’un homme seul, Michel Vallet mettra d’ailleurs en cause dans son très célèbre post du 31 août 2011, le désormais fameux et toujours dissimulé « M. A. » qui n’était autre, au final, que son factotum et porteur d’eau Michel Azens (1)… (Toute cette ténébreuse affaire sera développée dans les prochains articles en publication durant les mois d’avril, mai, juin et juillet 2020). Pour l’heure, dans une époque où l’inversion accusatoire et la reine des perversions, alors que Michel Vallet passe toujours pour « le gentil » de l’histoire et Franck Daffos pour le « méchant », dans cette incroyable énigme du Pech d’En Couty ; comme dans les films en noir et blanc des années 60, le rapport de la Gendarmerie nationale publié aujourd’hui en tant que document inédit à verser au dossier semble bien démontrer le contraire… Chacun se fera son idée par soi-même. Alors – vous-même… – qu’auriez-vous fait à la place de Franck Daffos… ? Auriez-vous, oui ou non, poursuivi Michel Vallet en Justice, dans exactement la même situation que cet auteur au sang chaud, pour défendre votre honneur et votre famille… ?
– UN TEXTE de FRANCK DAFFOS –
(…)
Malgré qu’il ait été démasqué, cet esprit malade et torturé ne renonça pas. Ce fut ensuite sur mes téléphones fixe et portable un harcèlement incessant d’appels anonymes, avec menaces de mort ainsi que pour les membres de ma famille.
Plainte fut immédiatement déposée en gendarmerie le 8 septembre 2011. Elle déboucha bien vite sur la découverte de la provenance de tous ces appels : il s’agissait d’un proche de Michel Vallet, manipulé par ce dernier… (1).
– Fin de cette lamentable parenthèse. (2)
En ce qui nous concerne, Didier et moi, nous n’avons jamais cessé les recherches, mais au principe souverain que chat échaudé craint l’eau froide, nous n’en avons, au contraire de tout ce que nous avions toujours pratiqué au préalable, (…)
Le TRÉSOR qui rend FOU – (extrait du livre, page 43).
(à suivre…)
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Des délits graves et avérés
1 – À l’issue de l’enquête préliminaire diligentée par la Gendarmerie nationale, celle-ci remontera le fil des conversations téléphoniques faisant état des menaces de mort anonymes à l’encontre de Franck Daffos et de sa famille et démasquera le coupable – un proche de Michel Vallet… Vallet, lui, démontra dans sa façon de faire que bien peu aventureux il préférait envoyer au front quelqu’un d’autre que lui-même, tout en continuant à avancer masqué tapi dans l’ombre et à pérorer sans aucune gêne sur les sites Internet de l’époque, forums, et autres…, comme il persiste d’ailleurs à le faire encore aujourd’hui en toute impunité et sans personne pour le contredire. Dans cette controverse malheureuse et vraiment peu honorable pour le dissimulateur anonyme, (mais finalement démasqué), il faut reconnaître qu’il s’agit bien là d’une « affaire dans l’affaire » – les deux hommes, Michel Vallet et son homme de paille de circonstance, furent tous deux convoqués sans aucun ménagement à la Gendarmerie nationale la plus proche du domicile de Vallet, dès la fin de l’enquête qui fut, elle, expéditive, grâce à la sagacité implacable et aux talents cachés de la Maréchaussée qui fit un duplicata de la vingtaine de conversations téléphoniques enregistrées en deux jours.
2 – Dans de telles circonstances, et compte tenu des antagonismes de personnes si puissamment marqués, de la gravité des insultes et des menaces de mort proférées de façon répétitives par l’entremise de l’homme de paille de Michel Vallet, ce dernier agissant peut être sous la contrainte, nous ne connaissons sur cette Terre quasiment aucune personne qui n’aurait pas officialisé la plainte contre Vallet pour poursuites et instruction définitive puis envoi en maison d’arrêt. En effet, ce type de comportement est pénalement réprimé par les articles 222-17 et 222-18 du code pénal. Du point de vue de la répression, la menace de commettre un crime ou un délit contre des personnes est punissable de six mois d’emprisonnement et de 7 500 € d’amende lorsqu’elle est soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet (C. pén., art. 222-17, al. 1er). La peine est portée à trois ans d’emprisonnement et à 45 000 € d’amende s’il s’agit d’une menace de mort (C. pén., art. 222-17, al. 2). Lorsqu’il s’agit d’une menace avec ordre, l’article 222-18 du code pénal la punit de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende. Cette peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 € d’amende en cas de menace de mort avec ordre. Pourtant, cette histoire rocambolesque digne des meilleurs polars de Thomas Bronnec aura une conclusion heureuse pour… Michel Vallet lui-même ! Jamais, jusqu’à ce jour, Franck Daffos n’a porté plainte contre Michel Vallet. Alors ? Qui est le « gentil » ? Et qui est le « méchant » ? Et vous… ? Qu’auriez-vous fait, vous même, à la place de Franck Daffos, auriez-vous porté plainte… ?
K2M.
VOIR AUSSI L’ARTICLE d’ARONNAX //
Quand un commandant de Police
et un écrivain de polars à succès se livre…
• Les CHRONIQUES de MARS – « AFFAIRES CLASSÉES » // Docteur Vallet & Mister J’arnaque # 1
Quand Michel Azens s’exprimait sur les livres des éditions ARQA…
(1) Selon le bon vieux dicton, « qui se ressemble s’assemble », à l’égal de son mentor Michel Vallet, MICHEL AZENS, le valet de Vallet, très donneur de leçons sur les Forums…, n’est pas avare de compliments, lui non plus…
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• I – François LANGE – Quand Aronnax recadre Michel Vallet
• II – Franck DAFFOS – DOCUMENTS INÉDITS – (SCOOP – Rapport de Police ) – Quand Michel Vallet menace de mort son entourage
• III – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet tente de se suicider sur l’île de Madère…
• IV – Franck DAFFOS – DOCUMENTS INÉDITS – Quand Michel Vallet est confronté à un constat d’huissier qui le met en cause
• V – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet pille 5 ans après sa mort les découvertes de Didier Hericart de Thury
• VI – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet fait de la spéléologie au Pech d’En Couty
• VII – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet publie « la photo » de l’abbé Boudet
• VIII – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet dérobe à Didier Hericart de Thury « Le Catalogue Giscard » à des fins mercantiles
• IX – Thierry E. GARNIER – Épilogue
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