CORONAVIRUS – « JOURNAL d’UN CONFINÉ » – 17 Mars 2020 – 11 Mai 2020

Signes des Temps & Cycles cosmiques

« Il y a la grande masse des citoyens voués à subir un tel évènement. Ils attendent la suite en espérant « un retour à la normale », incapables de ressentir l’immense potentialité de cette situation sans précédent à l’échelon planétaire. Et puis il y a ceux, des plus rares, qui perçoivent que ce cataclysme offre une ouverture vers des états de conscience en adéquation avec les mythes fondateurs de nos civilisations. L’auteur des pages qui suivent est de ceux-là qui, par atavisme ou par choix volontaire, refusent d’abdiquer devant la fatalité. »

Paul-Georges Sansonetti


 Chapitre II – Pour un catastrophisme éclairé

Si ce n’est que nous nous  obligerons à regarder la réalité en face, avec scepticisme et doute parfois, humour et détachement aussi, et observerons avant tout que la valeur des symboles, en tant que signe des temps,  transcende d’abord les consciences avant de revivifier finalement les corps malades…

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Chapitre XIII – En zone de guerre

 

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« Beaucoup ne veulent pas laisser un provincial, qui plus est barbu, chevelu et anticonformiste, avoir la primauté de la découverte. Beaucoup lui tirent dessus. Il y a aussi sûrement l’ego de certains parisiens vexés. Mais aussi tous ceux qui, de mèche avec des laboratoires, espéraient pouvoir placer le produit antiviral de leurs sponsors. C’est vrai qu’un traitement reconnu, et surtout pas cher, c’est l’effondrement de Perrette et le pot au lait, « Adieu veaux vaches cochons » pour de nombreux laboratoires qui voyaient déjà les milliards tomber dans leur escarcelle. Et ce petit prof de Marseille qui trouve un traitement simple et pas cher… Alors ça vaut bien pour certains de traîner un peu les pieds en mettant en avant des notions techniques pendant que les malades meurent. Ici, bien au-delà de l’obscurantisme et des peurs, il y a les gros sous… »

Docteur Olivier Soulier

Il est peu de dire que le Professeur marseillais Didier Raoult, placé en première ligne sur la « zone de guerre », est devenu en quelques semaines le grain de sable dans la machine bien huilée du système.

 

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Ce que l’on peut dire aujourd’hui en conclusion de notre petit texte quotidien à usage des contaminés – mais pas seulement, et à propos du docteur Alexandre Bleibtreu, c’est qu’il reflète bien en pleine lumière la part obscure de l’humanité souffrante et permet de comprendre habilement jusqu’où la perversité de l’être peut se nicher dans les recoins les plus habités de son orgueil. Accepter l’inacceptable, c’est être à la fois le complice et le traître, le serviteur de son maître, autrement dit « un sans-nom », un rebut parmi les veules. En temps de guerre, il n’y a pas si longtemps, cela méritait la cour martiale. « – Nous sommes en guerre », dit Macron. Peut-être, et encore ? Mais qui est l’ennemi ? En plus d’un masque, mets ton casque !

La nature humaine, dans les temps de conflits, montre toujours son vrai visage, il y a les fourbes et les courbes, les droits et les téméraires, les puissants et les résistants, les incapables et les asservis, les flamboyants et les poètes. Que ces derniers que nous adulons, les Char et les Éluard, tous protégés des abîmes, puissent encore nous enchanter pour donner à voir, à lire et surtout à écouter, dans les intervalles magiques de nos absences, toute l’Harmonie du Monde.

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 30 mars 202014e jour de confinement – (extraits du livre).


Chapitre XVIII – Le mystère de la porte étroite

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« La mort expire dans une blanche mare de silence. »

Aimé Césaire

Le rapport à la mort dans les sociétés modernes est le sujet tabou par excellence.  Dans une époque où l’on cache volontairement la mort et où on laisse dans des mouroirs sombres nos anciens comme certains abandonnent un chien en forêt, nous devons nous interroger sur la place que nous laissons à la mort dans notre société. Au Moyen-Âge les danses macabres enseignaient par la tradition populaire, les gravures sur bois et les enluminures, que la sarabande qui mêle les morts et les vivants emportait tout sur son passage, indistinctement, du roi au manant, du pape au pauvre prêtre sans un sou. Elle nous apprend que devant la Grande Faucheuse tout le monde est égal et que personne n’est au-dessus des lois.

L’apprentissage de la mort doit se concevoir avant tout comme un rite de passage et comme une chose essentielle à méditer. Les plus anciens rites humains sont des rites mortuaires et ils datent de 120 000 ans. Aujourd’hui  les rituels funéraires ont profondément muté, ils ne sont plus en Occident que des cérémonies quasi-absentes de cultes ou de religiosité, de spiritualité et de transcendance. Ces mutations essentielles ont deux fondements, elles sont dues principalement aux faits que la mortalité infantile s’est grandement résorbée et que l’allongement moyen de la durée de vie a atteint des chiffres record.

C’est provoquer ainsi l’illusion de l’immortalité.

Sans parler ici des problèmes éthiques que pose le transhumanisme dans son ensemble, à tous les étages. Il y a une parole de troubadour du Moyen-Âge que j’aime à citer qui dit que « celui qui a conquis le saint Graal, possède le secret de la mort joyeuse », cette « mort joyeuse » c’est bien sûr celle qui permet à l’initié de « vaincre la seconde mort », celle dont nous parle saint Jean dans son Apocalypse.

Cette parabole métaphysique d’une portée inconcevable n’a jamais été autant incomprise qu’à notre époque décadente, dans une ère mortifère aux dérives financières et boursières sans limites, sans figure et sans fondement moral.

Une société qui foule au pied le religieux – quel qu’il soit – qui considère que l’âme n’existe pas et que le problème de la mort sera résolu lorsque l’on aura trouvé le moyen définitif de détruire la déchéance physique des corps est une société déjà condamnée, à brève échéance, spirituellement et socialement.

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6 avril 202021e jour de confinement. – (extraits du livre).


Chapitre XXVI – Les voix intérieures

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« Les tirs de barrage reçus par Didier Raoult

sont aussi liés à des querelles d’égos. »

Professeur Christian Perronne

 

C’est dans les rapports de pouvoirs que naissent les guerres et les paix. Bien que le déconfinement annoncé se précise de jour en jour, comme nous avons pu le voir hier avec ce drôle de tweet les tensions exacerbées entre pouvoirs en place, pouvoirs occultes et contre-pouvoirs, continuent de se manifester en coulisses…

Les snipers sont montés sur les miradors et derrières les rideaux se cachent des vampires aux longues dents prêts à bondir. Il y a quelques jours, le 9 avril dernier, malgré (…)

 

19 avril 202034e jour de confinement. – (extraits du livre).

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Thierry E. GarnierCORONAVIRUS – « JOURNAL d’UN CONFINÉ » – 11 Mai 2020 – Signes des Temps & Cycles cosmiques – (EXTRAITS du LIVRE #2).


CORONAVIRUS – « Journal d’un confiné »

Signe des Temps & Cycles cosmiques

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« Beaucoup de gens qui meurent aujourd’hui auraient pu être sauvés s’ils avaient été soignés avec de la chloroquine. » – Professeur Christian Perronne 

« JOURNAL d’un confiné – Signe des Temps et Cycles cosmiques » – Préface du livre de Paul-Georges Sansonetti

• « JOURNAL d’un confiné – Signe des Temps et Cycles cosmiques » – Sommaire du livre & Présentation

• Thierry E. GARNIER – « JOURNAL d’un confiné – Signe des Temps et Cycles cosmiques » # 1

• Thierry E. GARNIER – « JOURNAL d’un confiné – Signe des Temps et Cycles cosmiques » # 2

Chroniques de Mars – Jacques ERLICH – Puçage & Humanité augmentée

Chroniques de Mars – « Didier Raoult & La scandaleuse affaire de la Chloroquine » # 1

Chroniques de Mars – « Didier Raoult & La scandaleuse affaire de la Chloroquine » # 2


WEBZINE ARQA // Les archives du 17 mars au 11 mai – CONFINEMENT

« Quand une civilisation arrive à cet état de décadence, c’est qu’elle n’est pas loin, elle-même, d’une mort programmée. »

Thierry E. GARNIER – CORONAVIRUS // Déconfits ou déconfinés ?

K2M – CORONAVIRUS // Quand l’indignité de notre civilisation atteint son paroxysme

UN DOCUMENT INÉDIT // Les Chroniques de MARS – CORONAVIRUS – Un témoignage de la vie à Shanghai

UN DOCUMENT INÉDIT // Les Chroniques de MARS – CORONAVIRUS – De la revue Nature à la marche du Monde

Thierry E. GARNIER – CORONAVIRUS // « Raoultix » – Le druide phocéen qui met les pieds dans la marmite !

Thierry E. GARNIER // Le CORONAVIRUS – Pour un catastrophisme éclairé… // Avec un témoignage émouvant du Professeur Gilbert DERAY de l’Hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris.

Emmanuel RIVIÈRELa Planète des SINGES au XXIe siècle – En ces temps d’Apocalypse, on pourrait se poser la question antidarwinienne de savoir si l’homme descend du singe ou si le singe descend de l’homme… ? En effet, le COVID-19 (…)

Thierry E. GARNIER // CORONAVIRUS – Le retour à la Source // Du texte lu sur écran à la « chose imprimée »…

Nadine DESANTI – C’était en mars 2020 …


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THESAVRVS // Agneau – Air – Alpha – Alphabet grec – Alphabet romain – Âne – Ange – Année solaire – Anthropologie – Apocalypse – Argent – Art poétique – Astronomie – Berger – Bible – Boaz – Bœuf – Carl-Gustav Jung – Carré – Cartographie céleste – Cène – Cercle – Chiffres – Christ – Cœur – Couleurs – Coupe Coutumes – Croix – Cromlech – Cycle lunaire – Désert – Divinations – Dolmen – Dragon – Eau – Etrusques – Feu – Figures – Formes – Gestes – Graal – Hébreux – Histoire – Jakin – Lion – Mains – Mégalithes – Menhir – Mère – Miel – Montagne – Myrrhe – Mythes – Mythes fondateurs – Nature des symboles – Nombres – Nombres – Omega – Or – Pain – Paradis – Phénicien – Poissons – Pythagore – Pythagorisme – Religions – Rêves – Runes – Sang – Sel – Serpent – Signes – Soleil – Souffle – Sumbolon – Symboles – Symboles chrétiens primitifs – Symboles dans la Bible – Symbolisme – Taureau – Temple – Terre – Tradition – Triangle – Veilleur – Vin – Zoé //