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I – Du confinement considéré comme une voie d’Éveil

 

« L’homme se découvre lorsqu’il se mesure à un obstacle. »

Antoine de Saint-Exupéry

 

À l’heure où, sans aucune gène, le Pr Didier Raoult, Microbiologiste de renommée internationale, (en passe d’aider foncièrement l’humanité à tout le moins se soigner sinon se guérir de cette toute « première peste » du XXIe siècle), se fait traiter comme un malpropre, notamment par Daniel Cohn-Bendit et Laurent Alexandre, il nous appartient de savoir et de comprendre – sans les incriminer – pour quelles raisons… ? Et quelles sont les motivations profondes de ces messieurs ? À une octave supérieure, considérons mieux quels sont les véritables enjeux cachés d’un tel débat, peut-on les discerner concrètement, et peut-on croire réellement qu’à la « Libération », d’ici quelques semaines ou quelques mois, l’ancien monde devenu européiste et mondialisé, constitué au siècle des Lumières sur un héritage multiséculaire et fondamentalement enraciné dans des valeurs éminemment spiritualistes, ne se disloquera pas, par à coups répétés et forcément violents, en un Nouvel Ordre Mondial que préfigure le « virus couronné ».

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Afin d’y voir un peu plus clair dans ce drôle d’imbroglio méphitique, nous présentons cette semaine une interview détonante du Pr Didier Raoult réalisée avec brio par des confrères d’un WebZine marseillais (« Marcelle »), ainsi qu’une très belle vidéo intitulée : « Le Pr Didier RAOULT – Un portrait que les médias actuels veulent occulter »… En ce début de XXIe siècle il demeure important que chacun de nous – pour soi-même – puisse profiter de ce temps d’introspection pour déterminer en conscience la vérité de son incarnation dans une période à haute intensité vibratoire où l’accélération énergétique au sein de la matrice est parfaitement ressentie par tous les sensitifs de haut rang. En effet, en ce temps d’apocalypses, c’est à dire de « révélations en tous genres », toutes publiées à la vitesse de la lumière – (où il nous faudra parfaitement concevoir de quelle nature est cette « Lumière ») – devant la masse d’informations « virales »… révélées par ce « virus », aujourd’hui, nul ne pourra dire qu’il ne savait pas, qu’il ignorait, ou qu’il ne pouvait pas prendre position… Au cœur de la tourmente, qui est une tempête épidémiologique tout autant que médiatique et qui risque de devenir à terme un véritable scandale médiatique, nous sommes en train d’assister à l’effondrement incroyable du cadavre putréfié des grands médias de Presse traditionnelle, TV et journaux, qui viennent de décéder lamentablement devant nos yeux non pas du COVID 19, mais de leur belle mort, au bénéfice des réseaux sociaux qui font véritablement un travail d’enquête hors norme… Autrement dit, il est du devoir de chacun de s’informer en toute conscience dans ce moment si particulier d’intériorisation puissante et de pause qu’est devenu pour chacun de nous ce confinement obligatoire contingenté par les forces de Pouvoir. Alors, comment faut-il vivre ce moment, en (H)ermite ou en reclus ? À ce titre le « virus couronné » comme nous l’avons nommé – (mais couronné par qui ?) – joue sa carte à fond de révélateur prophétique, mais ça nous l’avions déjà compris, n’est-ce pas… ? En dernier recours, en ces temps d’explorations, que l’Amour Divin toujours nous éclaire, nous inspire, et œuvre à travers nous pour le plus grand bien de tous.

Thierry E. GARNIER

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Quelques éléments comparatifs à l’usage des malades et des nécessiteux

 

Sur l’antiviral hydroxychloroquine et les polémiques et attaques grossières de quelques « confrères » contre cet éminent savant, voici une des principales raisons de ces attaques : les juteux bénéfices en vue des Laboratoires.

La différence de prix de ce médicament, tant décrié, utilisé depuis 50 ans sans problème notoire et de l’Azithromycine, un antibiotique commun, d’avec les autres antiviraux à l’essai…, (pendant que les malades décèdent….).

Remdesivir : 260 dollars.

Epinavir : 72 euros.

Ritonavir kaletra : 512 euros.

Interféron Beta 30 microgrammes : 698 euros.

Hydroxychloroquine : 5 euros la boite de 30.

 


SIGNEZ ICI LA PÉTITION

 

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II – Un portrait que les médias actuels veulent occulter

 

– Mais pourquoi avez-vous un tel look ? !

Question de journaliste

« – Parce que ça les fait chier ! »

DIDIER RAOULT Professeur marseillais de Microbiologie.

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III – L’Interview qui tue du Pr. Raoult !

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– Vous avez fait savoir mardi que vous ne participeriez plus aux réunions du comité scientifique qui conseille nos autorités sur la conduite à tenir face à l’épidémie, pourquoi ?

Je n’ai pas deux heures à perdre dans des discussions qui ne vont pas à l’essentiel. Ici, nous sommes submergés de travail, nous sommes submergés par les résultats des tests et les données de nos patients. Un tiers de nos 75 lits d’hospitalisation est renouvelé tous les jours, nos équipes sont mobilisées H24… C’est cela qui m’importe, pas les causeries où il ne faut surtout froisser personne.

Les critiques, les mises en cause, cela vous blesse ?

Les critiques et les conversations de bar sur les plateaux télé, je m’en fous à un point que vous n’imaginez pas. Ce qui m’ennuie, en revanche, c’est que la France, mon pays, ne suive pas ce qui est raisonnable et prenne du retard parce que des gens qui se pensent importants ne veulent pas se dédire. Moi, je suis serein, je sais comment cela va se terminer.

C’est ce que certains vous reprochent, de prédire l’avenir.

Il ne s’agit pas de prémonition mais de savoir. Dans le domaine qui est le mien, je sais ce que je dis, je sais ce que font mes équipes, j’accumule des données – donc du savoir supplémentaire – et je mesure tous les jours l’effet clinique de ce que je préconise. Certains ne veulent pas y croire ? C’est leur problème. Les politiques et leurs décisions, c’est l’Histoire qui les juge. On verra très vite ce qu’il en est pour cette crise. On connaîtra la vérité. Un millier de patients ont été déclaré positifs aux tests que nous avons réalisés. Grâce au suivi de leur traitement, nous disposons d’une somme considérable de données. Nous les compilons. Elles nous donneront bientôt une idée plus précise de l’action de l’hydroxychloroquine.

Avez-vous ajusté vos indications thérapeutiques ?

Notre doctrine, c’est de détecter et de traiter le plus en amont. L’hydroxychloroquine fonctionne sur les cas modérés à sévères. Au-delà, quand les patients sont en réanimation, c’est trop tard. Le virus est encore là, mais le malade souffre d’inflammations pulmonaires consécutives.

Justement, l’essai clinique Discovery va être mené sur des patients très atteints…

Si on avait envie de prouver que ça ne marche pas, on ne s’y prendrait pas autrement. Il y aura une enquête parlementaire après tout ça, et elle sera sanglante, autant que l’affaire du sang contaminé. Et ce sera pire si le gouvernement décide de refuser l’accès au médicament.

Mais, même l’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre le traitement que vous préconisez…

Avant toute chose, je suis médecin. J’ai prêté le serment d’Hippocrate en 1981 et mon devoir depuis, c’est de faire ce qui me paraît le mieux pour les malades, en fonction de mes connaissances et de l’état de la science. C’est ce que je fais depuis 40 ans et ce que je fais en ce moment avec mes équipes : soigner le mieux possible les patients qui se présentent. Cela veut dire les tester, évaluer l’état de ceux qui sont positifs et les traiter avec les thérapies disponibles. Aujourd’hui, il n’y en a qu’une qui a commencé à donner des résultats, c’est l’hydroxychloroquine associée à un antibiotique, l’azithromycine. Toutes les données que nous recueillons depuis que nous avons commencé, il y a un mois, après les premiers essais en Chine, vont dans le même sens. Alors, que ça respecte ou non les procédures scientifiques habituelles… Je suis d’accord avec le Président quand il dit que nous sommes en guerre. Une guerre qui justifie de se battre avec toutes les armes dont nous disposons. En tant que médecins, il est de notre devoir de donner aux malades le meilleur traitement disponible à l’instant T. Le reste, c’est de la littérature.

Quels mécanismes entreraient en jeu avec l’administration d’hydroxychloroquine ?

Cette molécule aurait deux effets pour accélérer l’élimination du virus : il modifierait d’abord l’environnement acide de la poche vacuole de la cellule. Ce petit sac de liquide protégé par la membrane sert de nid aux virus. En augmentant son pH (potentiel Hydrogène), l’écosystème tranquille de cet abri est chamboulé et les enzymes, impliquées dans la machinerie cellulaire utilisée par le virus pour se répliquer, sont empêchées d’agir. L’hydroxychloroquine favoriserait également l’apoptose, c’est-à-dire la mort cellulaire programmée, un mécanisme génétique qui protège l’organisme des infections en commandant aux cellules infectées de s’autodétruire. Je vais travailler avec l’expert de renommée mondiale Guido Kroemer, professeur d’immunologie à la faculté de médecine de l’Université de Paris Descartes et directeur de l’unité de recherche « Métabolisme, cancer et immunité », pour approfondir les travaux sur les mécanismes impliqués.

Sans présager de la publication de vos nouvelles observations, que pouvez-vous dire de l’efficacité de Plaquenil ?

Ne vous inquiétez pas : ça marche. Et même mieux que ça : on a deux fois moins de victimes d’infections virales cette année, toutes maladies confondues, aucun pic de surmortalité et pas de résistance aux antibiotiques.

Nombre de vos confrères poussent des cris d’orfraie en évoquant les effets secondaires délétères de la chloroquine…

Tous les médicaments ont des effets secondaires, surtout lorsque l’on ne respecte pas les posologies. L’aspirine, le paracétamol et l’ibuprofène surdosés, c’est beaucoup plus dangereux que l’hydroxychloroquine aux doses où on les administre. Quant à l’azithromycine, un Américain sur huit s’en voit prescrire au moins une fois chaque année. Si cela tuait les gens ou les rendait plus malades qu’ils ne sont, nous le saurions.

Vous avez annoncé dimanche que vous testeriez toutes les personnes fébriles qui se présenteraient à l’IHU. On a vu les queues qui se formaient devant chez vous. Que pouvez-vous nous en dire ?

Depuis lundi, nous avons pratiqué 2 000 tests par jour. Environ 10% des personnes testées étaient positives.

Que se passe-t-il pour les gens que vous dépistez ?

Notre protocole est rodé. Nous regardons s’ils ont des signes cliniques de la maladie et nous leur faisons passer un scanner pulmonaire  « low dose » (1), comme le font les Chinois, car une partie des gens contaminés ne présentent pas de signes cliniques évidents de la maladie mais ont des lésions pulmonaires qui s’aggraveront s’ils ne sont pas traités.  C’est à eux que l’on administre ce que nous considérons comme le seul traitement disponible à ce jour.Deux jours après, ils sont invités à venir réaliser un électrocardiogramme. Le risque cardio-vasculaire est l’effet secondaire le plus important. Ce traitement est ambulatoire mais les patients les plus sérieux sont naturellement hospitalisés.

Qu’est-ce qui, selon vous, empêche de généraliser ces tests et ces examens au scanner à l’ensemble du pays ?

C’est d’abord une question de volonté politique et de mise en place logistique. Les moyens, nous les avons. Entre les laboratoires d’analyses privés, les laboratoires vétérinaires de très grande qualité que nous possédons, les médecins de ville et les infirmières libérales, tous qualifiés pour faire des prélèvements, ainsi que nos ressources hospitalières, il y a de quoi faire. Ici, nous ne sommes pas des extra-terrestres. Si nous arrivons à faire 2 000 tests par jour à l’IHU de Marseille je ne peux pas croire que la France entière ne soit pas capable de faire comme en Allemagne ou en Corée du Sud. 100 000 tests par jour, c’est ce dont nous aurions besoin et nous en sommes capables. Des tests PCR de base, hors épidémie, nous en faisons 300 000 par an à l’IHU. Quant aux scanners, nous faisons face à Marseille, mais cela sera peut-être plus difficile ailleurs, car notre taux d’équipement en scanners est un des plus faibles des pays de l’OCDE. C’est la conséquence des choix politiques et financiers des 30 dernières années. Les conneries finissent toujours par se payer.

Comment expliquez-vous que cette stratégie qui a fait ses preuves ailleurs, ne soit toujours pas d’actualité chez nous ?

En France, malheureusement, avant de se poser la seule question qui vaille, c’est-à-dire « que faut-il faire pour faire face à telle situation ? », on se demande toujours « est-on capables de mettre en place telle ou telle solution ? ». On met la charrue avant les bœufs et ça n’avance pas.

Le ministre de la Santé vous écoute-t-il ?

C’est un homme intelligent, mais il a hérité d’une situation très difficile, très désorganisée.

Que pensez-vous de l’attitude des autorités, politiques et médicales, d’une façon générale ?

Je me contenterai de citer la maxime attribuée à Sénèque : « Errare humanum est, perseverare diabolicum » (ndlr – L’erreur est humaine, persévérer -dans l’erreur- est diabolique) ♦

(1) Un scanner « low dose » (faible dose en français) permet d’obtenir une image de bonne qualité avec un niveau d’irradiation très faible du patient.


INTERVIEW ci-dessus réalisée par « Marcelle » © // Le portait du Pr Didier Raoult paru dans « Marcelle » il y a une semaine a explosé tous nos compteurs (plus de 100 000 lecteurs). Plus surprenant encore, il n’a donné lieu à aucune polémique. Le chercheur est actuellement au cœur de tous les débats pour la solution thérapeutique qu’il préconise. Hier matin, le Canard Enchaîné titrait même sur les menaces de mort dont il a fait l’objet. D’où cet exercice de questions-réponses auquel le virologue aujourd’hui le plus célèbre de la planète a bien voulu se plier car il connaît bien et depuis longtemps les journalistes qui le questionnent.

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IV – Une Interview du Pr. Raoult – La seconde couche

En date du 1er avril 2020

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 » Les savoirs scientifiques sont temporaires… »

Pr. Didier Raoult

 

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