Un DOSSIER à découvrir ce mois-ci sur le SITE DES ÉDITIONS ARQA – Partie V

V – Quand Michel Vallet fait de la « spéléologie » au Pech d’En Couty

« Rennes-le-Château – c’est un asile à ciel ouvert… »

Jean-Luc Robin

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« Le Trésor qui rend fou », le best seller de Franck Daffos publié chez Arqa vient de passer en ce début d’année le cap des 2000 exemplaires vendus, ce qui le place parmi les « Tops » des meilleures ventes de livres pour nos éditions. (Voir également sa vidéo sur Youtube, ARSÈNE LUPIN – GENTLEMAN CAMBRIOLÉ, pour 2400 vues). Michel Vallet alias « Pierre Jarnac » figure en très bonne place dans cet ouvrage – et pour tout dire à la place centrale de ce livre implacable où pour une fois toutes les vérités sont bonnes à dire… Un livre sérieux et documenté qui, mieux qu’un bon polar, permet de passer un très bon moment dans ce confinement qui s’éternise ! Pour fêter cet anniversaire nous avons décidé d’un commun accord avec l’auteur de mettre en ligne sur Internet ce que l’on nomme habituellement « les bonnes feuilles » de cet ouvrage de manière à mieux faire connaître des pans entiers d’une personnalité qui le nécessite… En effet, il est peu de dire que le chercheur Michel Vallet semble parfois souffrir, par à-coups, de dédoublement de la personnalité.

Parfois reconnu à juste raison comme un chercheur historique pour ce qui concerne l’affaire de Rennes-le-Château – dans nombre de cas de figure, on s’aperçoit aussi que le personnage est également capable du pire, c’est-à-dire de l’accaparement de biens d’autrui, sans leur consentement, autrement dit de « vols », au sens légal du terme (Article L. 121-1), quand il ne s’agit pas de menaces de mort, nous aurons à en reparler. Ce mois-ci, on retrouve en effet plusieurs documents dont nous sommes les légitimes propriétaires selon les copyrights en vigueur (Arqa éditions ©), volés sur notre site et mis sans vergogne sur la page Facebook de Michel Vallet ainsi que sur son site Internet – sans notre accord – hors contexte bien entendu, et avec le dénigrement imbécile qui va avec de la part de cet auteur inconséquent comme nous l’ont signalé très amicalement plusieurs internautes. On reconnait bien là le personnage ambivalent et ambigu que nous connaissons tous. Nous aurions pu évidemment glisser (comme nous le faisons d’habitude) et en rester là, si ce n’est que Michel Vallet est coutumier du fait. Il faut savoir y mettre un terme. En ce qui concerne également les documents publiés le 23 mars 2020 sur le Net par Michel Vallet, relatifs à notre auteur Didier Hericart de Thury, (voir L’Or de Rennes co-écrit avec Franck Daffos, chez Arqa), dont le légataire universel est Franck Daffos, (légitimé par acte notarié selon un document testamentaire dûment signé de la main de Didier Hericart de Thury, peu avant sa mort le 30 mai 2015), il semble inutile de dire, qu’en la matière, la famille de Didier Hericart de Thury (en tant qu’ayants-droit légaux sur la mémoire de Didier), ainsi que Franck Daffos (en tant qu’héritier du travail de chercheur de cet auteur) sont à consulter de façon évidente, en préalable, pour toute exploitation de toute sorte, commerciale ou autre, qui concerne de près ou de loin cet héritage.

Thierry E. Garnier – Les Chroniques de Mars © « Affaires classées »Mars 2020.


Dans le milieu de l’édition des ouvrages consacrés à Rennes-le-Château, Franck DAFFOS est considéré comme un poids lourd et sans aucun doute comme un des meilleurs spécialistes du Mystère. Tous ses ouvrages sont d’ailleurs des best-sellers ce qui éveille notamment la convoitise et la jalousie de beaucoup. De nombreuses amitiés mais aussi inimitiés largement entretenues par un caractère haut en couleur et une faconde au vocabulaire abrasif en font une des personnalités les plus marquantes de notre période moderne pour ce qui concerne l’affaire. Que l’on aime ou que l’on n’aime pas Franck Daffos, une chose est sûre les avis sont tranchés sur cette personnalité attachante aux foucades redoutables.

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Franck DAFFOS a développé avec son ami Didier Hericart de THURY aux éditions Arqa, dans la collection « Les Chroniques de Rennes-le-Château », 6 TOMES déjà parus, une véritable recherche consacrée à ce mystère si impénétrable. Chacun des ouvrages publiés correspond à une analyse fouillée d’une thématique abordée et resitue à chaque fois « L’Affaire de Rennes » dans un contexte historique ancien ou dans une actualité récente – dont il est parfois l’acteur principal…

L’AFFAIRE des CARNETS – Réponse à Octonovo – Nouvelle édition – Texte intégral

Le SECRET dérobé

Le PUZZLE reconstitué

L’OR de RENNES – Quand Poussin et Teniers…

Le TRÉSOR qui rend FOU – Ma vérité sur le Pech d’En Couty

ARSÈNE LUPIN – Gentleman cambriolé

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Qu’est ce qu’on fait, on se risque sur le bizarre ?

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« – Et c’est pour ça que je me permets d’intimer l’ordre à certains salisseurs de mémoire qu’ils feraient mieux de fermer leur claque merde ! »

Les Tontons flingueurs

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« La contre-information ne devient effectivement efficace que quand elle devient acte de résistance », c’est avec cette belle phrase de Gilles Deleuze que nous entendons débuter notre éditorial de cette semaine pour bien faire comprendre à tous qu’il existe bien dans le dossier « Jarnac/Vallet » deux poids et deux mesures et que nos amis chercheurs de Rennes-le-Château s’intéressant au mystère, (qui n’ont pas encore compris la portée de cette citation), vont être amenés à la découvrir sous peu. D’avoir des aides et des éloges, des critiques aussi, nous renforcent sans cesse dans notre mission d’information, c’est pour nous le marqueur essentiel qui démontre et confirme chaque jour que nous sommes sur la bonne voie. Ajoutons aussi, comme signalé lors de notre chapitre premier des «affaires classées» #1, qu’il s’agit bien ici, sur cette page Web, de réponses aux attaques incessantes de Vallet/Jarnac et strictement rien d’autre – n’en déplaise à M. Attard que l’on découvre aujourd’hui, subitement, en avocat de la cause Jarnac… – pourquoi pas, mais il va falloir assumer jusqu’au bout.

La liberté d’expression a une limite : « la diffamation », et sur ce point quand Jarnac/Vallet outrepasse la Loi, se sert sans vergogne d’enregistrements dont il n’a pas la propriété intellectuelle au mépris des ayants-droit, expose des photographies qui nous appartiennent sur son site Internet sans notre accord, ou traite de noms d’oiseaux les auteurs avec lesquels nous travaillons, c’est bien de la diffamation et du vol, que les choses soient bien claires pour tous, y compris pour Attard qui semble par confusion volontaire mélanger des querelles insignifiantes avec les égarements de Vallet/Jarnac qui concernent eux le Code Pénal. Quand nous présentons un acte d’Huissier de Justice ou un rapport de Gendarmerie sur notre site Internet c’est de l’information, n’en déplaise à l’avocat autoproclamé Attard qui se risque lui sur le bizarre…, la différence au plan juridique est de belle taille comme nous le verrons bientôt, mais sans doute ce dernier mettra prochainement en évidence ses talents cachés de défenseur improvisé devant un véritable tribunal. Donc, nous continuons d’archiver tous ces documents pour élargir nos investigations et creuser notre sillon à la manière des tontons flingueurs.

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Deux poids, deux mesures, disions-nous. A l’origine, quand Vallet/Jarnac s’empare de la voix d’un mort, Didier Hericart de Thury en l’occurrence, (personnalité d’exception avec qui Vallet était fâché à mort – un enregistrement audio en fait foi) et que 5 ans après son décès Jarnac met la voix d’un mort sur Internet, au vu et au su de tous, sans autorisation légale, sans attestation écrite signée de quiconque, et ce CONTRE l’avis de la famille, du décédé lui-même – (qui de son vivant a pris toutes les précautions d’usage devant notaire et huissier pour ne pas se faire dépouiller de la sorte par de tels croque-morts analphabètes…), cela fait contre l’avis des ayants-droit, de Franck Daffos légataire légitime, à ce moment là, on n’entend pas beaucoup M. Attard et ses compères pétitionner, n’est-ce pas ? Pour quelles raisons ces indignes ne le font-ils pas ? Est-ce un problème d’ignorance crasse, de servilité, de veulerie, ou les trois à la fois ?

Je suggère également à M. Attard, avec courage, qu’il nomme exactement les personnes et les sociétés qu’il met en cause de façon larvée et occultée dans sa diatribe puérile de manière à ce qu’il aille vraiment au bout de sa démarche d’homme, et ne reste pas stationné ridiculement en plein milieu du gué, c’est inutile, contre-productif et même pour tout dire assez mesquin. Faire les choses à moitié dénote toujours de la part de celui qui entreprend ses actions d’une forme d’ambiguïté singulière pour ne pas dire plus. Autre question, pourquoi M. Attard est il hostile a ce que nous révélions la vérité alors que nos lecteurs désirent savoir ? Bien sûr, en réalité, Attard n’a que peu d’intérêt pour cette pétition, comme tous ceux qui en font la promotion, il essaie tout simplement lâchement de régler ses propres comptes à bonne distance…, en manipulant autrui. Attard est effectivement de mèche avec Jarnac qui n’a jamais manqué de porteurs d’eau à son niveau, mais a-t-il conscience de ce qu’il fait vraiment s’il est obligé un jour de fournir les adresses IP de ces quelques dizaines de pétitionnaires fantoches ? En outre, il s’agit bien d’un vrai fiasco, cent signatures c’est quand même bien peu pour ce moignon de pétition aux relents vichystes – décidément à force de trop fréquenter Vallet, Attard déteint.

En Démocratie, la liberté d’expression c’est de pouvoir informer les gens, (sans tomber sous le coup de la Loi), en apportant ses arguments légitimes pour un débat serein, si possible, et nécessaire pour tous. Qui aujourd’hui tente de pourrir ce débat en allumant des contre-feux à base de jeux de mots méprisants et en attaquant les personnes ? La réponse est simple : Michel Vallet/Jarnac. Sur notre site on ne trouvera ni insultes ni attaques ad personam. Les questions que nous soulevons sont parfaitement légitimes, elles sont formulées avec justesse n’en déplaise à l’avocat improvisé de Jarnac, d’ailleurs pourquoi ce dernier ne se défend-t-il pas lui-même en répondant à nos questions et a toujours besoin de factotums insignifiants qui exécutent pour lui ses basses besognes – comme ce complice de Vallet qui téléphona de façon anonyme et menaça de mort Franck Daffos ?

Il est bien sûr qu’aujourd’hui s’enfonçant toujours un peu plus, lui-même et ses complices, comme sœur Anne nous ne voyons toujours rien venir… Michel Vallet, une fois encore, et nous l’avions anticipé par écrit il y a plus d’un mois, tente une fois de plus de se faire passer pour « une pauvre victime » c’était couru d’avance ! Mais où sont les réponses de Vallet/Jarnac à nos questions… ? Toujours rien de concret, sinon des insultes indignes et à côté de la plaque. Où sont les documents juridiques signés de la main de Didier Hericart de Thury qui permettent à Vallet de s’emparer de recherches qui ne sont pas les siennes ? Toujours pas de réponses. Et s’il se trouve de « supposés chercheurs » encore capables de défendre de telles bassesses c’est bien qu’ils sont la preuve vivante de l’inversion permanente que nous vivons actuellement. Notre site et nos pages web, composent un endroit d’indépendance, SANS AUCUNE PUBLICITÉ, et bien peu peuvent en dire autant, ce qui démontre notre totale liberté de parole et de ton. N’en déplaise aux importuns, nous n’avons de comptes à rendre qu’à nos lecteurs. De la sorte, M. le censeur Attard, vous et vos petits amis, si vous êtes de passage ici et que notre liberté d’expression vous dérange, surtout passez votre chemin, c’est que nous n’avons rien à faire ensemble, et vous avez toujours la possibilité d’émigrer sur d’autres pages Web. S’il y a bien une chose que nous ne sommes pas dans notre Webzine c’est « politiquement correct », sachez-le, car la dictature actuelle de la bien-pensance amène naturellement les loups à hurler avec les loups. Attard, vous êtes l’un d’entre eux quand les autres sortent du bois, ni plus ni moins et vous n’avez aucune légitimité à vous prétendre un mâle alpha, loin de là… C’est justement notre ton et notre façon d’avancer que nos lecteurs et nos soutiens – et ils sont nombreux au regard des mails que nous recevons – apprécient dans notre travail sur le Net. C’est parce que nous maîtrisons nos dossiers que nous pouvons aller au fond des choses. Dans ce monde où l’inversion est permanente, où le bien devient le mal et le mal devient le bien, il sera à terme fort difficile à Michel Vallet de faire prendre à nos lecteurs des vessies pour des lanternes car l’étau se resserre.

Thierry E. Garnier – Les Chroniques de Mars © « Affaires classées » – Mai 2020.


Scandale dans le Razès – Une affaire d’amitié trahie

 

« Il est facile de blablater et tirer des plans sur la comète,

c’est autre chose que de se confronter à la réalité du terrain. »

Vallet-Jarnac  – « Cf. Affaires Classées – Vallet-Jarnac », # 1.

 

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L’affaire du Pech d’En Couty est une affaire assez simple à la base dans sa formulation chronologique comme nous l’avons vu en détails, même si des pans entiers n’ont pas encore été dévoilés, mais elle a été volontairement rendue au fil du temps d’une complexité ardue par Michel Vallet lui-même, qui est toujours aujourd’hui le seul à avoir un intérêt très particulier à la rendre fort obscure. Nous allons comprendre pourquoi. Quiconque interrogera aujourd’hui Vallet sur le Pech d’En Couty sera bien mal en peine de comprendre la position réelle de celui-ci sur le sujet, de façon certaine et non équivoque, et de discerner quelle réponse est la bonne le concernant, lui, personnellement, et personne d’autre, quant à son implication véritable au Pech d’En Couty, de 2000 à 2011, soit durant plus d’une décennie !

En effet, la complexité vient du fait que jamais Vallet n’a répondu publiquement à la question que nous allons poser aujourd’hui, ni endossé aucune responsabilité sur les à-côtés de l’histoire, tant les semblants d’explications poussives et emberlificotées de sa part, en public ou en privé, peuvent osciller inconsidérément entre différentes versions qui vont de :

A/ Oui ! Je crois dur comme fer à cette affaire, et j’en suis le divulgateur, c’est moi et moi seul qui ai alerté l’opinion publique le 24 juillet 2011 – Tout a été découvert grâce à moi et j’en suis le principal acteur. Voir ci-dessous son texte du 24 juillet 2011, il est édifiant sur le sujet quant à la croyance indestructible qu’a Vallet-Jarnac de ce haut-lieu précisément comme étant, sans aucune contestation possible, un dépôt trésoraire majeur et incontournable qu’il aurait découvert !

B/ Non ! Je ne crois pas du tout à cette affaire, j’en suis à peine responsable, je ne me rappelle plus du tout être allé là bas, d’ailleurs je poste sur ma chaîne Youtube un film sur le Pech d’En Couty qui me dédouane de tout et surtout qui ne mentionne strictement rien de mon implication personnelle dans la mise en ligne sur Internet le 24 juillet 2011, concernant ma responsabilité dans cette affaire – affaire dont je suis à ce jour le seul et unique divulgateur. (Plusieurs commentaires pertinents sous la vidéo, de quelques chercheurs de terrain notamment, démontrent bien qu’ils ne sont aucunement dupes de la supercherie incroyable de Vallet).

C/ Dans le style  du syndrome Gilles de la Tourette : Je ne m’en souviens plus vraiment bien, je ne sais pas exactement, je ne me rappelle plus de rien…

 

*   *   *

La position de Vallet, toujours entre deux, ou entre trois, toujours changeante, reste à ce jour totalement inconnue de tous tant elle est totalement incompréhensible et toujours informulée comme on le constate aisément avec les exemples données ci-dessus.  Et tous les chercheurs attendent véritablement des explications très claires de la part de Vallet sur l’affaire du Pech d’En Couty et sur sa personne totalement engagée au premier plan dans cet imbroglio.

Alors… :

… ou Vallet est le responsable et le coupable de la révélation du 24 juillet 2011…

et qu’il assume EXACTEMENT ce qu’il a fait quant à la croyance qu’il s’agit bien là d’un lieu trésoraire à nul autre pareil.

… ou alors il a joué un rôle subalterne dans cette affaire, et d’ailleurs il ne croit pas du tout que le trésor des deux Rennes soit bien caché là bas, et qu’il le dise clairement à tous, auquel cas on constatera qu’il aura fouillé durant plus d’une décennie, 11 années exactement (!), à l’insu incroyable de tous les chercheurs de terrain, alors qu’il se faisait passer avec duplicité auprès de la communauté des chercheurs pour un « homme d’archives »… ; et aura fouillé – physiquement – de fond en comble, disons-nous, durant onze années, un lieu – le Pech d’En Couty – auquel il n’accorde finalement aucun crédit, ce qui dévoile pour le moins, on en conviendra, une certaine forme de schizophrénie. Dans tous les cas, Jarnac-Vallet, ne peut pas à la fois se parer des plumes du paon le 24 juillet 2011, en se poussant du coude, puis ensuite considérer que rien n’a été trouvé au Pech d’En Couty et qu’il s’agit, en fait, d’un canular monté par d’autres que lui-même. A un moment donné il faudra bien que l’on évoque quand même, en premier lieu, la part de responsabilité exacte et indéniable de Michel Vallet dans cette affaire !

Devant tant d’égarements intellectuels, de tergiversations physiques et morales, il serait temps de démêler un peu cette histoire qui, comme nous l’indiquions plus haut, était à la base simpliste puisqu’elle voyait tout simplement trois chercheurs s’intéresser à ce site précisément durant une bonne décennie – et c’est tout. Un site montagneux du Razès qui distinguait plus ou moins, selon les saisons, à plein flanc de montagne, entre les herbages hauts du sentier, dans une roche très dissimulée affleurant un trou de galerie quasi circulaire, en forme de « capuchon de moine », à peine large pour laisser pénétrer de peu un homme seul et ce, pour déboucher sur un goulot d’étranglement à moins de deux mètres de l’entrée qui permettait ensuite de deviner une continuité plus profonde, impraticable et inexplorée.

Ce trio, donc, était composé de Didier Hericart de Thury, de Franck Daffos et de Michel Vallet. Chacun ayant une tâche bien spécifique. Parmi les trois hommes, (Didier Hericart de Thury en éclaireur), qui œuvrèrent sur le site, le balayant largement durant une décennie, de 2000 à 2011, seul Vallet fut, à terme, le « spéléologue » attitré apte à entrer seul dans la galerie du Pech d’En Couty, nous mettons le terme entre guillemets, puisque jamais de toute sa vie, auparavant, Vallet n’avait fait de prospection de ce genre… Et qu’en l’occurrence il s’introduisit dans la galerie impraticable sur une distance… d’un mètre cinquante ! On mesure l’exploit spéléologique de « l’aventurier » ! Michel Siffre en aurait été impressionné.

Il est donc le seul qui pénétra physiquement dans (l’entrée) de la galerie.

Il faut pouvoir imaginer Vallet, équipé de pied en cape aux frais de Didier Hericart de Thury, le bailleur de fonds de l’expédition, en tenue de… « spéléologue amateur », jamais rompu à ce type d’exercice de toute sa vie, à l’âge de 61 ans, pénétrer péniblement après environ une heure de marche délicate en pleine moyenne montagne, avec deux poses de repos, et compte tenu d’une pente parfois à près de 40 %, arrivé dans l’entrée du goulot de la galerie rocheuse pour s’immiscer péniblement à mi-corps seulement. Il faut vraiment pouvoir l’imaginer… Après avoir découvert la chatière du Pech d’En Couty, un seul des trois donc s’engouffra en rampant sur une distance de… 1,50 mètre ! Qui sait aujourd’hui parmi les chercheurs que c’est seulement Michel Vallet qui pénétra la tête la première, tenu par les pieds par Franck Daffos et Didier Hericart de Thury, sur une distance d’un mètre cinquante, en habits de spéléologue amateur ! Quelle aventure… ! – Qui sait cela ?

Voilà en quelques mots rendus ici simplement ce qui se passa vraiment au Pech d’En Couty durant onze années, (Didier Hericart de Thury en ayant été le précurseur), et sur la dernière année d’expédition. Alors chers lecteurs et abonnés aux Chroniques de Mars, vous allez pouvoir maintenant conclure à notre place ? Selon vous…, quel est le degré d’implication du « spéléologue » Vallet-Jarnac dans cette affaire ?

Et quel est son degré de croyance personnelle en cette histoire en :

A – en 2011 ?

B – en 2020 ?

Une enquête des Chroniques de Mars © – Collectif – juin 2020.

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1 – Michel Vallet présente ainsi le film de 8 minutes qu’il propose sur sa chaîne Youtube (avec bien entendu comme toujours avec l’hypocrite et incorrigible donneur de leçons les fautes d’orthographe qui s’imposent… ! Voir plus bas) : « Depuis 2011, l’affaire du « Pech d’En Couty » a suscité des vocations. Plusieurs équipes de chercheurs se sont déjà succédées [succédé – K2M – voir lien ici ] sur les lieux. Certains ont joué d’astuces, d’autres, moins inventifs, n’ont même pas franchi le seuil. En tout cas, pour tous, le « Goliath » s’est révélé un redoutable cerbère. » Mais pas un seul mot sur son implication personnelle dans cette affaire dans le cadre de cette présentation ! Faut vraiment pas manquer d’air.


Pech d’en Couty – Communication de Michel VALLET

lundi 25 juillet 2011

MICHEL VALLET (PIERRE JARNAC) RÉVÈLE LE SECRET DE RENNES-LE-CHÂTEAU


Le secret de Rennes

 

(Nota // à fin d’édification et d’éducation les fautes d’orthographe qui parsèment ad nauseum

 

ce texte sont présentées corrigées dans la « littérature » de Jarnac/Vallet – K2M)

 

En raison de certaines circonstances graves et à l’importante campagne de calomnies et de déstabilisation dirigée contre moi, j’ai pris le parti de livrer tel quel la localisation dont je dispose. Libre à chacun de me croire ou non. C’est le résultat d’un travail commun, assidu, constant, de sept années pleines avec Didier Héricart de Thury.

Désormais, cette affaire n’a plus d’intérêt pour moi, gâchée par la veulerie, l’esprit de domination et l’égocentrisme de Franck Daffos. Celui-ci pour me discréditer n’a aucune limite dans le mensonge, la suffisance et la prétention. Depuis juin 2007, date à laquelle je lui ai fait rencontrer Héricart de Thury, il n’a eu de cesse d’effectuer un travail de sape à mon égard, faisant tout pour minimiser ou nier mon rôle dans les recherches déjà effectuées (de 2000 à 2008), et, qui plus est, de me faire passer pour un parasite de tous les instants.

Voici donc le point qu’il convient de retrouver pour accéder à cet endroit désigné dans les tableaux de Poussin et Téniers et grâce à la compréhension du livre de l’abbé Boudet. L’épitaphe de la marquise de Blanchefort amenant à signifier une altitude par rapport à une montagne.

En fait de montagne, il s’agit d’une colline, le pic d’En couty, face au hameau des Clamencis, sur la commune de Sougraigne. Il y a une allusion très nette à cet endroit dans le tableau de Téniers, où l’on voit un nain, chevauchant un lion, brandissant un couteau (coutil), dans un état de fébrilité extrême, visant de son regard, l’œil de la montagne, sur le socle en pierre, à côté de saint Antoine, qui n’est plus tenté, le regardant étonné.

Si vous souhaitez retrouver le point indiqué, (bien qu’il y ait un parcours plus long par le chemin qui conduit aux sources de la Sals) abordez cette montagne depuis le pont où coule la Sals, sur la route de Fourtou. Prendre en compte l’arête à main droite, celle constituée de roches naturelles. Longez cette arête jusqu’à parvenir environ à mi parcours de la montagne, entre le début du parcours et le sommet de cette colline (Un peu avant, vous rencontrerez un chemin forestier transversale [Ah ! sacré Vallet ! avec ses fautes d’orthographe inénarrables à toutes les lignes et ses leçons à autrui, toujours aussi comique… – attention le festival de fautes commence… (voir « Affaires classées # 3 & 4)], dès lors rapprochez-vous de l’arête à main droite). Une vingtaine de mètres plus haut, vous serez à l’altitude 617 m, entre 539 et 674 m), cherchez un orifice dans une de ces masses rocheuses. C’est une ouverture « à ciel ouvert », face à vous, étroite (dont la forme est identique à cette échancrure que vous voyez sur la bourse de la fresque ronde bosse de l’église de Rennes, mais inversée), permettant le passage d’un homme. Attention, ne pas s’y aventurer seul, la cavité rocheuse est en déclivité et la position de celui qui s’y engouffre est très inconfortable et ne permet pas de revenir en arrière par ses propres moyens. Cette entrée, que Boudet surnomme le Goliath (en rapport avec l’histoire mythologique de David et Goliath) creusée naturellement dans la roche par la force des eaux venant des profondeurs de la terre est voisine avec une entrée de cavité dont l’entrée est actuellement camouflée par des pierres. Cette galerie souterraine, qui est d’une certaine ampleur et profondeur, conduit sur une impasse. Ce dilemme de deux entrées, l’une séparée de l’autre de 5 m, est évoqué dans la Station IV du Chemin de Croix de Rennes-le-Château, où une est préférable à l’autre. Le véritable passage étant, en réalité, le plus étroit. Ce qui est confirmé dans la Station V, où Simon, aidant Jésus à porter sa croix, entre son pied droit dans l’orifice à considérer.

A environ 3 mètres, le conduit se rétrécie [ non « rétrécit » – Verbe du 2ème groupe – Le verbe rétrécir est transitif direct et intransitif] empêchant davantage la progression. Il y a un an et demi encore, il était possible de voir au-delà, mais une secousse sismique [pléonasme – voir ici] en a légèrement modifié la configuration. Je pouvais observer le parcours sur encore 1,50 m, dont cet angle droit, dit « coude incommode ». En fait, on est arrêté par une « impossibilité naturelle », selon un terme convenu. C’est-à-dire un enrochement rapproché rendant impossible le franchissement de ce seuil.
Extérieurement, depuis l’ouverture de cette cavité, mesurer 28 m en vous dirigeant vers l’autre arête rocheuse parallèle, mais qui n’est fait que de roches successives. Tirer votre cordeau en étant légèrement plus haut que la cavité que j’ai décrite, pour arriver à un ensemble de pierres donnant vaguement l’impression d’un dolmen. Une pierre haute, une table et, dessous, 4 petites pierres encastrées, inamovibles. C’est le dolmen si chère [Encore une faute d’orthographe qui pique les yeux ! – décidément Vallet est incorrigible, mais nous nous refusons de relire toute sa prose qui en est truffée. Nous proposons qu’Attard, le défenseur de Jarnac, prenne la tête d’une pétition pour arrêter ce massacre de la langue française !] à Boudet,  c’est le dolmen de la Piéta, enfin restitué de visu et non imaginé comme sur la toile de Rennes-les-Bains. Ce dolmen, donc, est à 618 m.

On peut aussi l’aborder en suivant le chemin forestier que l’on rencontre à mi chemin de la colline. En ce cas, on longe l’autre arête, faite de pierre [non – de « pierres »] parsemées, afin d’aborder le dolmen par sa face opposée. On sera curieux de le voir environner [Ah ben non ! Jarnac ! 0/20 ! … là on saigne des yeux… – il faut écrire « environné »] d’une pierre ressemblant au Dé et de trois autres, un peu au-dessus, rappelant les Roulers.

Ce lieu est décrit dans la Station I de Rennes-le-Château. A la base de la scène, deux lignes sont parallèles : une pleine, l’autre en pointillé. Celle pleine est interrompue par un petit triangle noir : c’est le dolmen. Au-dessus de ces 2 lignes, sous une tablette où le petit serviteur noir pose son pied, un point éclairé. Cela signifie de considérer les deux arêtes, d’aviser un dolmen (c’est ainsi qu’on les représentait dans les livre au XIXe s.). Le point éclairé veut dire que l’ouverture à explorer est à distance du dolmen. A remarquer que les deux lignes parallèles vont de part et d’autre de l’escalier. C’est la notion des 2 arêtes qui vont de la base de la colline à son sommet (le dessin se lisant de gauche à droite). Effectivement, les 2 arêtes viennent s’éteindre d’un côté comme de l’autre au sommet de la crête sommitale. Peu après ce que l’on peut considérer comme un œil s’illuminant par un soleil au zénith, visible depuis le pic de Bren, de l’autre côté des Clamencis.

Pour parler du Chemin de Croix, les autres Stations ne font que retracer la marche à suivre. Mais la 1ère Station positionne le début du parcours à 618 m, sur le pic d’En couty.

Cette cavité décrite est un passage annexe d’un labyrinthe évoqué par Boudet et la décoration de l’église de Rennes-le-Château. Au XIXe siècle, cette exploration n’a pas été possible. Ce fut aussi le cas au XVIIe siècle, lorsque furent réalisés les tableaux de Poussin et Téniers. Au XIVe siècle, encore, lorsque fut mis au point une figure géométrique, prenant en compte le menhir de Peyrolles, mais, surtout, basé sur la position du château d’Arques. Enfin, au XIe siècle, lorsqu’une première triangulation a été initiée. En réalité, de l’aveu même de Boudet, les accès de ce labyrinthe lui sont restés inconnus. Ce qui signifie qu’il y a une véritable entrée à découvrir, probablement dans la continuité de l’arête de droite, un peu plus haut ou un peu plus bas.

Ce labyrinthe serait entrecoupé par une poche d’eau, probablement un réceptacle d’eaux boueuses, créé par les eaux pluviales entraînant avec elles feuilles mortes et petits branchages. La station XI indique qu’il faut s’arrimer pour passer cet obstacle. Dans sa première partie, accessible par la véritable entrée, serait cachée [… le festival de fautes d’orthographe continue… – « caché »] ce qui y a été déposé (un dépôt très important du VIe s). Puis, il y a l’obstacle de la poche d’eau, enfin, par un dernier conduit le long duquel s’échelonne [Hou là ! … ça devient pénible toutes ces fautes, surtout  pour quelqu’un qui se prend pour un professeur d’orthographe… – « s’échelonnent »] quelques niches, on parvient à une sorte de cuvette où là, croit-on, aurait [plutôt que de « corriger » les fautes d’orthographe des autres, corrige les tiennes Jarnac ! … – « auraient »] été occis 30 malheureux (soldats sacrifiés, esclaves…), sans doute ceux qui ont participé à cet enfouissement. Or, du point décrit plus haut, après ce coude à angle droit, il y a 1,50 m. En tout, depuis l’entrée de la cavité, il y a un parcours d’environ 3 m. Ensuite, probablement un a-pic [non – « à-pic »] d’où l’on voit les morts (Station IX).

Voici le secret de Rennes. Je le répète, libre à chacun d’accorder ou non quelque valeur à mes propos. Libre à chacun d’aller se rendre compte par lui-même sur place. En tout cas, en ce qui me concerne, cette affaire est close. Que chacun agisse en conscience, désormais, en prenant ses responsabilités.

Michel Vallet

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« Voici le secret de Rennes » – Un texte de Michel Vallet

// Eh bien, oui que chacune prenne ses responsabilités et que Vallet nous confirme aujourd’hui, à nouveau en 2020 ! Ce qu’il écrivait en 2011 ! … – Ou pas ? On ne sait plus. Mais qu’il s’exprime enfin clairement sur le sujet (sans faute d’orthographe si possible ?), puisqu’il nous dit : « Voici le secret de Rennes » ! Il faudrait savoir ? La RELECTURE d’un tel document, 10 ans plus tard, à l’aune de ce que nous démontrons depuis des semaines…, à savoir le délire et l’implication solitaire et unique d’un Vallet totalement erratique et complètement perdu dans son monde…., sa divulgation loufoque et personnelle sur INTERNET de ce texte qu’il nomme lui-même « le secret de Rennes » devant tous les chercheurs – mais que tout le monde a manifestement oublié, y compris Attard…, est une preuve absolue de la forfaiture de Vallet et de son empressement constant à dresser tous azimuts des écrans de fumée pour se débarrasser d’un tel boulet – à savoir ce document incontournable signé de la main de Jarnac/Vallet. Il est vrai pour tous qu’il vaudrait mieux l’oublier ! … La vraie question est de savoir ce que pense Vallet aujourd’hui d’un tel texte ! On attend toujours ses explications… Mais viendront-elles  un jour ? Les paris sont ouverts et nos lecteurs jugeront sur pièces, avec ou sans pétition… !

Quand on lit le texte incroyable de Vallet ci-dessus on ne peut que rester pantois, les bras ballants devant tant de forfaiture quand, en plus, on s’aperçoit qu’aujourd’hui, dix ans plus tard, récupérant au passage et à son profit tout le travail de recherches de Patrick Mensior (qui remplace sur ce coup Didier Hericart de Thury, pour le travail fait par autrui…), Vallet/Jarnac effectue sans aucun souci – ni aucune autocritique – un virage à 360°, pour passer dans sa littérature du site du Pech d’En Couty, à côté de Sougraigne… à Castelnègre (sur la commune d’Alet-les-Bains), à 16 km de là, … une paille ! … Avec un numéro de claquettes dont lui seul à le secret où l’on voit apparaître sorti d’une boîte non plus l’abbé Boudet en cryptographe de la VLC indiquant sans coup férir le Pech d’En Couty…, comme en 2011…, mais Mgr de la Cropte de Chantérac en gardien du trésor, en 2020… !

De qui se moque-t-on ? Courage fuyons… – Les chercheurs ne sont pas dupes. Mais comme dirait Vallet une fois encore : « Libre à chacun d’aller se rendre compte à Castelnègre par lui-même sur place. En tout cas, en ce qui me concerne, cette affaire est close. Que chacun agisse en conscience, désormais, en prenant ses responsabilités ».


UN DOSSIER BEAUCOUP PLUS FORT QU’UN POLAR !

QUAND LA RÉALITÉ REJOINT LA FICTION

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Le trou 618 à présent localisé, se posa vite le problème de son accessibilité et de son exploration. Ses dimensions trop étroites ne permettant aucune intrusion physique, nous tentâmes rapidement d’y introduire une caméra, persuadés d’arriver bientôt à avoir des images de la salle au trésor…

(…)

– UN TEXTE de FRANCK DAFFOS –

Malgré l’achat de matériel technique sophistiqué, destiné à la surveillance interne de canalisations, et permettant l’enregistrement d’images, c’est par un vulgaire bricolage maison, une simple webcam reliée à un ordinateur portable par une série de rallonges USB, le tout fixé à un long furet (6 mètres) de débouchage, pour pouvoir la guider dans le boyau souterrain, que nous parvînmes à nos fins quelques semaines plus tard. Le problème de l’éclairage interne avait été prestement résolu par l’ajout contre la caméra d’une forte ampoule de 12 v., le tout inséré dans une bouteille plastique découpée faisant office de carénage de protection, l’alimentation en courant étant assuré par une petite batterie de moto.

Un jour donc, à force de tentatives, Vallet enfourné tête en avant, le corps quasiment en entier dans le conduit pour guider la caméra au moyen du furet, Didier arc-bouté à l’extérieur du trou, le retenant, et moi observant et enregistrant sur l’ordinateur ce que filmait la caméra, nous avons pensé arriver au bout, conformément à tout ce que nous avions appris dans le Boudet, puisque tout à coup le conduit de pierres disparut à l’écran pour brusquement faire place à un écran noir. Nous ne pûmes en savoir davantage, la chute soudaine de la caméra hors du conduit ayant débranché une rallonge USB, nous n’avions plus d’image sur l’ordinateur.

Pour nous une belle avancée, et la confirmation de notre thèse, puisqu’il apparaissait évident à présent que le trou 618, même s’il était totalement impraticable par un humain, débouchait bien dans les entrailles du Pech d’en Couty.

À la réflexion, tout cela nous paraissait empli de bon sens, ce conduit n’ayant pu qu’être creusé dans la montagne par une violente résurgence d’eau venant de la Source Salée sise en contre-haut, et qui, serpentant sous terre en fonction des roches rencontrées, contournait les dures et forait les tendres.

Mais ce qui pour nous n’était qu’un épisode supplémentaire dans nos recherches prit une toute autre dimension dans l’esprit étroit et fragile du compagnon d’aventure, Michel Vallet, que nous informions toujours de nos activités lors de nos recherches sur le terrain puisqu’il qu’il nous avait présentés l’un à l’autre, et ce malgré le fait – il faut bien le dire – (bien qu’il fut toujours un exécuteur zélé), n’avait jamais eu la moindre idée constructive ni fait la plus petite découverte pouvant nous faire progresser…

Grand adepte de raccourcis faciles, cet esprit étroit et borné se forgea bientôt une opinion tranchée sur l’affaire. Avec cette découverte, se persuada-t-il, la messe était   dite : personne n’avait jamais pu pénétrer dans la cache et le Poussin n’avait été fait que pour indiquer un dépôt hélas inaccessible !

Lors d’un repas commun dans un grand restaurant carcassonnais peu de temps après au motif de fêter notre avancée, nous fumes stupéfaits de le voir déjà s’installer dans un chimérique futur, s’imaginant très grassement rémunéré par une fondation chargée de gérer la découverte et le site !

Chaque fois que nous appelions Vallet, et que nous lui posions la traditionnelle question –  » ça va ? « , les mêmes réponses arrivaient, automatiques et parfaitement rodées :  » tu sais dans quelle situation je me trouve  » ou bien  » tu connais ma situation financière « . Mais comment aurait-il pu en être autrement ? Il avait toujours vécu en désœuvré, pour ne pas dire plus… En se réfugiant derrière le personnage d’un pleureur professionnel, Vallet savait jouer de la corde sensible et se faire totalement prendre en charge. Dans tous les déplacements que nous fîmes ensemble, et pour toutes les acquisitions de documentation, il n’eut jamais à sortir le moindre centime, pas même en téléphone puisque c’est nous qui l’appelions ou bien il raccrochait immédiatement lorsqu’il avait besoin de nous joindre en nous demandant de le rappeler. Il a toujours été totalement pris en charge financièrement et fut même gracieusement fourni en vêtements adéquats lors de nos recherches !

En retour, durant toutes ces années, il ne nous paya jamais un café, et pire, développa sans que nous nous en rendions compte, peut-être à force d’avoir gîte et table ouverte dans nos domiciles respectifs, qu’ils soient principaux ou secondaires, une jalousie exacerbée et une haine sourde devant le travail de recherches que nous accomplissions sous ses yeux et dont, pourtant, nous le faisions entièrement profiter, avec systématiquement copies de notes explicatives manuscrites, car nous n’avions pas été sans nous rendre compte (il le reconnaissait lui-même) que son intelligence limitée faisait qu’il avait le plus souvent le plus grand mal à appréhender nos explications. En fait Vallet ne participait à aucune de nos recherches théoriques mais attendait simplement qu’on lui en fournisse le compte rendu écrit et circonstancié.

Considérant que « nous étions riches » et que nous aurions tout à perdre à révéler cette découverte, Vallet eut bientôt le culot de nous proposer d’en endosser seul la paternité publique, lui qui ne possédait rien, afin de nous éviter les désagréments de la saisie et de la prison, inéluctables, nous assurait-il sans rire, en de telles circonstances !

Ayant poliment mais fermement repoussé sa proposition de s’approprier et de nous voler ainsi toutes nos découvertes, nous eûmes la révélation de sa vraie personnalité durant les deux années qui suivirent. D’errances en louvoiements de sa part, nous ne le vîmes pratiquement plus…

(à suivre…)

Franck DAFFOS – ARQA éditions © Les Chroniques de Mars – 2020 – RLC // Enquêtes, investigations, scoops documents inédits…. Le TRÉSOR qui rend FOU « Les bonnes feuilles » – (extrait du livre, page 135).


VOIR AUSSI L’ARTICLE d’ARONNAX //

Quand un commandant de Police et un écrivain de polars à succès se livre…

Les CHRONIQUES de MARS – « AFFAIRES CLASSÉES » // Docteur Vallet & Mister J’arnaque # 1



MICHEL VALLET 2020 – LE DOSSIER « AFFAIRES CLASSÉES » 2.0

– sortie Juillet 2020 –

I – François LANGE – Quand Aronnax recadre Michel Vallet

II – Franck DAFFOS – DOCUMENTS INÉDITS (SCOOP – Rapport de Police )Quand Michel Vallet menace de mort son entourage

III – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet pille 5 ans après sa mort les découvertes de Didier Hericart de Thury

IV – Franck DAFFOS – DOCUMENTS INÉDITS – Quand Michel Vallet est confronté à un constat d’huissier qui le met en cause

V – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet fait de la spéléologie au Pech d’En Couty

VI – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet tente de se suicider sur l’île de Madère…

VII – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet publie « la photo » de l’abbé Boudet

VIII – Franck DAFFOS – Quand Michel Vallet dérobe à Didier Hericart de Thury « Le Catalogue Giscard » à des fins mercantiles

IX – Thierry E. GARNIER – Épilogue

 

Une nouvelle collection chez Arqa // Enquêtes, investigations, scoops, documents inédits…


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