Un DOSSIER à découvrir ce mois-ci sur le SITE DES ÉDITIONS ARQA – Partie III
III – Quand Michel Vallet pille 5 ans après sa mort les découvertes de Didier Hericart de Thury
« Rennes-le-Château – c’est un asile à ciel ouvert… »
Jean-Luc Robin
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« Le Trésor qui rend fou », le best seller de Franck Daffos publié chez Arqa vient de passer en ce début d’année le cap des 2000 exemplaires vendus, ce qui le place parmi les « Tops » des meilleures ventes de livres pour nos éditions. (Voir également sa vidéo sur Youtube, ARSÈNE LUPIN – GENTLEMAN CAMBRIOLÉ, pour 2400 vues). Michel Vallet alias « Pierre Jarnac » figure en très bonne place dans cet ouvrage – et pour tout dire à la place centrale de ce livre implacable où pour une fois toutes les vérités sont bonnes à dire… Un livre sérieux et documenté qui, mieux qu’un bon polar, permet de passer un très bon moment dans ce confinement qui s’éternise ! Pour fêter cet anniversaire nous avons décidé d’un commun accord avec l’auteur de mettre en ligne sur Internet ce que l’on nomme habituellement « les bonnes feuilles » de cet ouvrage de manière à mieux faire connaître des pans entiers d’une personnalité qui le nécessite… En effet, il est peu de dire que le chercheur Michel Vallet semble parfois souffrir, par à-coups, de dédoublement de la personnalité.
Parfois reconnu à juste raison comme un chercheur historique pour ce qui concerne l’affaire de Rennes-le-Château – dans nombre de cas de figure, on s’aperçoit aussi que le personnage est également capable du pire, c’est-à-dire de l’accaparement de biens d’autrui, sans leur consentement, autrement dit de « vols », au sens légal du terme, quand il ne s’agit pas de menaces de mort, nous aurons à en reparler. Ce mois-ci, on retrouve en effet plusieurs documents dont nous sommes les légitimes propriétaires selon les copyrights en vigueur (Arqa éditions ©), volés sur notre site et mis sans vergogne sur la page Facebook de Michel Vallet ainsi que sur son site Internet – sans notre accord – hors contexte bien entendu, et avec le dénigrement imbécile qui va avec de la part de cet auteur inconséquent comme nous l’ont signalé très amicalement plusieurs internautes. On reconnait bien là le personnage ambivalent et ambigu que nous connaissons tous. Nous aurions pu évidemment glisser (comme nous le faisons d’habitude) et en rester là, si ce n’est que Michel Vallet est coutumier du fait.
Il faut savoir y mettre un terme. En ce qui concerne également les documents publiés le 23 mars 2020 sur le Net par Michel Vallet, relatifs à notre auteur Didier Hericart de Thury, (voir L’Or de Rennes co-écrit avec Franck Daffos, chez Arqa), dont le légataire universel est Franck Daffos, (légitimé par acte notarié selon un document testamentaire dûment signé de la main de Didier Hericart de Thury, peu avant sa mort le 30 mai 2015), il semble inutile de dire, qu’en la matière, la famille de Didier Hericart de Thury (en tant qu’ayants-droit légaux sur la mémoire de Didier), ainsi que Franck Daffos (en tant qu’héritier du travail de chercheur de cet auteur) sont à consulter de façon évidente, en préalable, pour toute exploitation de toute sorte, commerciale ou autre, qui concerne de près ou de loin cet héritage.
Thierry E. Garnier – Les Chroniques de Mars © « Affaires classées » – Mars 2020.
Dans le milieu de l’édition des ouvrages consacrés à Rennes-le-Château, Franck DAFFOS est considéré comme un poids lourd et sans aucun doute comme un des meilleurs spécialistes du Mystère. Tous ses ouvrages sont d’ailleurs des best-sellers ce qui éveille notamment la convoitise et la jalousie de beaucoup. De nombreuses amitiés mais aussi inimitiés largement entretenues par un caractère haut en couleur et une faconde au vocabulaire abrasif en font une des personnalités les plus marquantes de notre période moderne pour ce qui concerne l’affaire. Que l’on aime ou que l’on n’aime pas Franck Daffos, une chose est sûre les avis sont tranchés sur cette personnalité attachante aux foucades redoutables.
Franck DAFFOS a développé avec son ami Didier Hericart de THURY aux éditions Arqa, dans la collection « Les Chroniques de Rennes-le-Château », 6 TOMES déjà parus, une véritable recherche consacrée à ce mystère si impénétrable. Chacun des ouvrages publiés correspond à une analyse fouillée d’une thématique abordée et resitue à chaque fois « L’Affaire de Rennes » dans un contexte historique ancien ou dans une actualité récente – dont il est parfois l’acteur principal…
• L’AFFAIRE des CARNETS – Réponse à Octonovo – Nouvelle édition – Texte intégral
• L’OR de RENNES – Quand Poussin et Teniers…
• Le TRÉSOR qui rend FOU – Ma vérité sur le Pech d’En Couty
• ARSÈNE LUPIN – Gentleman cambriolé
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Un confinement moite digne d’un film de Lautner
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« Le polar est le genre littéraire idéal pour mettre en scène les dysfonctionnements de notre société. »
Henning Mankell (1948 – 2015)
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Comme signalé lors de nos précédents articles, et suite aux attaques répétées tous azimuts ces dernières années de Vallet-Jarnac, il nous est donc manifestement apparu nécessaire de siffler la fin de la récréation, car nos auteurs n’ont jamais ambitionné de se réincarner un jour en paillassons (1).
Nos deux derniers épisodes des « Affaires Classées » publiés sur le Net ce mois-ci ont connu en cette période de confinement un véritable buzz, la dernière page Jarnac-Vallet de Franck Daffos a été la plus vue en visiteurs/jours de ces dix dernières années sur le Web, sur notre site Internet pour la partie consacrée à Rennes-le-Château, un record historique. Il apparaît donc nécessaire de tenir au courant les lecteurs curieux de notre Webzine puisque nous avons reçu un nombre incalculable de mails pour savoir si nous avions inventé de toutes pièces ce web-polar délirant, (traité en jaune et noir), aux allures de tragédie shakespearienne durant cette pénible, harassante, et interminable période de confinement – pour le plus grand bien de nos abonnés – afin qu’ils puissent passer (malgré tout) ce temps de latence obligatoire dans des conditions de nababs, en fumant des havanes, en sirotant un Dalwhinnie des Highlands de 15 ans d’âge, et en lisant sur leurs tablettes numériques avec un œillet rose à la boutonnière « Les Chroniques de Mars », version polar des années 60 revisitées par Netflix, bien calés dans leur canapé en cuir de buffle ; ou, si c’était la réalité des choses, nette et crue, que nous avions servie sur un plateau d’or et d’argent (en provenance du trésor du Razès) à nos fidèles lecteurs enthousiastes…, qu’ils soient férus de l’affaire de Rennes ou de simples voyageurs du Net égarés par hasard jusqu’à nous pour se tenir au courant de la meilleure manière qui soit des derniers rebondissements d’une histoire décapante qui s’annonce à vrai dire bien plus palpitante que prévue et aux rebondissements à venir multiples…
De fait, grâce à la sollicitude bienveillante de Jarnac-Vallet le livre de Franck Daffos connaît un regain d’intérêt majeur et retrouve une nouvelle jeunesse…, ce qui n’est finalement pas plus mal. Cela démontre bien d’ailleurs, en dernier lieu, que la controverse Vallet vs Jarnac a une utilité certaine qui met en évidence la solidarité de notre confrère en ces temps de Covid 19. Un grand merci aussi, au passage, à notre ami Philémon qui relaie chaque fois, sans faille, toutes nos infos sur le Forum de Jean-Claude Debrou afin que la communauté des chercheurs puisse se tenir au courant, ainsi que sur sa page Facebook – le ciel très clairvoyant lui rendra mieux que nous ne saurions le faire ce qui lui reste dû, alors abonnez-vous aussi à sa page si vous voulez avoir des infos sur l’affaire de Rennes-le-Château.
Pour l’heure, nous présentons dans ce chapitre # 3 intitulé : « Quand Michel Vallet pille 5 ans après sa mort les découvertes de Didier Hericart de Thury », un développement récent qui, le moins que l’on puisse dire, n’est vraiment pas à l’avantage de Vallet-Jarnac qui oublie de nommer, en 2020, ce que pensait de lui avec exécration en 2015 Didier Hericart de Thury, ce dernier ne se gênait pas pourtant, de son vivant, pour lui faire comprendre avec autorité et éclats de voix sa façon de penser…
Thierry E. Garnier – Les Chroniques de Mars © « Affaires classées » – Avril 2020.
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À l’heure où nous nous faisons traiter de « papis » par un monsieur bien plus âgé que nous, ce sont plutôt les tontons flingueurs qui entrent en scène…
1 – Faute d’arguments évidents à présenter en réponse à notre document « Affaires classées » # 2, on ne peut que regretter, une fois encore, la vulgarité qui n’a d’égale que la bêtise des réponses du moment de Vallet qui allume, sans grand espoir, d’hypothétiques contre-feux tout à fait illusoires grâce à des « jeux de mots » éculés tirés de l’Almanach Vermot de 1886 pourrait-on croire*, sans répondre aucunement aux questions pertinentes et légitimes qui ont été posées en avril 2020 lors des « Affaires classées » # 1 et 2, et ce sans aucune animosité, sans aucune attaque ad hominem (à la différence de ce que fait Vallet), tout en restant axées exclusivement sur des éléments factuels incontournables et des documents d’archives issues de la Gendarmerie nationale. Dont acte, nous attendrons le temps qu’il faudra les réponses claires de Vallet-Jarnac avec la patience nécessaire, attente sans doute bien plus grande que l’impatience trépidante mise en branle par tous les internautes qui nous ont écrit ce mois-ci dans l’attente d’explications claires de Vallet au sujet du document de gendarmerie publié il y a 15 jours – mais en aura-t-il vraiment le courage ? Le « Dossier Vallet vs Jarnac » reste donc d’une totale et brûlante actualité dans ce confinement moite, très largement digne d’un film de Georges Lautner – et ce ne sont pas les Tontons flingueurs qui nous contrediront… !
* le dernier en date, absolument pathétique, « Héricart sinon rien », concerne Dider Hericart de Thury (aujourd’hui décédé, c’est plus facile pour Vallet-Jarnac d’insulter les morts que les vivants…) ; Didier Hericart de Thury fut vicomte et dernier nom d’une des plus anciennes familles nobles françaises. De par sa mère, il descendait du fabuliste Jean de la Fontaine et de par son son père du dramaturge Jean Racine.
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• Par ailleurs nous avons reçu un très long mail de François Lange, le 15 avril dernier, qui ne se reconnaît en rien dans la description qui est faite de lui sur le blog de Vallet-Jarnac.
• En ce qui concerne le co-auteur de Michel Vallet, celui-ci, en s’excusant, a fait intervenir de façon amicale une relation commune auprès d’Arqa afin de ne plus apparaître sur le site des éditions, nous lui accordons cette faveur.
• Tous nos remerciements à nos abonnés pour leurs encouragements à poursuivre notre travail de debunking concernant Vallet et pour les informations reçues en compléments de nos enquêtes.
Quand on se prend pour un aigle et qu’on n’est qu’un…
Décidément, l’inénarrable et incorrigible Jarnac, plutôt que de répondre à des questions précises sur le rapport de Gendarmerie nationale publié dans « Affaires classées » # 2, lorsqu’il commandite sans aucune honte un homme de paille pour menacer de mort Franck Daffos, allume des contrefeux méprisants, s’en prenant aux « attributs sexuels » des uns, ou en posant le débat sur… des fautes d’orthographes des autres – sauf que… – lorsque l’on veut poser le débat sur de telles choses, il vaut mieux être soi-même bien outillé, irréprochable, et vraiment voler tel un aigle des Carpates, très largement au-dessus du lot pour donner des leçons d’orthographe aux autres…
Vallet aura beau corriger rapidement sur son site Internet, comme il le fait sans cesse, trop tard, la capture d’écran a déjà été faite par nos soins – et la faute est d’autant plus remarquable qu’un psychanalyste (même peu chevronné) en dirait beaucoup sur celle-ci… Tel est pris qui croyait prendre ! Mais bon…, le plus important, sur le fond, c’est surtout que les internautes attendent toujours les explications de Vallet et de son homme de paille sur son entrevue à la Gendarmerie nationale en 2011 suite à l’enquête faite et ce qu’il en est ressorti concrètement de leur part comme engagement auprès de la Maréchaussée. Allez Jarnac, un petit effort, et sans faute d’orthographe ce coup-ci !
K2M. – « Le courrier des lecteurs ».
Les archives sonores de Didier Hericart de Thury
Jarnac vs Vallet – Les écoutes du Razès
Si Pierre Jarnac (Michel Vallet) a le pouvoir nécrophagique de faire parler les morts sur Internet bien longtemps après leurs décès (et ce sans l’accord et au mépris des ayants-droit familiaux et de l’héritier testamentaire), il sera somme toute étonné d’apprendre qu’il n’est pas le seul à posséder des archives de ce type, car en la matière Didier Hericart de Thury était un maître-collectionneur.
Didier durant une vie entière avait collectionné la série complète des 33 cartes postales éditées par l´abbé Saunière en 1908, puis recensé tous les Teniers, avait tracé tous les chemins de Croix Giscard à l’identique de celui de Rennes-le-Château, acheté un exemplaire du Catalogue Giscard unique à ce jour, il habitait quasiment en face de l’imprimerie Pomiès à Carcassonne qui avait édité la Vraie Langue Celtique de Boudet, il avait fait refaire par un peintre parisien de l’École du Louvre, uniquement pour son bon plaisir, le Teniers et le Poussin de l’affaire de Rennes qui étaient visibles chez lui pour les quelques rares personnes habilitées à aller jusque là – et ils sont très peu nombreux les chercheurs de Rennes à avoir eu cette faveur. S’ajoutait à tout cela une bibliothèque hors norme sur le Mystère de Rennes et une masse d’archives de cinq décennies d’études, de copies de tous les journaux d’époque ayant traité du sujet, cela faisait de Didier, ni plus ni moins que le meilleur collectionneur et chercheur de la seconde moitié du XXe siècle sur l’affaire de Rennes.
C’est peu de dire que Didier Hericart de Thury était habité par l’affaire de Rennes qui était pour lui sa passion naturelle au quotidien; celle-ci, alliée à une connaissance parfaite du terrain dans les domaines audois en pâtures, en faisait un charmant compagnon de voyages et de conversations tout terrain. Mû par les forces de l’esprit, nous souhaitons à n’importe quel aventurier du Razès d’en faire le dixième seulement pour contenter sa vie entière de chercheur. Didier avait connu Plantard, il avait été un ami intime de Buthion et avait connu le gratin de tous les chercheurs de trésor des années 60. A la fin de sa vie, suite à l’horrible trahison de Vallet du 24 juillet, Didier Hericart de Thury était fâché à mort avec J’arnaque, et de voir ce dernier diaboliquement s’emparer de son travail d’une vie pour le mettre sur un site dédié à la gloire de Michel Vallet révulserait au possible aujourd’hui Didier Hericart de Thury.
Comme nous l’avons vu précédemment Didier Hericart de Thury était un collectionneur hors pair et avait la sainte manie de ne rien céder au hasard, de collectionner et de conserver, pour lui et ses amis, tout ce qu’il pouvait au quotidien. C’est ainsi que ses héritiers ont pu conserver sur cassettes, (aujourd’hui transformées au format mp3), les enregistrements des messages téléphoniques laissés par Michel Vallet sur le répondeur téléphonique de Didier Hericart de Thury. Certains d’entre eux, et pas des moindres, font état, entre beaucoup d’autres choses croustillantes, d’un « intermédiaire » très proche de Michel Vallet qui aurait joué un rôle non négligeable dans l’affaire du Pech d’En Couty…
(à suivre…)
Quand Michel Vallet pille 5 ans après sa mort les découvertes de Didier Hericart de Thury
« LA VÉRITÉ SUR L’AFFAIRE du PECH D’EN COUTY » – Chronologie des faits
Une affaire d’amitié trahie
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1967 // Gérard de Sède publie « L’Or de Rennes, ou La Vie Insolite De Bérenger Saunière curé de Rennes-le-Château », aux éditions René Julliard.
1967-1968 // A partir de cette période, Didier Hericart de Thury (1947-2015) s’intéresse de très près à l’affaire de Rennes-le-Château et vient séjourner sur place, il y noue une amitié profonde et très durable avec Henri Buthion, jusqu’à la mort de ce dernier à Lorient, en 2002.
c. 1969-1970 // Didier Hericart de Thury rencontre Michel Vallet.
1970-1980 // Didier Hericart de Thury fréquente assidûment Henri Buthion, entreprend ses premières recherches historiques et commence des investigations plus poussées sur le terrain.
1980-2000 // Durant approximativement vingt années, Didier Hericart de Thury, parfois accompagné d’un ami kinésithérapeute d’Avignon, fouille les environs de Rennes-le-Château, Rennes-les-Bains, puis une autre zone spécifique de la région audoise et localise grâce à ses recherches personnelles le trésor des deux Rennes dans un petit périmètre géographique compris entre Rennes-les-Bains, Sougraigne, Fourtou, Bugarach, pour se focaliser finalement sur le Pech d’En Couty dont il arpente mètre par mètre les moindres recoins.
2000-2007 // Après le décès de son ami avignonnais, durant sept années, de 2000 à 2007, Didier Hericart de Thury sera ensuite accompagné de Michel Vallet au Pech d’En Couty, pour faire des fouilles.
2003 // Rencontre entre Michel Vallet et Franck Daffos. A cette période, Michel Vallet dissimule les recherches de terrain qu’il effectue au Pech d’En Couty avec Didier Hericart de Thury. Cette dissimulation durera quatre années.
2007 – 9 juin // Rencontre entre Franck Daffos et Didier Hericart de Thury – (premières recherches communes à deux). Le binôme est constitué de belle manière à partir de cette époque et travaille ensemble à grande échelle, principalement sur l’œuvre de Boudet, dont un premier système de décodage est élaboré dans une phase transitoire. Ce travail se poursuivra en binôme jusqu’au décès de Didier Hericart de Thury.
2007- 2011 // Nombreuses expéditions en commun du trio Daffos-Hericart-Vallet au Pech d’En Couty à partir du mois de novembre 2007, (avec une interruption importante entre l’année 2008 et 2009). Durant presque trois années de campagne de fouilles, au total, il y aura environ une cinquantaine d’expéditions qui seront menées sur place par les trois hommes, parfois à raison de deux ou trois par mois, en dehors des périodes de vacances scolaires et selon les disponibilités de chacun.
2010 – 10 novembre // Le 10 novembre 2010, alors que le torchon brûle entre les membres du trio, un document de sept pages, extrêmement important, relatif aux découvertes faites par Didier Hericart de Thury et Franck Daffos sur les recherches circonstanciées menant au Pech d’En Couty est rédigé et déposé par les deux hommes à l’étude de Me Xavier Muscat, Huissier de Justice à Fronton – (voir extraits – « Affaires Classées » # 6). Ce document, qui met nommément en cause Michel Vallet, a pour objet principal de protéger les recherches de Didier Hericart de Thury et de Franck Daffos : « dans le seul but d’antériorité afin de se prémunir contre d’éventuelles divulgations par M. Michel Vallet (adresse), de découvertes concernant l’énigme dite de Rennes-le-Château (Aude) ». De fait, compte tenu de la divulgation publique sur Internet par Michel Vallet le 24 juillet 2011, ce document déposé par voie d’Huissier de Justice revêt aujourd’hui une importance capitale.
2011 – 5 mai // Malgré les dissensions et les tentatives de trahison une dernière rencontre commune du trio est réalisé au Pech d’En Couty.
2011 – juin // Remise définitive par Vallet des affaires de « spéléologue » amateur au domicile de Didier Hericart de Thury dans des conditions plus que rocambolesques. Ces affaires de spéléologie avaient été payées par Didier Hericart de Thury pour Michel Vallet pour que ce dernier puisse s’introduire selon les directives de Didier Hericart de Thury et Franck Daffos dans l’entrée de l’étroite galerie du Pech d’En Couty. – (Voir « Affaires Classées » # 4).
2011 – 13 juillet // Sortie officielle par les éditions Arqa de « L’Or de Rennes – Quand Poussin et Teniers donnent la clef de Rennes-le-Château », ouvrage écrit par Didier Hericart de Thury et Franck Daffos, ce sera le seul livre qu’écrira Didier Hericart de Thury dans toute sa vie.
2011 – 24 juillet // 10 heures du matin – Dénonciation publique de Vallet-Jarnac sur Internet et trahison à l’insu de Didier Hericart de Thury et de Franck Daffos du lieu exact où se trouve la chatière du site du Pech d’En Couty. La première photographie de la chatière du Pech d’En Couty est publiée par les éditions Arqa sur son site Internet. (Photo © Jean-Louis Socquet-Juglard).
2011 – 24 juillet // Ce même jour, entre midi et deux heures de l’après midi, alors que Michel Vallet est toujours… « introuvable » (!) et se terre dans son garage, le patron de toutes les Gendarmeries de l’Aude qui avait été requis pour cette opération appelle sur son portable Franck Daffos pour lui demander de récupérer Didier Hericart de Thury à Carcassonne (ce dernier ne conduisant pas) et donne rendez-vous aux deux hommes au pied du Pech d’En Couty pour le tout début de l’après midi. Franck Daffos et Didier Hericart de Thury escortent donc, seuls, en l’absence de Michel Vallet, le fait est notable, la Gendarmerie nationale au Pech d’En Couty. Tout le secteur est bloqué par la Gendarmerie nationale.
2011 – 24 juillet // 22 heures – Dans la soirée, la Gendarmerie nationale de Quillan prend la déposition de Didier Hericart de Thury et de Franck Daffos – chacun séparément. Durant toute la journée, alors que c’est Michel Vallet-Jarnac qui est le seul et unique responsable d’un tel cirque médiatique, celui-ci continue de rester totalement introuvable !
2011 – 29 juillet // Franck Daffos passe au journal de 20h de TF1 où il est interviewé pour expliquer l’affaire et donner sa version des faits.
2011 – 31 août // Comme il l’a déjà fait le 24 juillet 2011 sur Internet, où le scandale a été absolument énorme à cause de lui, Michel Vallet récidive encore, pour la seconde fois sur Internet, en ameutant à nouveau la population, (le tragique épisode du 24 juillet ne lui a toujours pas servi de leçon), où il fait un chantage public et « menace de se suicider » (sic). Cette fois-ci, Franck Daffos très inquiet de l’état mental de Jarnac-Vallet, prévient immédiatement la Gendarmerie nationale qui arrivera illico sur les lieux et découvrira Michel Vallet-Jarnac en partance, avec son épouse, pour… un voyage d’agrément de 10 jours de vacances sur l’île de Madère… ! – Un PV de Gendarmerie sera dressé pour l’occasion. – (Voir « Affaires Classées » # 5).
2011 – 6 septembre / Six jours plus tard, alors qu’il se trouve alors sur l’île de Madère, Jarnac soudoie un homme de main qui menace de mort Franck Daffos, de façon anonyme, au téléphone. Cependant, les deux hommes se feront très rapidement démasquer par la suite par la Gendarmerie nationale, l’homme de main corrompu par Vallet-Jarnac ayant oublié dans la précipitation de cacher son numéro de téléphone lors de son premier appel d’insultes (celui-ci s’affichera de façon visible sur le portable de Franck Daffos qui mémorisera l’appel). Suite à ce premier appel, il y aura en tout par la suite une vingtaine d’appels anonymes et de menaces de mort commanditées par Vallet en 48 heures. Une enquête de Gendarmerie (Toulouse et Cabestany 66 330), sera diligentée immédiatement pour confondre le commanditaire de cette opération montée de belle manière, à la façon des Pieds nickelés… – Faut bien reconnaître que Vallet-Jarnac n’a rien d’un tueur à gages… – (Voir Affaires Classées # 2).
2014 – 30 novembre // Rédaction et dépôt officiel du Testament de Didier Hericart de Thury, au bénéfice de sa famille et de Franck Daffos. Concernant le travail effectué et la protection future des écrits de Didier Hericart de Thury, il y est notamment stipulé qu’est légué à Franck Daffos : « tableaux, cadres et divers objets de collection d’antiquités et archives personnelles relatives à toutes recherches archéologiques concernant l’affaire de Rennes-le-Château ». Suite à la rédaction de ce Testament, Didier Hericart de Thury demandera à Franck Daffos et aux éditions Arqa de veiller sur ses intérêts dans le futur concernant son œuvre et ses écrits sur l’Affaire de Rennes-le-Château.
2015 // Décès de Didier Hericart de Thury. Franck Daffos écrira par la suite dans « Le Trésor qui rend fou » : « Malheureusement l’état de santé de notre cher vicomte empira de nouveau fin 2014, et il nous quitta définitivement le 30 mai 2015. Nous sommes un certain nombre à penser depuis que plus que le cancer, ce fut l’indigne trahison de Michel Vallet, auquel il avait accordé toute sa confiance et révélé l’intégralité de ses découvertes, qui l’a inexorablement terrassé. Didier Hericart de Thury était un modèle de loyauté, d’affabilité, de bonne éducation et de gentillesse, qui plus est dénué de tout ego. Tous ceux qui l’ont connu peuvent en témoigner. Il avait tout donné sans jamais rien demander en retour, et il fallait vraiment être de la pire race des moins que rien pour aussi bassement trahir sa confiance. »
2016 – 1er juin // Sortie le 1er juin 2016 du livre de Franck Daffos : « Le trésor qui rend fou – Ma vérité sur le Pech d’En Couty ». Livre qui dévoile la trahison de Vallet et toutes les coulisses de l’affaire du Pech d’En Couty – véritable polar aux multiples facettes. A la sortie de ce livre…, Vallet-Jarnac se répand partout où il le peut, dans les deux Rennes et les environs, en criant haro sur le baudet et en menaçant de faire un procès qui finalement ne viendra jamais.
2016 – 1er décembre // Michel Vallet poste, cinq ans après les faits, sur sa chaîne Youtube une vidéo absolument délirante, surtout pour les chercheurs venus après lui sur le Pech d’En Couty où, sans se gêner, il n’apparaît absolument pas comme étant le seul et unique divulgateur du site du Pech d’En Couty qu’il présente de façon légère et ironique à la manière d’un canular, alors qu’il est lui-même le moteur principal de cette dérive. Dans ce montage fait par lui, on n’est jamais mieux servi que par soi-même, à la manière d’un documentaire très décalé, Vallet prodigue aux uns et aux autres, semblant planer au-dessus des cieux, conseils et allusions… – Faut quand même oser une telle démonstration en public, sans penser à un jugement de toute la communauté des chercheurs en retour devant un tel sketch indéfendable ! – avec bien sûr, comme toujours avec Vallet, une faute d’orthographe à la clef, c’est sa marque de fabrique, dans son texte de post-production, voir à 7’13. – (Voir Affaire classées # 5).
2020 // Sans l’accord de la famille, ni des ayant-droits, dont il faut impérativement l’aval nécessaire et surtout légal, c’est-à-dire écrit, Michel Vallet-Jarnac publie sur Internet des enregistrements audio de Didier Hericart de Thury avec qui, sur les quatre dernières années de sa vie, il était fâché à mort, de la pire des manières (Didier Hericart de Thury n’ayant jamais accepté de son vivant l’ignoble trahison de Michel Vallet du 24 juillet 2011). Certains chercheurs spécialistes de l’Affaire traitent alors Michel Vallet de « nécrophage ». Publication illégale dans le même temps d’un duplicata de document d’archives appartenant à Didier Hericart de Thury dont le document original de base a déjà été publié – quatre ans auparavant – en page 111 du livre de Franck Daffos, « Le Trésor qui rend fou », sans qu’il ne soit aucunement fait mention par Michel Vallet-Jarnac de cette source inédite et bien antérieure de plusieurs années, ni des autres publications antécédentes déjà éditées en 2016. La dissimulation et la forfaiture sont patentes et mettent en évidence la contrefaçon de Michel Vallet au détriment des ayant-droits, de Franck Daffos et des éditions Arqa, ainsi que l’appropriation illégale par Michel Vallet des droits légitimes des héritiers sur l’œuvre de Didier Hericart de Thury, la famille de Didier Hericart de Thury, Franck Daffos et les éditions Arqa. (Cf. Utilisation abusive et frauduleuse des Droits patrimoniaux, utilisation abusive et frauduleuse des Droits moraux : Droit de paternité, Droit de divulgation, Droit au respect de l’Œuvre – article L. 121-2).
2020 – 17 mars // Sortie sur le WebZine d’Arqa, les Chroniques de Mars, des « Affaires Classées – Vallet-Jarnac », Chapitres # 1 à 9.
Quand Michel Vallet pille 5 ans après sa mort les découvertes de Didier Hericart de Thury
UN DOSSIER BEAUCOUP PLUS FORT QU’UN POLAR !
QUAND LA RÉALITÉ REJOINT LA FICTION
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Après donc des années d’atermoiements, et certainement pressé par une famille à qui il avait toujours menti en se présentant comme le « cerveau de l’affaire », sa décision était enfin prise : Michel Vallet allait sortir un livre en s’appropriant nos découvertes. Mais dans sa quête perpétuelle de soutiens, il avait souvent trop parlé, et certains s’en émurent au point de nous alerter…
– UN TEXTE de FRANCK DAFFOS –
Il fut alors immédiatement décidé de lui couper définitivement l’herbe sous le pied en publiant, le 13 juillet 2011, un livre, « L’Or de Rennes – Quand Poussin et Teniers donnent la clef de Rennes-le-Château » dans lequel nous révélions plusieurs avancées fondamentales et incontournables de l’énigme : la découverte du Teniers, le tableau mythique recherché en vain par deux générations de chercheurs, ainsi que la liste, en France, des six chemins de croix du même modèle que celui de Rennes-le-Château !
De colère, Vallet sortit en toute hâte un opuscule photocopié sur le statuaire Giscard dans lequel, sans notre autorisation bien entendu, il dévoilait l’intégralité du catalogue Giscard (1) ainsi qu’une majorité (85%) de photographies de chemins de croix nous appartenant ! Il venait tout simplement de photocopier, dans l’urgence, un chapitre de son livre rendu à présent impubliable. Pour ne pas qu’il puisse se faire ainsi de l’argent facile avec ce fascicule, j’ai communiqué mon catalogue Giscard à Jean-Pierre Garcia pour qu’il le mette immédiatement en ligne sur son site afin que tous puissent en profiter gratuitement.
Sentant que tout était perdu pour lui, dans une crise d’excitation incontrôlée et de quasi démence, il dévoila donc tout sur Internet dans la matinée du dimanche 24 juillet 2011, par une communication irresponsable, qui plus est, truffée d’erreurs.
Le lendemain, il accédait enfin à son rêve le plus cher : tenir le devant de la scène !
Devant un parterre de traîne-savates, de paumés et de jaloux, son public préféré, Vallet fut un jour, un seul, “le roi” de Rennes-le-Château et de Rennes-les-Bains… Enivré de son éphémère notoriété, il navigua incessamment de l’un à l’autre village, passant sa journée à manger avec les uns et discourir avec les autres. Il savourait ses trente deniers.
Tous le courtisaient, attendant d’alléchantes révélations. Hélas, il n’avait plus rien à dire… !
Sa haine lui commanda bientôt de créer un blog sur Internet où suivant son humeur coutumière de saule pleureur il se posa en victime, ouvrant les commentaires à ses lecteurs pour nous insulter.
Puis ce furent de la part de Michel Vallet ultimatums à Didier sur son répondeur à Carcassonne. Un enregistrement magnétique en a bien sûr été fait et déposé où il fallait.
(à suivre…)
Franck DAFFOS – ARQA éditions © Les Chroniques de Mars – 2020 – RLC // Enquêtes, investigations, scoops, documents inédits…. – Le TRÉSOR qui rend FOU – « Les bonnes feuilles » – (extrait du livre, page 40).
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1 – Ce catalogue unique, dont absolument aucun autre exemplaire n’est connu, avait été découvert par Didier qui me l’avait offert ; je l’avais ensuite fait restaurer. Il provenait de chez un sculpteur tarnais, ami de Giscard. Vallet l’avait il y a longtemps emprunté à Didier et l’avait photocopié sans sa permission…
VOIR AUSSI L’ARTICLE d’ARONNAX //
Quand un commandant de Police et un écrivain de polars à succès se livre…
• Les CHRONIQUES de MARS – « AFFAIRES CLASSÉES » // Docteur Vallet & Mister J’arnaque # 1
MICHEL VALLET 2020 – LE DOSSIER « AFFAIRES CLASSÉES » 2.0
• I – François LANGE – Quand Aronnax recadre Michel Vallet
• II – Franck DAFFOS – DOCUMENTS INÉDITS – (SCOOP – Rapport de Police ) – Quand Michel Vallet menace de mort son entourage
• III – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet pille 5 ans après sa mort les découvertes de Didier Hericart de Thury
• IV – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet tente de se suicider sur l’île de Madère…
• V – Franck DAFFOS – DOCUMENTS INÉDITS – Quand Michel Vallet est confronté à un constat d’huissier qui le met en cause
• VI – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet fait de la spéléologie au Pech d’En Couty
• VII – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet publie « la photo » de l’abbé Boudet
• VIII – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet dérobe à Didier Hericart de Thury « Le Catalogue Giscard » à des fins mercantiles
• IX – Thierry E. GARNIER – Épilogue
Une nouvelle collection chez Arqa // Enquêtes, investigations, scoops, documents inédits…